— Just Married —
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14/06/2023
Kagome Tanaka
Makoto Kagome
La vie n'est pas faite pour être dictée.
Informations générales
Nom : Makoto
Prénom.s : Kagome
Âge : 28 ans le 21/02/2086
Genre : Féminin
Origines : Japonaise
Activité : Violonceliste de profession et mannequin indépendant.
Sexualité : Hétérosexuelle
Avatar : Misse de Nixeu.
Règlement : - Validé - Zach'
Chemin Nous sommes partenaires et avant mon forum, j'étais une de vos joueuse qui a loupé le recensement^^
Autre : Show must go on.
Prénom.s : Kagome
Âge : 28 ans le 21/02/2086
Genre : Féminin
Origines : Japonaise
Activité : Violonceliste de profession et mannequin indépendant.
Sexualité : Hétérosexuelle
Avatar : Misse de Nixeu.
Règlement : - Validé - Zach'
Chemin Nous sommes partenaires et avant mon forum, j'étais une de vos joueuse qui a loupé le recensement^^
Autre : Show must go on.
Histoire - Citation
Une sonnerie retentit, puis une seconde. Je jette un regard fugace sur l’écran de mon téléphone et y vois le mot « mère » inscrit dessus. Je soupire et décide d’ignorer l’appel de cette femme qui vit à travers mon ombre et qui m’étouffe par ses demandes toujours plus complexes à réaliser.
Cela a toujours été comme cela et ce depuis ma plus tendre enfance. Il me fallait toujours être la plus jolie, la mieux habillée, la plus intelligente et notre aisance financière dut au métier de trader de mon père et elle de top modèle la confortait dans cette lubie tout en enrichissant ce côté supérieur qu’elle désirait que j’hérite.
Quant à mon père ? Il était tout le contraire. Il venait souvent me consoler quand ma génitrice m’avait disputée, car j’avais commis un manquement dans ses demandes. Il me rassurait et me disait que ma maman avait très peur pour moi, car sa vie n’avait pas été facile et qu’en étant aussi invasive, elle cherchait en réalité à me protéger.
Je ne comprenais pas réellement ce qu’il voulait dire, jusqu’à devoir faire face aux premières persécutions enfantines que j’ai essuyées sans trop de mal. J’étais ce que l’on appelle une enfant adulte. J’avais du mal à me laisser aller aux jeux, qui, bien qu’ils me donnassent envie, n’étaient qu’illusions, car il était inconvenable que la Lady que j’étais, s’abaisse à cela.
Je ne dirais pas que j’ai eu une enfance malheureuse et traumatisante… Complexe et frustrante oui, mais je n’avais pas à me plaindre. Je me vis même offrir un magnifique violoncelle par mon Papa. Je devais avoir pas loin de 5 ans, c’était suite à une énième dispute ma maman. Si je désirais quelque chose, on me l’offrait le plus souvent, comme ce fut le cas ce jour là. J’aimais écoutée depuis enfant les grandes symphonies et je trouvais qu’un instrument détonnait dans ce grandiose orchestre et il s’agissait là du violoncelle.
Et si ma génitrice n’était pas un symbole d’amour et de douceur, elle n’a jamais été violente envers moi et appréciait m’écouter jouer de mon instrument. Cela faisait partit d’un des rares moments où la voix n’était pas élevée et où l’on profitait juste de la mélodie.
De plus, mon papa comblait cette absence sentimentale laissée par ma mère et de fil en aiguille cela m’a permis d’en apprendre un peu plus sur le passif de cette femme.
Ses parents étaient violents et bien qu’elle faisait son possible pour cette situation misérable qui lui était offerte, tout lui était refusé et ses seuls moments d’échanges oraux n’étaient là que pour la rabaisser. Des conditions de vie si difficile pour un enfant, qu’elle fini par se renfermer sur elle-même et s’oublier… Laissant les autres la persécuter, se pensant inférieure et pensant ne rien valoir.
Heureusement pour elle, elle put sortir de cet enfer quand une agence de top-modèle vint la contacter et qu’elle put recevoir admiration et reconnaissance dans ce domaine… Même si j’ai un doute sur le respect du bon déroulement des choses, au vu des réactions de cette dernière quand on ose aborder le sujet.
Puis ensuite elle rencontra mon père et ce fut alors une vraie délivrance pour elle. Elle se sentait princesse à travers son regard et avec le temps qui filait elle commença à drastiquement changer. Il lui a fallu du temps pour prendre confiance en lui et en elle, mais les choses ont commencé à évoluer entre eux… Jusqu’à l’arrivée fatidique de cette petite lettre rose.
Heureusement pour eux, ils n’ont pas eu à se séparer, l’incontestable les avait réunis, mais imposer de nouvelles obligations à ma mère, la transforma définitivement. Propulsée dans ses traumatismes passés qu’elle pensait avoir réussi à fuir définitivement, elle replongea finalement dans une angoisse permanente. Ce n’était pas tant ce qui lui était demandé qui lui posait soucis, mais savoir ses faits et gestes contrôlés, la rendait aigrie, dure et elle fit un rejet involontaire de ce système qui la rendait malheureuse… Lui rappelant sans cesse qu’au lieu de prendre le taureau par les cornes, elle avait fui et que ses cauchemars l’avaient rattrapée.
Puis je suis née telle une programmation et non une volonté propre de cette dernière. Je n’ai connu qu’exigences, reproches et rejets si je ne faisais pas partie de l’élite… Et bien que je ne comprenais que trop peu, petite, la dureté de ma persécutrice, j’ai commencé à fantasmer la dame dont me parlait Papa et reprocher l’existence de ce système qui me menait la vie dure, malgré son côté merveilleux qui me faisait rêver…
Le reste de ma pauvre existence fut plutôt fluide. Une bonne réputation, de bonnes notes, une richesse non-négligeable du côté de mes parents… On n'avait rien à envier à personne et j’aimais ce sentiment… Mais je me serai bien passé de mon travail d’enfant. En effet, ma mère étant passionnée par son métier a décidé de faire de moi une enfant mannequin. Ce n’était pas tant désagréable, mais je trouvais cela contraignant, en plus cela m’empêchait de jouer de mon violoncelle.
Un jour, on commença à parler des incontrôlables et bien que j’étais devenue une jeune adulte de 21 ans étudiante en conservatoire pour devenir violoncelliste, quelque chose raisonnait en moi. J’avais plutôt perdu cette animosité contre le système avec le temps, devenant simplement placide à son égard, mais voir une petite troupe essayer de se rebeller m’amusait… Je ne pensais pas que les catastrophes qui s’en suivraient me feraient changer du tout au tout ma façon de penser.
En effet, un an après apparut le Big Bang Kiss. Je vivais toujours chez mes parents et pour la première fois, ma mère ne vint pas m’importuner et décida « de prendre les armes » en participant à cette marche. Mon papa la suivit pas vraiment par conviction, mais par amour pour sa femme qui faisait finalement quelque chose avec un réel enthousiasme, autre que pour son métier. C’était la première fois qu’elle semblait si épanouie et si déterminée à faire quelque chose pour elle-même.
J’ai commencé à y songer tout en restant discrète… Je voulais être son alliée, peu importe la bataille, je voulais qu’elle ne se sente plus seule et désespérée. Je me suis donc mise une pression encore plus intense pour repousser mes limites continuant ainsi mes études de passion et mon métier de top-modèle qui ne m’avait jamais réellement quitté.
L’année d’après, le festival devait se dérouler, mais malheureusement ou peut-être heureusement ?… J’ai fini par m’effondrer suite au surmenage et on m’a déplacée à l’hôpital. Il n’y avait rien de grave, mais mes parents inquiets m’avaient suivi au lieu de participer aux festivités… On découvrit le soir même que la milice était intervenue.
Les mois passent dans ma vie si placide puis un événement vint détruire tout ce sur quoi je me reposais et pour cela, un seul mot suffisait.
Shukumei.
Cette catastrophe est devenue un énorme traumatisme pour moi. Et pour cause ? Notre logement s’est effondré et mon père a été grièvement blessé en voulant protéger sa femme et sa fille. Quand nous avons pu sortir tous les 3 de l’eau nous entourait, j’étais terrorisée, je voyais des corps sans vie… D’autres appeler à l’aide… J’avais l’impression qu’on hurlait dans mes tympans et un bourdonnement incessant continuait… J’étais terrorisée, j’avais l’impression qu’on allait tous mourir. Les secours ont fini par arriver, je ne pourrais dire quand, j’étais en état de choc et je savais que mon cerveau avait occulté une bonne partie, mes souvenirs ne faisant pas sens… Mais mes parents ont tout simplement refusé de me rappeler ce moment de ma vie et ont décidé de nous faire avancer comme ils le pouvaient.
Ma mère fut beaucoup plus attentive à moi et à mon paternel… On chercha une minka dans la campagne plus tranquille, restant tout de même aux abords de la ville pour ne pas trop s’exiler… Mais je crois qu’ils avaient besoin de respirer, surtout mon père après le sentiment d’enfermement qu’il a subi entre les décombres… Même si tout ce passage reste très flou dans ma mémoire.
La catastrophe bien que gravée dans ma mémoire était soigneusement ignorée par mes soins… Et bien que je pensais que suite à cela, rien ne pourrait à nouveau me surprendre…
J’ai pu assister à deux grands phénomènes.
Le premier fut le cas d’une épidémie qui me terrorisa. J’eus la chance de ne pas être touchée par cette dernière ou en tout cas, je n’avais pas contracté les symptômes, mais ce ne fut pas le cas de plusieurs camarades à moi. Certains finirent en rémission, mais dans le lot, j’en perdis un. Nous n’étions pas un modèle de proximité, mais cela m’affecta tout de même et me rappela la terrible tragédie et ses nombreux morts.
Le second fut pour moi encore plus choquant. En effet, un bon matin, je vis le petit-déjeuner prêt, ma mère chantonnait, mon père rayonnait… L’incontestable était devenu dysfonctionnel… Les contes que s’amusait à raconter mon papa devenaient réalité. Je voyais cette mère rêvée, joyeuse, être la femme la plus libre et la plus heureuse du monde.
J’avais mal, mon cœur se serrait, je ne pensais pas que ce qui ferait mon bonheur serait une erreur système. J’étais interdite, énervée, agacée… À quoi rimaient tous mes efforts ?
J’étais aigrie, moi qui m’étais battue toutes ces années, je voyais tout devenir poussière suite à un petit dysfonctionnement. Je n’étais donc rien pour elle ? Pourquoi elle ne pouvait pas être heureuse simplement avec nous ?! Et la réponse me vint comme une évidence… Tout ceci, c’était la faute de l’incontestable ! C’était de leur faute… Ils m’avaient retiré l’amour de ma mère ! Ils m’avaient conçu et je n’étais que le fruit d’une obligation et non d’un désir amoureux partagé.
Ce fut la goutte de trop, mon refus envers ce système fut soudain… Je ne voulais pas que mon tyran soit devenu ainsi à cause de sa faiblesse d’esprit, je décidais donc de reporter la faute ailleurs, un élément extérieur… Et mon cerveau décida donc que le système en était la cause.
La colère sourde qui s’empara de moi me transforma de bien des manières. Je décidai, suite à cela de prendre mon indépendance. Je ne voulais plus côtoyer cette femme… Je voulais être libre, je devins hautaine et froide envers le monde extérieur. Seul mon violoncelle me canalisait et me permettait l’exil dans ces moments difficile de ma vie, il était le seul à me rassurer. Je me savais de plus en plus populaire et j’aimais cela… J’avais la preuve que je n’avais besoin de personne pour avancer et encore moins d’une famille si peu construite et d’un système dictateur… J’ai commencé à ignorer ma mère et ne donner de nouvelles qu’à mon père, qui a toujours tenu bon pour eux deux et endossait le rôle des deux parents comme il pouvait.
Un peu plus tard, le système vint encore me gâcher la vie par son côté défectueux… On me força à changer de puce et bien que je voulus y échapper et tout simplement m’échapper, on ne me laissa pas le choix…
J’étais donc de retour dans les carcans d’une société qui se rendait détestable au fur et à mesure qu’elle évoluait… Et j’étais prête à m’y frotter si elle venait à me provoquer un peu trop violemment.
Cela a toujours été comme cela et ce depuis ma plus tendre enfance. Il me fallait toujours être la plus jolie, la mieux habillée, la plus intelligente et notre aisance financière dut au métier de trader de mon père et elle de top modèle la confortait dans cette lubie tout en enrichissant ce côté supérieur qu’elle désirait que j’hérite.
Quant à mon père ? Il était tout le contraire. Il venait souvent me consoler quand ma génitrice m’avait disputée, car j’avais commis un manquement dans ses demandes. Il me rassurait et me disait que ma maman avait très peur pour moi, car sa vie n’avait pas été facile et qu’en étant aussi invasive, elle cherchait en réalité à me protéger.
Je ne comprenais pas réellement ce qu’il voulait dire, jusqu’à devoir faire face aux premières persécutions enfantines que j’ai essuyées sans trop de mal. J’étais ce que l’on appelle une enfant adulte. J’avais du mal à me laisser aller aux jeux, qui, bien qu’ils me donnassent envie, n’étaient qu’illusions, car il était inconvenable que la Lady que j’étais, s’abaisse à cela.
Je ne dirais pas que j’ai eu une enfance malheureuse et traumatisante… Complexe et frustrante oui, mais je n’avais pas à me plaindre. Je me vis même offrir un magnifique violoncelle par mon Papa. Je devais avoir pas loin de 5 ans, c’était suite à une énième dispute ma maman. Si je désirais quelque chose, on me l’offrait le plus souvent, comme ce fut le cas ce jour là. J’aimais écoutée depuis enfant les grandes symphonies et je trouvais qu’un instrument détonnait dans ce grandiose orchestre et il s’agissait là du violoncelle.
Et si ma génitrice n’était pas un symbole d’amour et de douceur, elle n’a jamais été violente envers moi et appréciait m’écouter jouer de mon instrument. Cela faisait partit d’un des rares moments où la voix n’était pas élevée et où l’on profitait juste de la mélodie.
De plus, mon papa comblait cette absence sentimentale laissée par ma mère et de fil en aiguille cela m’a permis d’en apprendre un peu plus sur le passif de cette femme.
Ses parents étaient violents et bien qu’elle faisait son possible pour cette situation misérable qui lui était offerte, tout lui était refusé et ses seuls moments d’échanges oraux n’étaient là que pour la rabaisser. Des conditions de vie si difficile pour un enfant, qu’elle fini par se renfermer sur elle-même et s’oublier… Laissant les autres la persécuter, se pensant inférieure et pensant ne rien valoir.
Heureusement pour elle, elle put sortir de cet enfer quand une agence de top-modèle vint la contacter et qu’elle put recevoir admiration et reconnaissance dans ce domaine… Même si j’ai un doute sur le respect du bon déroulement des choses, au vu des réactions de cette dernière quand on ose aborder le sujet.
Puis ensuite elle rencontra mon père et ce fut alors une vraie délivrance pour elle. Elle se sentait princesse à travers son regard et avec le temps qui filait elle commença à drastiquement changer. Il lui a fallu du temps pour prendre confiance en lui et en elle, mais les choses ont commencé à évoluer entre eux… Jusqu’à l’arrivée fatidique de cette petite lettre rose.
Heureusement pour eux, ils n’ont pas eu à se séparer, l’incontestable les avait réunis, mais imposer de nouvelles obligations à ma mère, la transforma définitivement. Propulsée dans ses traumatismes passés qu’elle pensait avoir réussi à fuir définitivement, elle replongea finalement dans une angoisse permanente. Ce n’était pas tant ce qui lui était demandé qui lui posait soucis, mais savoir ses faits et gestes contrôlés, la rendait aigrie, dure et elle fit un rejet involontaire de ce système qui la rendait malheureuse… Lui rappelant sans cesse qu’au lieu de prendre le taureau par les cornes, elle avait fui et que ses cauchemars l’avaient rattrapée.
Puis je suis née telle une programmation et non une volonté propre de cette dernière. Je n’ai connu qu’exigences, reproches et rejets si je ne faisais pas partie de l’élite… Et bien que je ne comprenais que trop peu, petite, la dureté de ma persécutrice, j’ai commencé à fantasmer la dame dont me parlait Papa et reprocher l’existence de ce système qui me menait la vie dure, malgré son côté merveilleux qui me faisait rêver…
Le reste de ma pauvre existence fut plutôt fluide. Une bonne réputation, de bonnes notes, une richesse non-négligeable du côté de mes parents… On n'avait rien à envier à personne et j’aimais ce sentiment… Mais je me serai bien passé de mon travail d’enfant. En effet, ma mère étant passionnée par son métier a décidé de faire de moi une enfant mannequin. Ce n’était pas tant désagréable, mais je trouvais cela contraignant, en plus cela m’empêchait de jouer de mon violoncelle.
Un jour, on commença à parler des incontrôlables et bien que j’étais devenue une jeune adulte de 21 ans étudiante en conservatoire pour devenir violoncelliste, quelque chose raisonnait en moi. J’avais plutôt perdu cette animosité contre le système avec le temps, devenant simplement placide à son égard, mais voir une petite troupe essayer de se rebeller m’amusait… Je ne pensais pas que les catastrophes qui s’en suivraient me feraient changer du tout au tout ma façon de penser.
En effet, un an après apparut le Big Bang Kiss. Je vivais toujours chez mes parents et pour la première fois, ma mère ne vint pas m’importuner et décida « de prendre les armes » en participant à cette marche. Mon papa la suivit pas vraiment par conviction, mais par amour pour sa femme qui faisait finalement quelque chose avec un réel enthousiasme, autre que pour son métier. C’était la première fois qu’elle semblait si épanouie et si déterminée à faire quelque chose pour elle-même.
J’ai commencé à y songer tout en restant discrète… Je voulais être son alliée, peu importe la bataille, je voulais qu’elle ne se sente plus seule et désespérée. Je me suis donc mise une pression encore plus intense pour repousser mes limites continuant ainsi mes études de passion et mon métier de top-modèle qui ne m’avait jamais réellement quitté.
L’année d’après, le festival devait se dérouler, mais malheureusement ou peut-être heureusement ?… J’ai fini par m’effondrer suite au surmenage et on m’a déplacée à l’hôpital. Il n’y avait rien de grave, mais mes parents inquiets m’avaient suivi au lieu de participer aux festivités… On découvrit le soir même que la milice était intervenue.
Les mois passent dans ma vie si placide puis un événement vint détruire tout ce sur quoi je me reposais et pour cela, un seul mot suffisait.
Shukumei.
Cette catastrophe est devenue un énorme traumatisme pour moi. Et pour cause ? Notre logement s’est effondré et mon père a été grièvement blessé en voulant protéger sa femme et sa fille. Quand nous avons pu sortir tous les 3 de l’eau nous entourait, j’étais terrorisée, je voyais des corps sans vie… D’autres appeler à l’aide… J’avais l’impression qu’on hurlait dans mes tympans et un bourdonnement incessant continuait… J’étais terrorisée, j’avais l’impression qu’on allait tous mourir. Les secours ont fini par arriver, je ne pourrais dire quand, j’étais en état de choc et je savais que mon cerveau avait occulté une bonne partie, mes souvenirs ne faisant pas sens… Mais mes parents ont tout simplement refusé de me rappeler ce moment de ma vie et ont décidé de nous faire avancer comme ils le pouvaient.
Ma mère fut beaucoup plus attentive à moi et à mon paternel… On chercha une minka dans la campagne plus tranquille, restant tout de même aux abords de la ville pour ne pas trop s’exiler… Mais je crois qu’ils avaient besoin de respirer, surtout mon père après le sentiment d’enfermement qu’il a subi entre les décombres… Même si tout ce passage reste très flou dans ma mémoire.
La catastrophe bien que gravée dans ma mémoire était soigneusement ignorée par mes soins… Et bien que je pensais que suite à cela, rien ne pourrait à nouveau me surprendre…
J’ai pu assister à deux grands phénomènes.
Le premier fut le cas d’une épidémie qui me terrorisa. J’eus la chance de ne pas être touchée par cette dernière ou en tout cas, je n’avais pas contracté les symptômes, mais ce ne fut pas le cas de plusieurs camarades à moi. Certains finirent en rémission, mais dans le lot, j’en perdis un. Nous n’étions pas un modèle de proximité, mais cela m’affecta tout de même et me rappela la terrible tragédie et ses nombreux morts.
Le second fut pour moi encore plus choquant. En effet, un bon matin, je vis le petit-déjeuner prêt, ma mère chantonnait, mon père rayonnait… L’incontestable était devenu dysfonctionnel… Les contes que s’amusait à raconter mon papa devenaient réalité. Je voyais cette mère rêvée, joyeuse, être la femme la plus libre et la plus heureuse du monde.
J’avais mal, mon cœur se serrait, je ne pensais pas que ce qui ferait mon bonheur serait une erreur système. J’étais interdite, énervée, agacée… À quoi rimaient tous mes efforts ?
J’étais aigrie, moi qui m’étais battue toutes ces années, je voyais tout devenir poussière suite à un petit dysfonctionnement. Je n’étais donc rien pour elle ? Pourquoi elle ne pouvait pas être heureuse simplement avec nous ?! Et la réponse me vint comme une évidence… Tout ceci, c’était la faute de l’incontestable ! C’était de leur faute… Ils m’avaient retiré l’amour de ma mère ! Ils m’avaient conçu et je n’étais que le fruit d’une obligation et non d’un désir amoureux partagé.
Ce fut la goutte de trop, mon refus envers ce système fut soudain… Je ne voulais pas que mon tyran soit devenu ainsi à cause de sa faiblesse d’esprit, je décidais donc de reporter la faute ailleurs, un élément extérieur… Et mon cerveau décida donc que le système en était la cause.
La colère sourde qui s’empara de moi me transforma de bien des manières. Je décidai, suite à cela de prendre mon indépendance. Je ne voulais plus côtoyer cette femme… Je voulais être libre, je devins hautaine et froide envers le monde extérieur. Seul mon violoncelle me canalisait et me permettait l’exil dans ces moments difficile de ma vie, il était le seul à me rassurer. Je me savais de plus en plus populaire et j’aimais cela… J’avais la preuve que je n’avais besoin de personne pour avancer et encore moins d’une famille si peu construite et d’un système dictateur… J’ai commencé à ignorer ma mère et ne donner de nouvelles qu’à mon père, qui a toujours tenu bon pour eux deux et endossait le rôle des deux parents comme il pouvait.
Un peu plus tard, le système vint encore me gâcher la vie par son côté défectueux… On me força à changer de puce et bien que je voulus y échapper et tout simplement m’échapper, on ne me laissa pas le choix…
J’étais donc de retour dans les carcans d’une société qui se rendait détestable au fur et à mesure qu’elle évoluait… Et j’étais prête à m’y frotter si elle venait à me provoquer un peu trop violemment.
Physique
Je m’élance vers cette sombre scène qui s’offre sous mes yeux. Mon port de tête altier me donne un air hautain, mais il faut au moins ceci, au vu de la qualité du tissu et bijoux qui chutent telle une cascade sur ma peau de porcelaine. Aucune imperfection visible, hormis un nævus présent sur ma pommette droite, donnant un certain caractère à mon fasciés.
Un photographe m’interpelle et me donne certaines directives. J’écoute attentivement, ancrant mes prunelles obsidiennes sur son visage concentré.
Suite à ses demandes, les équipes techniques s’agitent autour de moi. Ma maquilleuse vient peindre mes lèvres gourmandes d’un rouge-orangé, seule note de couleur qui détonne dans ce visuel composé uniquement de noir et blanc.
Je perçois plusieurs doigts s’affairer dans ma chevelure, certains replaçant ma broche, intervertissant la totalité de mes boucles ébène à gauche, chatouillant doucement ma hanche, de par leur longueur.
La séance reprend finalement, les flashs défilent, les poses et les intervenants aussi. Je remercie mère nature et ma génitrice pour m’avoir offert un tel profil. C’est donc pour cette raison que je ne gâche pas un tel présent. Ma peau n’est ni tatouée, ni percée hormis pour les lobes, je la laisse naturelle.
Une grandeur innée, une taille leptosome et une élégance travaillée depuis ma plus tendre enfance…. Voilà ce qui m’a permis d’accéder à l’élite et d’être ici aujourd’hui. Je ne sais si je peux remercier cette mère si stricte et sévère envers moi-même, mais je lui suis, désormais, reconnaissante pour cette vie qu’elle m’a offerte.
Un photographe m’interpelle et me donne certaines directives. J’écoute attentivement, ancrant mes prunelles obsidiennes sur son visage concentré.
Suite à ses demandes, les équipes techniques s’agitent autour de moi. Ma maquilleuse vient peindre mes lèvres gourmandes d’un rouge-orangé, seule note de couleur qui détonne dans ce visuel composé uniquement de noir et blanc.
Je perçois plusieurs doigts s’affairer dans ma chevelure, certains replaçant ma broche, intervertissant la totalité de mes boucles ébène à gauche, chatouillant doucement ma hanche, de par leur longueur.
La séance reprend finalement, les flashs défilent, les poses et les intervenants aussi. Je remercie mère nature et ma génitrice pour m’avoir offert un tel profil. C’est donc pour cette raison que je ne gâche pas un tel présent. Ma peau n’est ni tatouée, ni percée hormis pour les lobes, je la laisse naturelle.
Une grandeur innée, une taille leptosome et une élégance travaillée depuis ma plus tendre enfance…. Voilà ce qui m’a permis d’accéder à l’élite et d’être ici aujourd’hui. Je ne sais si je peux remercier cette mère si stricte et sévère envers moi-même, mais je lui suis, désormais, reconnaissante pour cette vie qu’elle m’a offerte.
Caractère
Mes doigts fuselés parcourent les cordes de mon imposant instrument, pinçant ces dernières avant que ma dextre ne s'empare de l’archet et commence à laisser écouler une douce mélodie.
Je ne m’impose aucun thème et laisse les notes couler au rythme de mes émotions, qui pulsent contre mes tempes et ma cage thoracique. Il n’y a que par l’intermédiaire de la musique que je peux pleinement m’exprimer, le restant du temps, cela ne m’est pas permis ou du moins pas en public.
Être plus forte que le monde, être plus jolie, plus douée, plus parfaite… Pour ne pas essuyer les bavures d’une existence médiocre, comme ma génitrice a pu le subir, quelques années auparavant.
Je suis le reflet d’une personnalité désirée par cette dernière… Et pourtant, je suis tellement plus. La fougue s’abat avec violence contre les murs, mes lèvres mordillées, référence à la passion et la sensualité qui dégoulinent de tout mon être.
C’est un air plein de véhémence, brisant une cage en verre inexistante pour autrui.
Une cage dorée où l’on n’y autorise et n'exige que la perfection. Mais est-ce vraiment moi ? Je me demande même si toutes ces contraintes pourraient être le portrait naturel de quelqu’un.
La musique s’évanouit et reprend avec des notes un brin espiègles et osées.
Je souris, laisse ma tête déchoir en arrière et le cœur plus léger qu’il n’a jamais été. Cette société à mes yeux archaïque de par ce système, devrait être détruite. Les contraintes métamorphosent une personne et la rendent plus dure et froide pour se protéger.
Une liberté de penser brimée et où l’affirmer est considéré comme révolution. Je n’apprécie guère cette société dans laquelle on me demande d’évoluer.
Je suis née humaine et suis devenue poupée… Poupée de chiffon pour ma mère, poupée de cire pour la société, poupée de porcelaine pour mes métiers et poupée de collection pour mon entourage.
J’aimerais être papillon, sortir de ma chrysalide et m’envoler vers une liberté à laquelle j’aspire.
Le changement de rythme se fait soudain, plus lourd, plus mélancolique et triste, empli d’une profondeur abyssale.
La partie sombre de tout humain, que l’on refoule, car c’est un jardin secret honteux, que l’on désire sincèrement dissimuler, pour ne pas être blessé par la société… Pourtant, cette part d’ombre, chacun de nous la détient, certains l’embrassent, d’autres l’enterrent, mais on ne peut l’ignorer pour l’éternité. Elle fait partie de nous et c’est aussi pour cette raison que mes notes ne laissent pas insensible mon auditoire larmoyant.
Mon calme retrouvé, je me redresse, ouvrent mes bourgeons qui voilaient mes iris et observent ce public secret mis à nu suite à mon improvisation. Je souris, bien que l’on se coffre tous pour se préserver, il y a toujours des moments où on se laisse aller.
Cette démonstration me fait prendre un certain recul et j’en viens à penser que je suis au pinacle de ma vie.
Je ne m’impose aucun thème et laisse les notes couler au rythme de mes émotions, qui pulsent contre mes tempes et ma cage thoracique. Il n’y a que par l’intermédiaire de la musique que je peux pleinement m’exprimer, le restant du temps, cela ne m’est pas permis ou du moins pas en public.
Être plus forte que le monde, être plus jolie, plus douée, plus parfaite… Pour ne pas essuyer les bavures d’une existence médiocre, comme ma génitrice a pu le subir, quelques années auparavant.
Je suis le reflet d’une personnalité désirée par cette dernière… Et pourtant, je suis tellement plus. La fougue s’abat avec violence contre les murs, mes lèvres mordillées, référence à la passion et la sensualité qui dégoulinent de tout mon être.
C’est un air plein de véhémence, brisant une cage en verre inexistante pour autrui.
Une cage dorée où l’on n’y autorise et n'exige que la perfection. Mais est-ce vraiment moi ? Je me demande même si toutes ces contraintes pourraient être le portrait naturel de quelqu’un.
La musique s’évanouit et reprend avec des notes un brin espiègles et osées.
Je souris, laisse ma tête déchoir en arrière et le cœur plus léger qu’il n’a jamais été. Cette société à mes yeux archaïque de par ce système, devrait être détruite. Les contraintes métamorphosent une personne et la rendent plus dure et froide pour se protéger.
Une liberté de penser brimée et où l’affirmer est considéré comme révolution. Je n’apprécie guère cette société dans laquelle on me demande d’évoluer.
Je suis née humaine et suis devenue poupée… Poupée de chiffon pour ma mère, poupée de cire pour la société, poupée de porcelaine pour mes métiers et poupée de collection pour mon entourage.
J’aimerais être papillon, sortir de ma chrysalide et m’envoler vers une liberté à laquelle j’aspire.
Le changement de rythme se fait soudain, plus lourd, plus mélancolique et triste, empli d’une profondeur abyssale.
La partie sombre de tout humain, que l’on refoule, car c’est un jardin secret honteux, que l’on désire sincèrement dissimuler, pour ne pas être blessé par la société… Pourtant, cette part d’ombre, chacun de nous la détient, certains l’embrassent, d’autres l’enterrent, mais on ne peut l’ignorer pour l’éternité. Elle fait partie de nous et c’est aussi pour cette raison que mes notes ne laissent pas insensible mon auditoire larmoyant.
Mon calme retrouvé, je me redresse, ouvrent mes bourgeons qui voilaient mes iris et observent ce public secret mis à nu suite à mon improvisation. Je souris, bien que l’on se coffre tous pour se préserver, il y a toujours des moments où on se laisse aller.
Cette démonstration me fait prendre un certain recul et j’en viens à penser que je suis au pinacle de ma vie.
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Personnage tiré d'un manga/anime/jeu-vidéo/série
Personnage original d'un artiste
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Époux/se : La Perche, aka Shosho ♡
Autre:
Wutai Sato
Bon retour parmi nous !^^
Bon, logiquement, la validation sera rapide. Donc bons futurs rp à toi.
Edit (pour éviter le flood) : c'est avec plaisir que je récidive, alors !
Bon, logiquement, la validation sera rapide. Donc bons futurs rp à toi.
Edit (pour éviter le flood) : c'est avec plaisir que je récidive, alors !
Wutai Sato
Si t'es sage, t'auras un badge
Membre à l'honneur
A été membre/posteur du mois
Voteur compulsif
A été voteur du mois
Comme un éclair
A terminé 5 RPs
Membre dynamique
A participé à un event RP
Explorateur
A fait des RPs dans trois endroits différents du forum
Saboteur de Noël
A participé à la chasse de boules de Noël 2022
Machine à écrire
A posté 2500 messages
Habitué
Etre inscrit depuis un an
Fait partie des meubles
Etre inscrit depuis trois ans
Écrivain du mois
A été élu RP du mois
Sociable
A fait des RPs avec 3 partenaires différents
Bonne fée
Avoir offert 5 avatars personnalisés à des membres
Addict aux palliatifs technologiques
Avoir créé sa fiche de liens ET son ATAI
Célibataire endurci
Etre resté célibataire pendant un an d'affilé
— Just Married —
Messages postés :
32
Inscrit.e le :
14/06/2023
Kagome Tanaka
Ahahhaha remercie Wutai Je me souviens que tu avais déjà été le 1er à m'accueillir à l'époque xD
Kagome Tanaka
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Habitué
Etre inscrit depuis un an
— Just Married —
Messages postés :
205
Inscrit.e le :
21/04/2023
Les plus du perso :
Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Le mignon petit Peter ~
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
Hideo W. Mihara
Bon retour à toi ! (même si on se connaissait pas encore, j'en profite du coup huhu) Bon courage pour la validation
Hideo W. Mihara
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Sociable
A fait des RPs avec 3 partenaires différents
Explorateur
A fait des RPs dans trois endroits différents du forum
Officiellement votre
A fini son premier RP mariage
On s'éclate !
A participé à une soirée CB organisée par le staff
Machine à écrire
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Habitué
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Noces de coton
Marié depuis un an
Comme un éclair
A terminé 5 RPs
Aventurier
A fait un RP en dehors de Tokyo
Addict aux palliatifs technologiques
Avoir créé sa fiche de liens ET son ATAI
Anti-système
Avoir commencé un mariage au centre de redressement
— Just Married —
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32
Inscrit.e le :
14/06/2023
Kagome Tanaka
Merci c'est adorable ! On espère que tout se passera bien
Kagome Tanaka
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— Just Married —
Messages postés :
2808
Inscrit.e le :
22/02/2021
Les plus du perso :
Je suis: neutre.
Époux/se :
Autre: Merci Raion et Aizen pour les magnifiques vavas ♥ dessins par Shiba, Haru, Gaby , nnmoae, jin.lol ,lilvi and me o/
Zacharie Morgan
Hello, bon retour parmi nous !
Quelques petites fautes à corriger mais tout est bon sinon, c'est une jolie fichette j'ai hâte de voir la demoiselle en jeu !
à corriger dans l'histoire :
et notre aisance financière dû
aux premières persécutions enfantines que j’ai essuyé
Cela faisait parti
l’incontestable les avaient réunis
une richesse non-négligeable
essayer de se rebeller m’amusai…
Je me suis donc mise une pression
me canalisait et me permettait l’exile dans
dans le caractère :
chacun de nous la détient, certains l’embrasse,
Quelques petites fautes à corriger mais tout est bon sinon, c'est une jolie fichette j'ai hâte de voir la demoiselle en jeu !
à corriger dans l'histoire :
et notre aisance financière dû
aux premières persécutions enfantines que j’ai essuyé
Cela faisait parti
l’incontestable les avaient réunis
une richesse non-négligeable
essayer de se rebeller m’amusai…
Je me suis donc mise une pression
me canalisait et me permettait l’exile dans
dans le caractère :
chacun de nous la détient, certains l’embrasse,
Pré-validation par Zacharie
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
Zacharie Morgan
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10/10/2016
Les plus du perso :
Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Kiyohi Nanase, toujours et à jamais ♥
Autre:
Makoto Nanase
Bon retour !
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits
- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit :
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
- Le plus beau compliment :
- Merci Oz :
Makoto Nanase
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Noces de coton
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A fini son premier RP mariage
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A fait 10 fast'actions
Fanfic.fr
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Membre dynamique
A participé à un event RP
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Mascotte de l'Incontestable
Avoir été marié pendant 2 ans
Perfect match
Avoir été marié pendant 3 ans
Anti-système
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14/06/2023
Kagome Tanaka
Merci beaucoup !
Kagome Tanaka
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