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Aiichirô C. Yori
Aiichirô C. Yori


log_in : inconnuK ;
data_name : Aiichirô Chōichirō Yori ;
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data_base : 29 years old ϟ male ϟ japanese ϟ town tokyo
heterosexual (bisexual) ϟ  tattooist piercer ϟ cyber-terrorist & hackeur known as inconnuK ϟ computer engineer ϟ ft. Uta tokyo ghoul
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Papa, c'était un homme de bonne famille, un bourgeois arrogant qui avait du fric à ne plus savoir quoi en faire. Papa, c'était le fils d'un garagiste, un roturier qui crachait à la gueule de tous ces mal-baisés qui s'offusquaient devant son franc parlé. Papa, c'était eux-deux. Deux hommes qu'un logiciel tyrannique avait mariés de force un petit matin et qui toutes les deux semaines avaient plus de nausées qu'une femme attendant des octuplés, si bien que je n'ai jamais douté de leur hétérosexualité et de la connerie que représentait sir Incontestable. Mais j'avoue que gosse, je ne comprenais pas vraiment pourquoi mes deux pères se prenaient la tête non stop et pourquoi ils se retrouvaient souvent les poings en sang à ne plus savoir quel meuble balancer à la gueule de l'autre. Et quand il s'agissait de moi, aucun des deux ne semblaient vouloir assumer sa paternité. J'étais forcement le fils de l'autre con, il suffisait de regarder mon nez, mon nombril, mon petit orteil droit, … Et au final, je n'étais plus l'enfant de personne. Grandissant dans cet environnement où les tensions étaient constantes et les affrontements réguliers, je m'écrasa pendant de longues années en me demandant ce que j'avais fait de mal pour ne pas mériter l'affection de mes parents. Pourquoi l'un semblait me haïr plus que l'autre, et vice et versa. J'étais pourtant un bon petit gars, le genre soumis qui trottinait derrière ses pères en espérant toujours vainement qu'ils se retourneraient de temps en temps pour m'adresser un sourire. Je crois que j'ai espéré très longtemps, en silence, pour que ça change, mais arrivé à l'adolescence, après des années passées dans l'isolement des mondes virtuels, j'avais finalement cessé de me faire des illusions.  

Et comme les gamins plus ou moins perturbés, je suis entré dans ma phase rébellion. J'ai appris à gueuler plus fort qu'eux et je me suis pris pas mal de baffes. A l'école, je suis passé naturellement de tête à teigne. Le genre grande gueule arrogante qui ne faisait même plus acte de présence. A cet âge là, je préférais traîner avec ma bande. Des petits roublards qui n'hésitaient pas à se servir d'une bonne barre de fer pour régler leurs comptes avec les autres clans du coin. Je n'étais pas le chef, juste l'un de ses petits moutons qui croyait naïvement être libre et faire respecter sa loi dans les bas-fonds de Tokyo. Je me donnais juste de l'importance, après des années passées dans l'indifférence. Je buvais, fumais, me droguais, volais. J'ai peut-être même fait beaucoup plus de mal que je ne peux l'imaginer, sans m'en rendre compte, lors d'une de mes crises d'hystéries. Les affrontements entre les clans d'adolescents se finissaient rarement bien et on n'allait pas demander si celui-là ou celui-là avait bien vécu son passage à tabac. C'est à cette époque là que j'ai exigé de mon père mon premier tatouage et c'est à cette époque là qu'il a exigé de moi que je vienne bosser au salon pendant les vacances, puisque tout se payait d'après lui. Je me suis fait tatouer des ailes dans le dos, débilement, me voulant libre comme l'oiseau. Étrangement, partageant l'activité de mon père, d'abord en tant que technicien de surface, -oui, nettoyer les chiottes, n'insistez pas pour les détails-, j'ai commencé à me rapprocher de lui. Il m'a fait découvrir sa passion pour le tatouage et les modifications corporelles, me narguant avec sa crête violette et sa peau sur laquelle il cachait des centaines de secrets. J'ai fini par me laisser séduire, à lui abandonner mon corps pour des dizaines et des dizaines d'heures de travail, à lui abandonner mon esprit pour des dizaines et des dizaines d'heures de formation. Au final, je n'avais presque plus de temps pour glander, trop passionné, -entre ça et les gadgets e-techs, ordinateurs et autres technologies-, et je pensais sincèrement en faire mon métier.

Jusqu'à ce que le suicide de mon second paternel ne me plonge dans le trouble, car même si mon premier père mimait l'indifférence tout en ne pouvant dissimuler un brin de culpabilité quant au décès de son conjoint, j'avais aussi été l'enfant de cet homme. Je me remis en question, moi, mon comportement et tous les aspects de ma vie à ce moment là.  

C'est là que je croisa pour la première fois une belle demoiselle du nom de Kanako. Une jeune femme qui me montra le chemin à prendre. Elle était trop bien pour moi, cette jeune fille de bonne famille, et ses parents eurent vite fait de me le faire remarquer. Je suppose que mes cheveux décolorés de l'époque, mes piercings et mes tatouages ne leurs revenaient pas, mais les deux tourtereaux que nous étions s'en fichaient bien. Je repris même mes études pour leurs clouer le bec, abandonnant sur un coup de tête mon père et tous ses projets, en bon gosse égoïste que j'étais, pour me plonger corps et âme dans une de mes autres passions, qui, elle, pouvait me mener bien plus loin que ce salon au coin de la rue. Le hacking, enfin, nous dirons que je rejoignis une école afin de devenir ingénieur informaticien, visant un métier comme ingénieur sécurité ou ingénieur réseau. Cette vocation n'est évidemment pas apparut soudainement, puisque je touchais à ce domaine depuis ma plus tendre enfance et qu'au fil des ans, je nourrissais déjà, bien que certainement un plus timidement qu'aujourd'hui, l'envie d'aller un jour foutre joyeusement la merde dans le programme de l'Incontestable. Et pas que lui d'ailleurs, puisque dans un monde où absolument tout est relié à un ordinateur, j'ai toujours pris un malin plaisir à reprendre le contrôle de ces technologies en usant de mes différentes connaissances sur le sujet. Et puis, même si je ne l'avoue jamais qu'à demi-voix, par fierté, mon second père était lui-même le chef d'une entreprise de gadgets électroniques -Des putains de réveil dernière génération connecté à votre mobile- et lui-aussi ingénieur de formation. J'ai choisi cette voie sûrement parce qu'après son décès, je cherchais naïvement à le comprendre, lui aussi, même s'il était à présent trop tard. -Quand je vous disais que j'étais qu'un gosse soumis qui trottinait derrière ses pères.-
Ma belle, elle, avait choisi le chemin des webdesigner. On était vraiment amoureux l'un de l'autre, vraiment très amoureux, et dès que nos âges respectifs le permirent, on emménagea ensemble dans un petit appartement de la ville. Ce fut certainement les plus belles années de ma vie, bien que mon père boudait un peu, ne digérant pas ma vocation soudaine et que les parents de Kanako ne loupaient pas une occasion pour me descendre plus bas que terre, moi et ma sale tête de punk. Malheureusement, dans tous ça, nous avions oublié que nous vivions dans un monde où règne l'injustice, où maître Incontestable est dictateur. Il aurait du me choisir. Moi et personne d'autre, mais preuve fut faite que cette machine a qui on a donné l'omnipotence ne possède en rien l'omniscience.  Ma belle Kanako mit fin à ses jours, se pendant au plafond du salon, me laissant une lettre d'adieu déchirante posée à côté du manuscrit qui la mariait à un inconnu. Le jour de son enterrement, je demanda à mon père de me tatouer l'une des phrases qui se trouvait dans son message autour du cou, cette même phrase qui m'étrangla de douleur et qui m'expliqua son geste. «  Je ne peux plus ni vivre avec toi, ni sans toi. » L'Incontestable ne lui laissa que le troisième choix. La mort.

J'ai passé les années qui suivirent la tête plongée dans les études, cherchant à oublier mon chagrin en me bourrant littéralement le crâne de toutes informations qui pourraient me servir à accomplir ma vengeance. Je brûlais de haine et de rage, haïssant ce programme qui avait fait de mon passé un enfer et qui avait fini par détruire ce futur idéal avec la femme que j'aimais. J'obtiens finalement mon diplôme et postula au TPAI, une fois, deux fois, trois fois, mais même si j'avais largement les compétences pour rejoindre la société qui gérait l'Incontestable, ma tête ne semblait pas leur revenir, comme-ci j'avais déjà le mot « dangereux » tatoué sur le front. Ils n'avaient pas tort, je n'ai plus qu'une obsession aujourd'hui :
Détruire l'Incontestable.
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( Mise à jour. )

Suite à plusieurs péripéties sur Tokyo, Aiichirô décida de voyager un peu dans le Japon, afin d'élargir ses connaissances et son cercle de connaissances. Il parti pendant une longue période dans le Kansai, sur Osaka, afin de pratiquer et améliorer ses techniques d'Irezumi auprès d'un des clans Yakuza les plus influents du monde japonais, les Yamaguchi-gumi, qui ont leur quartier général sur Kobe. Lui qui, jusqu'à présent, travaillait essentiellement pour le clan Inagawa-kaï de Tokyo, sait pertinemment que trahir ces Yakuzas en rejoignant une autre organisation risque fort de lui attirer quelques représailles à son retour, mais quitte à travailler pour/rejoindre un clan, autant bosser pour le plus important du Japon, n'est-ce pas ? Grâce à cela, le tatoueur c'est fait des amis hauts placés.

A côté de ça, il a continué son travail de hacker en perfectionnant ses techniques jour après jour, restant intouchable, malgré ses nombreuses attaques. Malheureusement, il n'est abouti à rien de concluant, l'Incontestable restant désespérément inviolable. Mais il ne lâche pas le morceau, il ne lâchera jamais. InconnuK continu d’œuvrer sur la toile, de lier des liens avec d'autres hackers, afin d'apprendre encore et encore, d'assimiler des informations, d'améliorer ses codes. Aujourd'hui, il est répertorié dans les dossiers de l'Etat japonais comme l'un des plus dangereux cyber-terroristes du Japon, ses agressions visant exclusivement le logiciel tyrannique.      

Sachant pertinemment que son impulsivité nuit à son travail, il est monté pendant trois mois sur le Mt Koya ( trois mois d'inactivités dans le darknet ) partageant la vie des moines et tentant, tant bien que mal de canaliser ses démons, de calmer ses troubles obsessionnels, mais... les résultats restent mitigés.

Il a appris récemment que son père, vieillissant, a fait un infarctus et doit désormais ralentir. De ce fait, Aiichirô a décidé de revenir sur Tokyo afin de reprendre le Zugaikotsu, le salon de tatouages de la famille. Bossant toujours sur ses ordinateurs, il pratique à côté l'Irezumi pour la branche des Yamaguchi-gumi installée dans le Kanto, ainsi que le tatouage ( et les percings ) pour les rares clients qui s’égarent dans son salon.

Détruire l'Incontestable.
Détruire l'Incontestable.
Détruire l'Incontestable.
Détruire l'Incontestable.
Détruire l'Incontestable.
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Il faut pas se faire des idées à cause de son look décalé, Aii, c'est un bon gars quand il veut. Ça fait un petit moment qu'il a arrêté d'arpenter les bas-fonds de Tokyo avec sa bande de délinquants juvéniles à la recherche du gros coups qui lui fera sentir qu'il en a dans le pantalon. Son style, de ses tatouages à ses piercings en passant par ses fringues, il le porte parce que c'est lui. Évidemment, on pourra facilement comprendre que ce mec là, il en a rien à foutre de l'option d'autrui et qu'il assume très bien son corps, voir même son caractère. Provocateur comme pas deux, on comprendra bien vite qu'il a tendance à en rajouter une couche quand on ose lui faire certaine critique désobligeante. Borné et rancunier, il n'est pas le genre de personnage qu'il faut se mettre à dos, parce qu'il n'aura de cesse de venir chercher la petite bête. Il n'oublie pas et s'il ne peut pas boxer le salopard qui lui a fait un sale coup, il attendra sagement son heure, préparant méthodiquement un plan pour le poignarder. Pas forcement dans le dos, pas forcement qu'une fois. Depuis la mort de sa petite amie, Aii est suivit par un psychiatre, un abruti qui n'a pas encore comprit que le jeune homme est en train de développer certains troubles obsessionnelles. Le japonais met tout en œuvre pour détruire l'Incontestable et cela passe par des heures et des heures à travailler sur des programmes, souvent malveillants, et à arpenter le net à la recherche d'informations utiles. Vous pouvez être certain de trouver sur tous les forums traitant du programme, bon ou mauvais publicitaire, un certain inconnuK, pro' et provocateur, qui au fil des mois n'est plus totalement inconnu dans l'univers du hacking. Il a déjà connu ses petites heures de gloire en provoquant de nombreux buzz sur le net, soulignant toujours l'aspect tyrannique du logiciel. Malheureusement, il a vite comprit que même sur internet, des professionnels au service du gouvernement faisaient la censure. Qu'à cela ne tienne, Aii n'a plus rien à perdre et continue de travailler pour devenir de moins en moins contrôlable. C'est un électron libre, un mec qui n'a pas son pareil lorsqu'il s'agit d'emmerder le monde. Et si le blanc de ses yeux n'était pas tatoué de noir, certainement que son regard serait injecté de sang. C'est un homme malade qui préfère attendre de tomber de sommeil, sur son bureau ou dans la rue, plutôt que de risquer voir se dessiner sur le plafond au dessus de son lit, la silhouette de sa défunte Kanako. Ce qui explique la pâleur de sa peau, puisqu'il est clair que si quelqu'un ne vient pas lui foutre rapidement des baffes, il passera certainement très rapidement de vie à trépas. Évidemment, son père lui fait souvent la remarque lorsqu'il se décide enfin à venir bosser un peu au salon, mais Aii reste un homme insouciant, inconscient, qui ne vit plus que pour briser le système et qui d'un sourire ou d'une blague douteuse réussira à changer le ton et même le thème d'une conversation.

Oui, il a ses mauvais côtés, mais aussi ses bons. C'est quelqu'un d'honnête, d'extrêmement franc, qui n'aura aucun scrupule à vous balancer la vérité en pleine face, même si celle-ci est douloureuse à entendre. Il a ses principes et rien ne pourra l'empêcher de suivre cette ligne de conduite. C'est quelqu'un de très fier qui préféra finir éventré sur du béton plutôt que se soumettre au premier abruti à galons qui passe. Il n'a pas qu'une grande gueule, généralement, ce qu'il dit, il l'a fait, le fait ou va le faire. On ne peut pas trouver personnage plus fiable que ce bonhomme là, puisqu'il préféra vous dire d'aller vous faire foutre plutôt que de jouer les hypocrites en vous ensorcelant avec de mielleuses paroles. A l'image du soleil éblouissant qui se trouve sur son cœur, c'est un homme qui bouillonne. Il semble assez calme de loin, pourtant, impulsif, il prend très rapidement la mouche et très clairement esclave de ses pulsions, bonnes ou mauvaises. S'il pète un câble, il pourrait très facilement balancer une chaise à travers la vitrine d'un magasin. -Ceci lui ayant valut déjà plusieurs séjours en prison, heureusement rien de grave jusqu'à présent.- Mais même s'il est colérique, c'est aussi quelqu'un de serviable. Comme je l'ai dit plus haut, il n'y a pas plus fiable que cet homme et il ira naturellement vers les gens qui ont besoin d'aide, quitte à vouloir aider une vieille dame à traverser la rue et se prendre plusieurs coups de sac à main, uniquement parce qu'il n'a pas vraiment la gueule du bienfaiteur.  Si nous abordons, pour le fun, ses petites habitudes, à part jouer les geeks obsédés par la destruction totale de l'absurde pilé sur lequel repose toute la société japonaise actuelle, Aii est loin du parfait homme de maison. Même si son père ainsi que plusieurs de ses amis lui ont ordonné, j'ai bien dit ordonné, de quitter l'appartement dans lequel il vivait avec Kanako, et où elle s'est d'ailleurs pendue, le jeune homme refuse catégoriquement de partir. L'endroit a d'ailleurs été ravagé par plusieurs de ses crises d'hystéries et tous les meubles sont bancales et/ou dépecés. A cela s'ajoute son bordel naturel, parce que oui, monsieur ne fait pas le ménage, il ne lui viendrait même jamais l'idée de toucher un balais. Ni la lessive et encore moins la cuisine. C'est la concierge qui vient de temps en temps, à la demande de son père -contre quelques billets-, ramasser le plus gros des saletés, prendre son linge ou faire la vaisselle. Quoiqu’ici, il n'y a pas grand chose à faire, puisque le hackeur ne fait rien de lui-même, ayant déjà perdu une quinzaine de kilos depuis le décès de Kanako. Cependant, il a un petit passe-temps, un quelque chose qui lui vide l'esprit, Aii aime jardiner. C'est étrange mais son balcon est recouvert de toutes sortes de plantes, certaines tiennent le coup, d'autres crèvent très rapidement, mais le brun apprécie tout particulièrement remuer la terre, ça le calme et l'apaise. Il déguste souvent ses légumes et fruits crus, à défaut d'avoir les compétences pour cuisiner sa cueillette du jour. A côté de ça, une évidence, le tatoueur et perceur sait manier les aiguilles, même s'il est vrai qu'il est loin d'avoir les compétences de son père dans le domaine, lui qui a consacré sa vie à son art. Mais peut-être que s'il cessait de faire une fixation sur l'Incontestable, qu'il se soignait, il pourrait à son tour s'exercer jusqu'à devenir un maître en la matière.    
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La première chose qui choque les passants au sujet d'Aii, c'est son look et vu l'ampleur de la chose, nous pouvons facilement y consacrer un paragraphe entier. Premièrement, son regard est typiquement japonais dans la forme. Des yeux en amande. Un regard fin et tranchant. Puis il y a cette couleur singulière, non pas seulement de son iris, mais de son œil en entier. Cet homme ayant fait pratiquer sur le blanc de ses yeux un tatouage bien particulier, il s'avère que cette zone blanche est devenue totalement noire. Et si on ajoute à cela la teinte rubis de ses prunelles, un héritage maternelle puisqu'aucun de ses pères ne possèdent ces yeux, on comprendra facilement pourquoi on l'interpelle souvent en le nommant Akuma. Surtout qu'il rase toujours ses sourcils comme les yankee. A ce singulier regard s'ajoute une coupe de cheveux tout aussi original, puisque monsieur a le crâne à moitié rasé. Le reste de sa tignasse est tirée sur le côté droit et attachée à l'arrière par différents objets, selon son humeur. D'une couleur ébène, un beau noir corbeau, une grande mèche recouvre souvent une partie de son visage, tombant en un dégradé parfaitement coupé sur sa joue droite. Attaquons-nous à présent à un gros morceau, un très gros morceau, ses piercings et ses tatouages. Tous les citer seraient une tâche des plus fastidieuses, alors je vais me contenter de brièvement les signaler. -Et sur les images, ça change tout le temps. D:- A son oreille gauche, deux écarteurs et plusieurs trous dans lesquels il met, selon son envie, des anneaux et boules. A sa gauche, un écarteur corne, ainsi que d'autres piercings, dont un qu'il relit parfois à son labret décalé. Il a aussi un piercing à l'arcade et à la langue. Pour le corps, il a le téton droit et d'autres qu'on découvrira en temps et en heure. Pour les tatouages, l'un des plus importants aux yeux d'Aii est celui qui entoure entièrement sa gorge, du latin signifiant «  Je ne peux plus ni vivre avec toi, ni sans toi. »  qui est simplement un extrait de la lettre que lui a laissé sa petite amie avant de se suicider. S'il a choisi le latin, c'est uniquement par pudeur, puisqu'il n'a pas forcement envie que le premier idiot qui passe puisse comprendre le sens de ce tatouage. Il porte aussi un soleil flamboyant sur le cœur, des ailes dans le dos accompagnées de plusieurs autres dessins et enfin, des épaules au bout de tous ses doigts on peut apercevoir plusieurs tatouages maories et autres tribales. Du haut de ses 1m79 et de son poids plume, -dangereusement en baisse ses derniers mois-, monsieur choisi ses vêtements avec très grande précaution. Il opte toujours pour des fringues décalés, un peu punk, rock, grunge, portant avec plaisir le sarouel, tout en pouvant aussi enfiler un slim et une jupe destroy. C'est un homme qui soigne son look et ça se voit au premier coup d'oeil, puisqu'il n'hésitera pas à porter à ses doigts quelques bagues ou à recouvrir ses ongles de vernis.
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Aiichirô C. Yori
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La vache, l'aura pas perdu d'temps celui là D: Eh mec! On va avoir des choses à se dire, en attendant, bienvenue!
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