— Just Married —
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16/12/2020
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Je suis: anti-Incontestable.
Époux/se :
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
Mahel Ryuzaki
Mahel Ryuzaki
J'aime pas les citations
Informations générales
Nom :Ryuzaki
Prénom.s :Mahel
Âge :30 ans, le 20/02/2082
Genre :masculin
Origines : Américaine - Japonaise
Activité :Medecin légiste
Sexualité :Hétéro
Avatar :k ‘ de King of fighter
Réglement : - Validé - Ari
Chemin
Autre :
Prénom.s :Mahel
Âge :30 ans, le 20/02/2082
Genre :masculin
Origines : Américaine - Japonaise
Activité :Medecin légiste
Sexualité :Hétéro
Avatar :k ‘ de King of fighter
Réglement : - Validé - Ari
Chemin
Autre :
Histoire
Je me suis toujours demandé ce que mon père avait foutu dans ce pays. Lui qui n’arrivait jamais à garder le moindre dollar sur lui plus de cinq minutes, comment a-t-il bien pu se payer ce voyage ? Oui c'était pour s'amuser un peu, passer du bon temps et travailler, un peu, voilà le résultat. Je suis né et je me retrouve dans ce pays de merde… Avec mon père... Dans le Bronx, quel bonheur...
...Je lâchai un soupir regardant le paysage au travers de cette fenêtre afin de ne plus penser à cet homme qui me pourrissait l'esprit déjà bien préoccupé par les soucis du quotidien. Mais je ne pouvais oublier mon passé et mon esprit s’égara dans les souvenirs retraçant les périples de mon odyssée...
Les premiers jours d'école... Je n'aurai jamais cru qu'on pouvait se montrer aussi méchant si jeune. Ma couleur de peau si sombre étayant un peu plus les multiples façons de me brimer. Rapidement exclu des élèves, je restais seul dans mon coin ruminant cette incompréhension du rejet dont je fus la victime. Ainsi qu’une haine de mon prochain qui mûrissait lentement, tapit dans les ténèbres de mon inconscient. Au fil du temps, malgré une enfance au début assez désastreuse je dois dire, j'avais bien réussi à tirer mon épingle du jeu, montrant à ces freluquets l'être humain que j'étais. Je m'étais endurci tel un roc face à la mer déchaînée. Comme un récif détruisant les bateaux, j'écrasais ceux qui m'avaient fait du mal auparavant, sans aucune demi-mesure, ni de distinction de la douleur infligée à mon encontre, faibles ou forts. Ceux qui m'ont fait souffrir, souffriront au centuple.
(2097)
L’adolescence, le tournant décisif de la vie où l’on prépare sa vie future d’adulte. Avec un quotidien des plus louables : Voiture, femmes, drogues, alcool. Rien de plus sain pour un adolescent de 15 ans en pleine croissance, et je dois dire que je ne m’en privais pas. Ce n’était pas mon géniteur qui empêcherait ma consommation de diminuer. C’était lui mon fournisseur ! Dire que cet enfoiré me faisait la morale sur les excès et le sexe alors que l’on consommait ces friandises comme des petits gros lâchés sur un twix et les femmes défilaient dans l’appartement autant que dans un centre commercial un jour de soldes. Les pilules qu’ils revendaient et que je consommais, augmentaient mon assurance et diminuait mes besoin de sommeil. Plus d'une fois la police venait dans notre demeure. Le plus amusant fut ces paris stupides que je faisais avec ces potes, plus souvent chez nous à faire leur trafic : qui repartiraient les bracelets aux poignets entre mon géniteur et moi. C'était lui. Je compris bien vite que la maison était une plaque tournante pour la distribution de leur marchandise, de plus avoir une personne à l’aise avec les chiffres aidait pour les comptes. Aucune fois les décibels ne descendaient plus bas que le moteur d’un tracteur dans cette maison, ce qui rendait les voisins excédés aux bords du suicide. Un passage mémorable qui donna naissance à beaucoup de violentes disputes avec mon pseudo père sans vraiment de résultats positifs. Le directeur appelait régulièrement s'inquiétant de mes multiples absences souvent prolongées. Mais j’étais trop con à l’époque pour comprendre ces démarches.
Un jour, je pris le courrier et tombais sur une lettre, j’étais étonné de ne pas voir une facture, une demande d’expulsion ou une lettre de menace. Une écriture incompréhensible, si c’en était une, un timbre du drapeau japonais ! Je venais de recevoir une lettre de ma mère biologique… Ce jour-là, ma vie avait pris une tournure inattendue. En plus des conflits que j’avais avec lui, voilà que ressortaient maintenant les cachotteries sur ma véritable mère ! Je ne pouvais décidément pas lui faire confiance ce jour-là je l’aurais très certainement tué de mes propres mains…
Je voulais la connaître.
C’est dans cet unique but que je pris conscience de la pente autodestructrice que j’arpentais. Il était temps de prendre une autre voie. Je me suis retrouvé dans une famille d'accueil puisque mon paternel séjournait en prison. Pour m’en sortir, un passage obligatoire dans un centre de désintox. Ce n’était pas une décision facile à prendre pour moi, admettre ma dépendance, d’avoir besoin d’aide. Je fêtais mes 16 ans dans le centre. Après une longue période difficile qui me gardait 4 semaines loin de mes repères, les cours redevenaient mon quotidien avec l’aide de l’assistante sociale du lycée. Elle avait été informé de ma situation par l'AS du collège et faisait de son mieux pour me ramener sur le chemin de l’école depuis mon entrée au lycée. Grace à leur persévérance, je pouvais à nouveau réchauffer le banc des classes. Les notes longtemps de la forme d'une bulle de savon évoluaient lentement. J’avais un objectif qui m’animait, me donnait la force de me lever le matin, de suivre des cours et de côtoyer des connards sans cervelle. J’irai au japon.
Qu’est-ce que je trouverai là-bas ? Sur ma mère, sur le Japon. Première partie, me documenter sur le pays. Un point me chiffonnait, une étrangeté bien propre à eux. Une puce était implantée dès la naissance coupant le libre arbitre de choisir sa femme et de se marier avec l’élu de son cœur. Une obligation pour tous ceux qui voudront demander la nationalité japonaise. Je trouvais ça complètement malade. Pour ma part, je n'avais pas besoin de ça pour trouver une femme. Jamais je n'accepterai ça ! Ils sont fous de laisser une machine décider pour eux !
Ma persévérance dans mes études et mon aisance dans les maths m'avaient permis d'intégrer le lycée scientifique et d'approcher un peu plus ce pays maternel qui attisait ma curiosité. J'eus finalement la chance de réaliser un grand pas vers la réalisation mon rêve. Une année d'études linguistique au Japon. Pendant mon année, enfin 10 mois, d’échange scolaire dans ce pays, j'avais appris sur le continent bien plus qu'en dix ans de lecture.
À mon retour j'écrivais une lettre à mon père, emporté par l'euphorie du voyage. Je lui parlais de mon séjour, des émerveillements que mes yeux n'arrivaient pas croire. Je lui racontais tout ce qui, dans ce pays, me plaisait, m'attirait, me rendait plus vivant que jamais. Mon esprit était resté prisonnier du monde du kimono et la vie en Amérique me semblait si monotone, insipide. Se ranger dans le droit chemin, ce n’est pas si facile, mais là-bas. Il y a tant à découvrir. Comme j'aurais dû m’y attendre, il ne prit pas la nouvelle avec joie. Bien au contraire. Mais pouvait il vraiment m'en empêcher ? Des jours de réflexion suivirent avant que je prenne ma décision. Un jour, j'irai au Japon.
2102
Me voilà sur le sol nippon, un beau cadeau d'anniversaire pour mes 20 ans. J’étais jeune et plein de rêves. Grâce aux correspondances gardées avec ma mère, ce rêve avait pris réalité. Désireuse autant que moi de faire connaissance. C’était la deuxième fois que des larmes coulaient sur mon visage. Après cette émouvante retrouvaille, elle me ramena chez elle. C’était si petit, vide, je me sentais à l’étroit. Comment faisait-elle pour vivre… survivre dans un pareil… Les mots me manquaient. Une cage à lapin aux states était plus grande que son appartement. Je devais l’aider, nous aider.
J’ai vite déchanté sur la situation de ma mère. Mise de coté pour avoir eu un enfant avec un non japonais par sa famille. J’ai pu poser une question qui était resté en suspens pendant plusieurs années, pourquoi elle ne m’avait pas gardé ? Elle m’expliqua la raison. Sa famille ne voulait pas d’enfant illégitime et non japonais en leur sein. Elle avait donné une somme conséquente pour qu’il parte avec le « colis »dès que possible. Malgré sa vive réticence, elle ne pouvait lutter contre sa famille trop respectueuse des traditions et abdiqua. Désespérée, elle avait obtenu par mon géniteur l’adresse qui maintiendrait le lien avec son enfant. Il avait promit de répondre et je connaissais la suite. Elle n’avait plus de contact avec elle. Elle n’avait jamais fait de demande et c’était juste cantonner à l’envoi de courrier malgré l’absence de retour. peur de sa famille je présumais, car elle garda le silence par la suite. Je n’insista pas.
Ce sont les connaissances de ma mère qui m'ont permis de trouver mon premier emploi, plongeur dans un restaurant. Ainsi je ne dépendrais pas d’elle financièrement. Le travail était dur et sans avenir, mais je ne me préoccupais pas de cela, ma volonté était plus forte et le désir de m'installer, inébranlable. Je ne tenais pas à finir si bas, j'avais de l'ambition, des désirs de grandeur. Pour ça, il faut de l'argent. Plus d'argent.
Plusieurs mois se sont écoulés maintenant, j'ai rendez-vous à l'hôpital pour cette puce que l'on devait m’implanter. Sans parler du stress de l'opération, je repensais à ce qui m'avait poussé à venir sur ce continent. Fuir mon père qui voulait ma mort ainsi que ces fournisseurs. « Emprunter » la recette de leur trafic de plusieurs mois pour le billet plus les faux frais et ma commission pour service rendu ne devait pas être à leur goût. Il y a de quoi pousser un homme a vous tuer, surtout si votre vie est menacé par vos partenaires. J'avais reçu un appel de l’hôpital, j'avais déjà une puce. Depuis ma naissance, le choc ! Une chose en moins à faire... Aucune femme ne m'enchaînera !
Je me suis fait quelques amis, perfectionné la langue avec ma mère en professeur particulier, trouvé un boulot plus avantageux. Si je voulais gravir les échelons de la société. Je décrochais un boulot de barman pour un cocktail donné par d'une riche femme, le temps d'une soirée. J'avais mis tous les atouts de mon côté, mais ce n'était pas mes compétences au service qui l’intéressait. Mon refus de céder à ses avances l'irrita au point où j'ai dû quitter mon poste prématurément. Retour à la case départ.
Qu'est-ce qui m'a pris de refuser ? C'était de l'argent si rapidement gagné. Il est vrai qu'elle n'avait plus rien d'une mannequin, pas plus que moi d’ailleurs, mais son aide financière aurait payé le loyer pendant deux bons mois ! Alors que j’épluchais les petites annonces à la recherche d’un travail quand je reçu un coup de fil. Les femmes riches ne lâchent pas si facilement. Je n'avais pas beaucoup de choix si je tenais à aider ma mère. Nous étions cinq hommes, la tenue plus que tendancieuse disait long sur mon travail de la nuit. Se trémousser sur la piste de danse où ces femmes en furie nous regardaient comme de belles pièces de viande à se mettre sous la dent. De l'argent facile pour quelques heures de danse. Quelle aubaine ! Ceci me rappelait un autre travail tout aussi gratifiant, la vente de « friandises »
Je prenais soin de mon nouveau gagne-pain, le rendant plus attirant, plus tentateur pour ces dames avides. Je devenais demandé, courtisé, les nuits me semblaient sans fin. Pour les plus généreuses, un supplément dans les salles privées. Tout n'était que purs délires enivrants saupoudrés de luxure. La roue avait tourné définitivement pour moi et je voyais l'avenir sous un autre jour.
Comment ai-je atterri dans ce lit déjà ? Cette chambre ne me disait rien, sans aucune décoration au mur d'un blanc pur. Ouais je me souvenais de cette cliente impatiente...du saké coulant à flot sur sa peau nacrée. De mon travail bien mené dans le salon privé... et... ce type qui nous attendait lorsqu'on est sorti de la salle, armée d'un tesson de bouteille, puis la douleur et je crois qu'il avait bien ramassé aussi. Ha oui, je me souviens maintenant. C'était un prétendant à ces faveurs qui avait essuyer plus de refus que la proposition contre le port d'armes en Amérique. Quelle soirée, je ne vais pas pouvoir bosser avant un moment....
2104
Depuis cet incident, j'avais décidé de ne plus vendre mon corps, continuant les strip-teases pour arrondir les fins de mois en plus de mes petits jobs. La vie est courte, inutile de l'écourter brutalement à cause d'un homme jaloux. Les prisons d’ici n’ont pas l’air marrantes. Cela avait créé une certaine déception parmi les plus fidèles admiratrices qui se contentaient maintenant juste de regarder gardant le souvenir des moments passés dans leur cœur. Grâce à l'une d'elles, voulant me remercier ou me garder à portée de griffes, elle me fit rencontrer un de ses amis. Professeur dans une école de médecine. Il fut attentif, un peu trop même je trouve me dévisageant de la tête aux pieds. Il comptait me disséquer ou quoi ? Que voulait cette femme, me ferait-elle du chantage pour avoir des entrevues privilégiées ? Je m'attendais toujours au pire, jusqu'à présent il n’eut aucune allusion à ce sujet. Il me restait à réussir les concours d’entrée.
Septembre 2104
J'ai parcouru du chemin depuis mon arrivée au Japon. Je suis nationalisé, Nous avons déménagé dans un vrai appartement avec ma mère, j’étais étudiant boursier en école de médecine. Ici, j’avançais et je ne tenais à pas lâcher prise !
2108 - 2112
les bruits de pas résonnaient sur le sol immaculé. Trois hommes avançaient dans ce long couloir sans âme qui semblait interminable. Ils traversèrent une grille, puis une autre barrant leur chemin avant de s’immobiliser devant une porte de métal. Celle-ci s’ouvrit dans un grincement laissant apparaître un homme en blouse blanche assis devant une table aussi froide qu’impersonnelle. Les cheveux grisonnant, une calvitie bien prononcée, de petites lunettes rondes et un regard dépourvu d’émotion qui semblait scruter la moindre faille de son interlocuteur. L’homme de petite taille portait une blouse blanche sur son costume gris. Le vieil homme ajusta ses lunettes fixant les nouveaux arrivants avec attention, puis retourna à la contemplation du dossier ouvert devant lui. Les trois hommes entrèrent sans un mot. Le plus grand d’entre eux alla s’asseoir sur la seule chaise visible se trouvant face à l’homme à lunettes. L’homme à la peau d’ébène tentait de trouver une position acceptable pour sa grande taille et posa ses mains sur la table. les bracelets tintaient à chacun de ses mouvements restreints par celle-ci. Son regard perdu fixait un point quelques secondes, chercha une souris illusoire patrouillant sur la surface. Le médecin prend enfin la parole sortant Mahel de ses tourments, leva les yeux sur le médecin qui lui parla en lisant une de ses feuilles du dossier.
- Mahel Ryuzaki né le 20,02,2082 à Setagaya… au Japon. Élevé par son père au États-Unis, blablabla (tourne une feuille) et le fils revient au pays pour ses 20 ans. Il vivait avec sa mère depuis.
Le docteur lève les yeux de sa lecture pour regarder l’homme avant de laisser son doigt passer en revue les lignes une à une et s’immobilise.
- Ha oui, vous avez participé à de nombreuses manifestations avec les terroristes. Un homme de votre carrure se remarque dans notre ville. Mais comment avez vous fait pour éviter la police jusqu’à présent ? Ce n’est plus le cas maintenant. (sourit, puis poursuit sa lecture) Vous perdez votre mère dans la tragédie de Sukumei, seul rescapé de votre immeuble en ruine… Petit veinard
Mahel lève la tête, le regard brûlant d’une intensité malsaine. Leur regard se croisait, mais le médecin ne broncha nullement impressionné par le grand gaillard et sa forte stature.
- Tiens, mais tu as encore de l’énergie! C’est bien ! As-tu pu lui dire au revoir ?
Mahel tenta de se lever d’un bond, mais les deux gardes le firent s’asseoir rudement avant même qu’il ne tende les bras vers cet homme dont il rêvait de tordre le cou. Celui-ci continua la lecture sans tenir compte de cette broutille.
- Tu prends le nom de ta mère comme nom d’usage à son décès en 2019, tu deviens interne en 2110. Hoo, un jeune confrère ! Quelle spécialité… Voyons… La médecine légale... Et là, votre tentative de fuite en 2111… (lève les yeux sur le jeune homme sans dire un mot pendant de longue minutes) Quel regrettable parcours, mais cela est du à un grand changement dans votre vie. La perte regrettable de votre mère et cette malencontreuse épidémie. Mais nous avons pu arrivé à temps pour vous aider. Grace à nos soins vous êtes de nouveau prêt à retourner dans la vie active et avec une puce plus performante. Vous comprenez que ceci est fait pour le bien de tous. Vous pouvez partir, mais sachez que dorénavant nous avons un œil sur vous. A la moindre infraction… Nous nous reverrons.
Silence de mort qui dure de longues minutes.
- Vous pouvez disposer, messieurs.
Les deux gardes emmenèrent Mahel récupérer le peu de biens en sa possession. Un portable, son porte feuille, un pendentif accroché à une cordelette de cuir.
Il était libre à nouveau, mais les choses ne seraient plus jamais comme avant. Son petit séjour l’avait profondément marqué. Une cicatrice faite aux fers rouges dans ses convictions anti-Incontestable. Il doutait même de ses principes si ardemment ancrés et faisant de lui l’homme d’aujourd’hui. Mais Mahel ne pouvait s’attarder plus dans les méandres de ses interrogations torturées. La famille de sa mère risquait encore de lui faire des histoires. En effet, depuis que le jeune homme a reprit le nom de jeune fille de sa mère. Il avait attiré l’attention sur lui et plusieurs membres sont clairement venus l’intimider pour qu’il reprenne le nom de son père et quitte le pays. Ils n’avaient qu’accentuer son mal-être pendant ce moment de faiblesse. Mais il restera ici qu’ils le veuillent ou non, car une nouvelle page de sa vie se remplissait et de nouvelles épreuves l’attendaient.
...Je lâchai un soupir regardant le paysage au travers de cette fenêtre afin de ne plus penser à cet homme qui me pourrissait l'esprit déjà bien préoccupé par les soucis du quotidien. Mais je ne pouvais oublier mon passé et mon esprit s’égara dans les souvenirs retraçant les périples de mon odyssée...
Les premiers jours d'école... Je n'aurai jamais cru qu'on pouvait se montrer aussi méchant si jeune. Ma couleur de peau si sombre étayant un peu plus les multiples façons de me brimer. Rapidement exclu des élèves, je restais seul dans mon coin ruminant cette incompréhension du rejet dont je fus la victime. Ainsi qu’une haine de mon prochain qui mûrissait lentement, tapit dans les ténèbres de mon inconscient. Au fil du temps, malgré une enfance au début assez désastreuse je dois dire, j'avais bien réussi à tirer mon épingle du jeu, montrant à ces freluquets l'être humain que j'étais. Je m'étais endurci tel un roc face à la mer déchaînée. Comme un récif détruisant les bateaux, j'écrasais ceux qui m'avaient fait du mal auparavant, sans aucune demi-mesure, ni de distinction de la douleur infligée à mon encontre, faibles ou forts. Ceux qui m'ont fait souffrir, souffriront au centuple.
(2097)
L’adolescence, le tournant décisif de la vie où l’on prépare sa vie future d’adulte. Avec un quotidien des plus louables : Voiture, femmes, drogues, alcool. Rien de plus sain pour un adolescent de 15 ans en pleine croissance, et je dois dire que je ne m’en privais pas. Ce n’était pas mon géniteur qui empêcherait ma consommation de diminuer. C’était lui mon fournisseur ! Dire que cet enfoiré me faisait la morale sur les excès et le sexe alors que l’on consommait ces friandises comme des petits gros lâchés sur un twix et les femmes défilaient dans l’appartement autant que dans un centre commercial un jour de soldes. Les pilules qu’ils revendaient et que je consommais, augmentaient mon assurance et diminuait mes besoin de sommeil. Plus d'une fois la police venait dans notre demeure. Le plus amusant fut ces paris stupides que je faisais avec ces potes, plus souvent chez nous à faire leur trafic : qui repartiraient les bracelets aux poignets entre mon géniteur et moi. C'était lui. Je compris bien vite que la maison était une plaque tournante pour la distribution de leur marchandise, de plus avoir une personne à l’aise avec les chiffres aidait pour les comptes. Aucune fois les décibels ne descendaient plus bas que le moteur d’un tracteur dans cette maison, ce qui rendait les voisins excédés aux bords du suicide. Un passage mémorable qui donna naissance à beaucoup de violentes disputes avec mon pseudo père sans vraiment de résultats positifs. Le directeur appelait régulièrement s'inquiétant de mes multiples absences souvent prolongées. Mais j’étais trop con à l’époque pour comprendre ces démarches.
Un jour, je pris le courrier et tombais sur une lettre, j’étais étonné de ne pas voir une facture, une demande d’expulsion ou une lettre de menace. Une écriture incompréhensible, si c’en était une, un timbre du drapeau japonais ! Je venais de recevoir une lettre de ma mère biologique… Ce jour-là, ma vie avait pris une tournure inattendue. En plus des conflits que j’avais avec lui, voilà que ressortaient maintenant les cachotteries sur ma véritable mère ! Je ne pouvais décidément pas lui faire confiance ce jour-là je l’aurais très certainement tué de mes propres mains…
Je voulais la connaître.
C’est dans cet unique but que je pris conscience de la pente autodestructrice que j’arpentais. Il était temps de prendre une autre voie. Je me suis retrouvé dans une famille d'accueil puisque mon paternel séjournait en prison. Pour m’en sortir, un passage obligatoire dans un centre de désintox. Ce n’était pas une décision facile à prendre pour moi, admettre ma dépendance, d’avoir besoin d’aide. Je fêtais mes 16 ans dans le centre. Après une longue période difficile qui me gardait 4 semaines loin de mes repères, les cours redevenaient mon quotidien avec l’aide de l’assistante sociale du lycée. Elle avait été informé de ma situation par l'AS du collège et faisait de son mieux pour me ramener sur le chemin de l’école depuis mon entrée au lycée. Grace à leur persévérance, je pouvais à nouveau réchauffer le banc des classes. Les notes longtemps de la forme d'une bulle de savon évoluaient lentement. J’avais un objectif qui m’animait, me donnait la force de me lever le matin, de suivre des cours et de côtoyer des connards sans cervelle. J’irai au japon.
Qu’est-ce que je trouverai là-bas ? Sur ma mère, sur le Japon. Première partie, me documenter sur le pays. Un point me chiffonnait, une étrangeté bien propre à eux. Une puce était implantée dès la naissance coupant le libre arbitre de choisir sa femme et de se marier avec l’élu de son cœur. Une obligation pour tous ceux qui voudront demander la nationalité japonaise. Je trouvais ça complètement malade. Pour ma part, je n'avais pas besoin de ça pour trouver une femme. Jamais je n'accepterai ça ! Ils sont fous de laisser une machine décider pour eux !
Ma persévérance dans mes études et mon aisance dans les maths m'avaient permis d'intégrer le lycée scientifique et d'approcher un peu plus ce pays maternel qui attisait ma curiosité. J'eus finalement la chance de réaliser un grand pas vers la réalisation mon rêve. Une année d'études linguistique au Japon. Pendant mon année, enfin 10 mois, d’échange scolaire dans ce pays, j'avais appris sur le continent bien plus qu'en dix ans de lecture.
À mon retour j'écrivais une lettre à mon père, emporté par l'euphorie du voyage. Je lui parlais de mon séjour, des émerveillements que mes yeux n'arrivaient pas croire. Je lui racontais tout ce qui, dans ce pays, me plaisait, m'attirait, me rendait plus vivant que jamais. Mon esprit était resté prisonnier du monde du kimono et la vie en Amérique me semblait si monotone, insipide. Se ranger dans le droit chemin, ce n’est pas si facile, mais là-bas. Il y a tant à découvrir. Comme j'aurais dû m’y attendre, il ne prit pas la nouvelle avec joie. Bien au contraire. Mais pouvait il vraiment m'en empêcher ? Des jours de réflexion suivirent avant que je prenne ma décision. Un jour, j'irai au Japon.
2102
Me voilà sur le sol nippon, un beau cadeau d'anniversaire pour mes 20 ans. J’étais jeune et plein de rêves. Grâce aux correspondances gardées avec ma mère, ce rêve avait pris réalité. Désireuse autant que moi de faire connaissance. C’était la deuxième fois que des larmes coulaient sur mon visage. Après cette émouvante retrouvaille, elle me ramena chez elle. C’était si petit, vide, je me sentais à l’étroit. Comment faisait-elle pour vivre… survivre dans un pareil… Les mots me manquaient. Une cage à lapin aux states était plus grande que son appartement. Je devais l’aider, nous aider.
J’ai vite déchanté sur la situation de ma mère. Mise de coté pour avoir eu un enfant avec un non japonais par sa famille. J’ai pu poser une question qui était resté en suspens pendant plusieurs années, pourquoi elle ne m’avait pas gardé ? Elle m’expliqua la raison. Sa famille ne voulait pas d’enfant illégitime et non japonais en leur sein. Elle avait donné une somme conséquente pour qu’il parte avec le « colis »dès que possible. Malgré sa vive réticence, elle ne pouvait lutter contre sa famille trop respectueuse des traditions et abdiqua. Désespérée, elle avait obtenu par mon géniteur l’adresse qui maintiendrait le lien avec son enfant. Il avait promit de répondre et je connaissais la suite. Elle n’avait plus de contact avec elle. Elle n’avait jamais fait de demande et c’était juste cantonner à l’envoi de courrier malgré l’absence de retour. peur de sa famille je présumais, car elle garda le silence par la suite. Je n’insista pas.
Ce sont les connaissances de ma mère qui m'ont permis de trouver mon premier emploi, plongeur dans un restaurant. Ainsi je ne dépendrais pas d’elle financièrement. Le travail était dur et sans avenir, mais je ne me préoccupais pas de cela, ma volonté était plus forte et le désir de m'installer, inébranlable. Je ne tenais pas à finir si bas, j'avais de l'ambition, des désirs de grandeur. Pour ça, il faut de l'argent. Plus d'argent.
Plusieurs mois se sont écoulés maintenant, j'ai rendez-vous à l'hôpital pour cette puce que l'on devait m’implanter. Sans parler du stress de l'opération, je repensais à ce qui m'avait poussé à venir sur ce continent. Fuir mon père qui voulait ma mort ainsi que ces fournisseurs. « Emprunter » la recette de leur trafic de plusieurs mois pour le billet plus les faux frais et ma commission pour service rendu ne devait pas être à leur goût. Il y a de quoi pousser un homme a vous tuer, surtout si votre vie est menacé par vos partenaires. J'avais reçu un appel de l’hôpital, j'avais déjà une puce. Depuis ma naissance, le choc ! Une chose en moins à faire... Aucune femme ne m'enchaînera !
Je me suis fait quelques amis, perfectionné la langue avec ma mère en professeur particulier, trouvé un boulot plus avantageux. Si je voulais gravir les échelons de la société. Je décrochais un boulot de barman pour un cocktail donné par d'une riche femme, le temps d'une soirée. J'avais mis tous les atouts de mon côté, mais ce n'était pas mes compétences au service qui l’intéressait. Mon refus de céder à ses avances l'irrita au point où j'ai dû quitter mon poste prématurément. Retour à la case départ.
Qu'est-ce qui m'a pris de refuser ? C'était de l'argent si rapidement gagné. Il est vrai qu'elle n'avait plus rien d'une mannequin, pas plus que moi d’ailleurs, mais son aide financière aurait payé le loyer pendant deux bons mois ! Alors que j’épluchais les petites annonces à la recherche d’un travail quand je reçu un coup de fil. Les femmes riches ne lâchent pas si facilement. Je n'avais pas beaucoup de choix si je tenais à aider ma mère. Nous étions cinq hommes, la tenue plus que tendancieuse disait long sur mon travail de la nuit. Se trémousser sur la piste de danse où ces femmes en furie nous regardaient comme de belles pièces de viande à se mettre sous la dent. De l'argent facile pour quelques heures de danse. Quelle aubaine ! Ceci me rappelait un autre travail tout aussi gratifiant, la vente de « friandises »
Je prenais soin de mon nouveau gagne-pain, le rendant plus attirant, plus tentateur pour ces dames avides. Je devenais demandé, courtisé, les nuits me semblaient sans fin. Pour les plus généreuses, un supplément dans les salles privées. Tout n'était que purs délires enivrants saupoudrés de luxure. La roue avait tourné définitivement pour moi et je voyais l'avenir sous un autre jour.
Comment ai-je atterri dans ce lit déjà ? Cette chambre ne me disait rien, sans aucune décoration au mur d'un blanc pur. Ouais je me souvenais de cette cliente impatiente...du saké coulant à flot sur sa peau nacrée. De mon travail bien mené dans le salon privé... et... ce type qui nous attendait lorsqu'on est sorti de la salle, armée d'un tesson de bouteille, puis la douleur et je crois qu'il avait bien ramassé aussi. Ha oui, je me souviens maintenant. C'était un prétendant à ces faveurs qui avait essuyer plus de refus que la proposition contre le port d'armes en Amérique. Quelle soirée, je ne vais pas pouvoir bosser avant un moment....
2104
Depuis cet incident, j'avais décidé de ne plus vendre mon corps, continuant les strip-teases pour arrondir les fins de mois en plus de mes petits jobs. La vie est courte, inutile de l'écourter brutalement à cause d'un homme jaloux. Les prisons d’ici n’ont pas l’air marrantes. Cela avait créé une certaine déception parmi les plus fidèles admiratrices qui se contentaient maintenant juste de regarder gardant le souvenir des moments passés dans leur cœur. Grâce à l'une d'elles, voulant me remercier ou me garder à portée de griffes, elle me fit rencontrer un de ses amis. Professeur dans une école de médecine. Il fut attentif, un peu trop même je trouve me dévisageant de la tête aux pieds. Il comptait me disséquer ou quoi ? Que voulait cette femme, me ferait-elle du chantage pour avoir des entrevues privilégiées ? Je m'attendais toujours au pire, jusqu'à présent il n’eut aucune allusion à ce sujet. Il me restait à réussir les concours d’entrée.
Septembre 2104
J'ai parcouru du chemin depuis mon arrivée au Japon. Je suis nationalisé, Nous avons déménagé dans un vrai appartement avec ma mère, j’étais étudiant boursier en école de médecine. Ici, j’avançais et je ne tenais à pas lâcher prise !
2108 - 2112
les bruits de pas résonnaient sur le sol immaculé. Trois hommes avançaient dans ce long couloir sans âme qui semblait interminable. Ils traversèrent une grille, puis une autre barrant leur chemin avant de s’immobiliser devant une porte de métal. Celle-ci s’ouvrit dans un grincement laissant apparaître un homme en blouse blanche assis devant une table aussi froide qu’impersonnelle. Les cheveux grisonnant, une calvitie bien prononcée, de petites lunettes rondes et un regard dépourvu d’émotion qui semblait scruter la moindre faille de son interlocuteur. L’homme de petite taille portait une blouse blanche sur son costume gris. Le vieil homme ajusta ses lunettes fixant les nouveaux arrivants avec attention, puis retourna à la contemplation du dossier ouvert devant lui. Les trois hommes entrèrent sans un mot. Le plus grand d’entre eux alla s’asseoir sur la seule chaise visible se trouvant face à l’homme à lunettes. L’homme à la peau d’ébène tentait de trouver une position acceptable pour sa grande taille et posa ses mains sur la table. les bracelets tintaient à chacun de ses mouvements restreints par celle-ci. Son regard perdu fixait un point quelques secondes, chercha une souris illusoire patrouillant sur la surface. Le médecin prend enfin la parole sortant Mahel de ses tourments, leva les yeux sur le médecin qui lui parla en lisant une de ses feuilles du dossier.
- Mahel Ryuzaki né le 20,02,2082 à Setagaya… au Japon. Élevé par son père au États-Unis, blablabla (tourne une feuille) et le fils revient au pays pour ses 20 ans. Il vivait avec sa mère depuis.
Le docteur lève les yeux de sa lecture pour regarder l’homme avant de laisser son doigt passer en revue les lignes une à une et s’immobilise.
- Ha oui, vous avez participé à de nombreuses manifestations avec les terroristes. Un homme de votre carrure se remarque dans notre ville. Mais comment avez vous fait pour éviter la police jusqu’à présent ? Ce n’est plus le cas maintenant. (sourit, puis poursuit sa lecture) Vous perdez votre mère dans la tragédie de Sukumei, seul rescapé de votre immeuble en ruine… Petit veinard
Mahel lève la tête, le regard brûlant d’une intensité malsaine. Leur regard se croisait, mais le médecin ne broncha nullement impressionné par le grand gaillard et sa forte stature.
- Tiens, mais tu as encore de l’énergie! C’est bien ! As-tu pu lui dire au revoir ?
Mahel tenta de se lever d’un bond, mais les deux gardes le firent s’asseoir rudement avant même qu’il ne tende les bras vers cet homme dont il rêvait de tordre le cou. Celui-ci continua la lecture sans tenir compte de cette broutille.
- Tu prends le nom de ta mère comme nom d’usage à son décès en 2019, tu deviens interne en 2110. Hoo, un jeune confrère ! Quelle spécialité… Voyons… La médecine légale... Et là, votre tentative de fuite en 2111… (lève les yeux sur le jeune homme sans dire un mot pendant de longue minutes) Quel regrettable parcours, mais cela est du à un grand changement dans votre vie. La perte regrettable de votre mère et cette malencontreuse épidémie. Mais nous avons pu arrivé à temps pour vous aider. Grace à nos soins vous êtes de nouveau prêt à retourner dans la vie active et avec une puce plus performante. Vous comprenez que ceci est fait pour le bien de tous. Vous pouvez partir, mais sachez que dorénavant nous avons un œil sur vous. A la moindre infraction… Nous nous reverrons.
Silence de mort qui dure de longues minutes.
- Vous pouvez disposer, messieurs.
Les deux gardes emmenèrent Mahel récupérer le peu de biens en sa possession. Un portable, son porte feuille, un pendentif accroché à une cordelette de cuir.
Il était libre à nouveau, mais les choses ne seraient plus jamais comme avant. Son petit séjour l’avait profondément marqué. Une cicatrice faite aux fers rouges dans ses convictions anti-Incontestable. Il doutait même de ses principes si ardemment ancrés et faisant de lui l’homme d’aujourd’hui. Mais Mahel ne pouvait s’attarder plus dans les méandres de ses interrogations torturées. La famille de sa mère risquait encore de lui faire des histoires. En effet, depuis que le jeune homme a reprit le nom de jeune fille de sa mère. Il avait attiré l’attention sur lui et plusieurs membres sont clairement venus l’intimider pour qu’il reprenne le nom de son père et quitte le pays. Ils n’avaient qu’accentuer son mal-être pendant ce moment de faiblesse. Mais il restera ici qu’ils le veuillent ou non, car une nouvelle page de sa vie se remplissait et de nouvelles épreuves l’attendaient.
Physique
Mahel est un bel étalon noir de grande stature aux épaules larges. Un corps naturellement taillé pour l'effort. Athlétique, les muscles saillants, il garde cette machine en parfait état par un entraînement physique intensif. Son visage ovale supporte une coupe courte couleur de neige. Il déteint ses cheveux depuis son arrivée au Japon. Ses yeux en amande braquent sur son interlocuteur une attention accrue qualifiée parfois de dérangeante. La nuance s'éclaircit bien plus sous le reflet de la lumière donnant un marron très clair. Juste en dessous de son nez se trouve une bouche charnue avec une denture blanche ressortant trop sur sa peau bronzée.
Passionné de moto, il a toujours une profonde habitude de s’habiller avec une veste et un pantalon en cuir et des lunettes de soleil. Il complète le tout par une paire de gants dépareillés, un gant rouge et un gant noir. Il a constamment un pendentif qu’il ne quitte jamais, souvenir de sa défunte mère. Très peu habitué au tenue pouvant être exigé par son travail, il se fera violence, mais tiendra toujours à marquer sa personnalité par quelques touches de son cru.
Fier comme un coq, il aime se pavaner et se fiche de ce qu’on pense de lui. Malgré une attitude agressive aux premiers abords se cache un allié de sur qui vous pouvez compter. Capable parfois de douceur, il surprendra ses proches par des attentions personnalisées. Quand le sombre géant est sur le point d'exploser, il a tendance à maltraiter un objet entre ses doigts.
Il souffre d’insomnie, se réveille souvent la nuit. De ce fait son cycle de sommeil est plus courte et de mauvaise qualité. Au réveil, il ne se sent pas reposé. Fatigué, voir irritabilité pendant la journée, il ne cherche à communiquer plus que nécessaire avec autrui. Ceci est dû à sa consommation de méthamphétamine durant une période de son adolescence.
D'un charme animal, sa frimousse de bad boy peut en interpeler plus d’une.
Passionné de moto, il a toujours une profonde habitude de s’habiller avec une veste et un pantalon en cuir et des lunettes de soleil. Il complète le tout par une paire de gants dépareillés, un gant rouge et un gant noir. Il a constamment un pendentif qu’il ne quitte jamais, souvenir de sa défunte mère. Très peu habitué au tenue pouvant être exigé par son travail, il se fera violence, mais tiendra toujours à marquer sa personnalité par quelques touches de son cru.
Fier comme un coq, il aime se pavaner et se fiche de ce qu’on pense de lui. Malgré une attitude agressive aux premiers abords se cache un allié de sur qui vous pouvez compter. Capable parfois de douceur, il surprendra ses proches par des attentions personnalisées. Quand le sombre géant est sur le point d'exploser, il a tendance à maltraiter un objet entre ses doigts.
Il souffre d’insomnie, se réveille souvent la nuit. De ce fait son cycle de sommeil est plus courte et de mauvaise qualité. Au réveil, il ne se sent pas reposé. Fatigué, voir irritabilité pendant la journée, il ne cherche à communiquer plus que nécessaire avec autrui. Ceci est dû à sa consommation de méthamphétamine durant une période de son adolescence.
D'un charme animal, sa frimousse de bad boy peut en interpeler plus d’une.
Caractère
Impulsivité
Mahel éprouve de grandes difficultés à contrôler la force de ses émotions. Difficile à vivre pour l'entourage, mais aussi pour lui-même. Il ressent le besoin de passer à l'action... et regrette souvent par la suite de ne pas avoir su réfléchir avant d'agir. Submergé par les émotions, il ne parvient pas à projeter les conséquences de ses actes. Qu'elles soient positives ou négatives ! À la recherche de sensations fortes qui sont des pics d'excitations et d'enthousiasmes qui le mène à reproduire les passages à l'acte sans réflexion suffisante.
Colérique,
Mahel possède une armure défensive naturelle hors du commun qui survient à chaque fois il fait face à un refus. Cette frustration fait resurgir de l'agressivité. Dans sa communication il se montre réfléchi et n'aime pas rentrer dans les moindres détails. Il aime dominer et donner des ordres. Il veut toujours avoir raison et dans une altercation il peut se montrer ironique et moqueur. Selon le degré de frustration, il peut aller de la simple irritation à une haine féroce.
Possessif
Il en éprouve le besoin, de posséder, de s'approprier en développant des sentiments dominateurs. Mahel est quelqu'un de possessif, considère sa compagne comme étant sa propriété. Un dur sentiment qui est quasi impossible de refréner... sans le vouloir vraiment.
Têtu
Être têtu c'est savoir ce que l'on veut, savoir ce qu'on l'attend de sa vie, avoir une idée bien précise de ce qu'elle doit être et l'obtenir. Mahel met tout en œuvre pour y arriver! C'est aussi persévérer, il n'aime pas perdre ou échouer. L'échec n'est pas un obstacle, pour lui juste une façon de rebondir en apprenant de ces erreurs. L'obstination peut nous pousser dans la mauvaise direction. Il arrive d'avoir tort aussi, mais qu'il est dur de le concevoir.
Fiable
Mahel est quelqu'un en qui on peut avoir confiance, une personne sur qui on peut compter. Il est prêt à faire n'importe quel effort pour tenir n'importe quelle promesse qu'il a faite. Son partenaire et ses amis peuvent lui faire confiance à vie. Cependant, il prendra le temps de s'engager dans une relation affectant un soin particulier à choisir partenaire comme ses amis et se limite à un petit cercle exclusif. Le métisse agit par les actes, ne vous attendez pas à recevoir des démonstrations orales.
Honnête
Un homme de bonne compagnie qui fait preuve de politesse, de savoir-vivre, qui respecte les convenances, de courtoisie ou de bienséance, de manière à être acceptable ou plausible sans choquer ou blesser. Dévoué, capable de grands sacrifices, de bien aimer et de bien haïr les basses ruses, les tromperies. Une valeur morale qui se rapprocherait de la notion du «bon» selon lequel «ce qui est juste est bon». Justicier dans l'âme, face à une injustice Mahel pourrait bien réagir en conséquence.
Sincère
Mahel ne mâche pas ses mots, exprime sans les déguiser, ses pensées et ses sentiments. Conforme à ses propres règles du devoir, il est une personne qu'on ne peut corrompre. Fidèle à tenir parole, pour lui elle est sacrée. Ne pas honorer ses engagements, discrimine l'individu à ses yeux qui se détournerait définitivement.
Déterminé
« Il faut d'abord savoir ce que l'on veut, il faut ensuite avoir le courage de le dire, il faut enfin l'énergie de le faire » Mahel c'est ce qu'il veut, ne lâchant pas prise, tel un chien accroché à son os. Il s'abandonne entièrement à son objectif sans en démordre et cela jusqu'à que le but soit accompli.
Ne lui parlez jamais, en aucune circonstance, de son père.
Mahel éprouve de grandes difficultés à contrôler la force de ses émotions. Difficile à vivre pour l'entourage, mais aussi pour lui-même. Il ressent le besoin de passer à l'action... et regrette souvent par la suite de ne pas avoir su réfléchir avant d'agir. Submergé par les émotions, il ne parvient pas à projeter les conséquences de ses actes. Qu'elles soient positives ou négatives ! À la recherche de sensations fortes qui sont des pics d'excitations et d'enthousiasmes qui le mène à reproduire les passages à l'acte sans réflexion suffisante.
Colérique,
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Possessif
Il en éprouve le besoin, de posséder, de s'approprier en développant des sentiments dominateurs. Mahel est quelqu'un de possessif, considère sa compagne comme étant sa propriété. Un dur sentiment qui est quasi impossible de refréner... sans le vouloir vraiment.
Têtu
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Fiable
Mahel est quelqu'un en qui on peut avoir confiance, une personne sur qui on peut compter. Il est prêt à faire n'importe quel effort pour tenir n'importe quelle promesse qu'il a faite. Son partenaire et ses amis peuvent lui faire confiance à vie. Cependant, il prendra le temps de s'engager dans une relation affectant un soin particulier à choisir partenaire comme ses amis et se limite à un petit cercle exclusif. Le métisse agit par les actes, ne vous attendez pas à recevoir des démonstrations orales.
Honnête
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Hoho bienvenue à toi ! :)
Bon courage pour la suite de ta fiche o/
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Oi, oi, oi
Team métisse nippo-américain, on est dans la place J'ai lu le caractère maintenant je veux sa story MDR
Bonne chance pour la souite !
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T'as un métier glauque, je t'aime. 8D
Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
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Hiroto : merci pour et l'accueil et les encouragements. ^^
Noa : On est en force donc ? ^^
Merci à toi.j'espère que le résultat sera à la hauteur.
Honoka : Arrête je vais rougir xD
Merci beaucoup ^^
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Bonjour et bienvenue Hans !
Attention, ton physique n'est pas assez long, il doit faire au moins 250 mots et il en fait actuellement 136
Je te laisse le rallonger ! Quand tu auras terminé, n'oublie pas de remplacer le "en cours" en "terminé" dans le sous-titre de ta fiche (en laissant la date).
Bon courage !
Attention, ton physique n'est pas assez long, il doit faire au moins 250 mots et il en fait actuellement 136
Je te laisse le rallonger ! Quand tu auras terminé, n'oublie pas de remplacer le "en cours" en "terminé" dans le sous-titre de ta fiche (en laissant la date).
Bon courage !
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits
- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit :
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
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Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum !
Introduction
Bienvenue sur le forum ! :D Ton avatar n'est pas à la bonne taille, il doit faire soit 200*300, 200*400 ou 250*400, ainsi que les images de ta fiche.A la naissance l'enfant prend le nom de son père, Ryuzaki c'est plus japonais que anglais.
Tu dis qu'il est médecin légiste, mais tu ne parles pas de son métier et non plus pas de ses études dans son histoire, juste qu'il veut/va intégrer une école de médecine.
Histoire
J'ai repéré quelques fautes que je te laisse corriger :
écoles
si méchant – méchamment
au centuple – en
j'irais
tente se leva
les deux gardes le fait
Aussi, il me faudrait pas mal d'éclaircissement sur l'histoire car ça manque quelques fois de cohérence et réalisme.
Comment Hans et son père ont pu faire ami-ami avec la police au point de ne pas se faire arrêter ? Le trafic de drogue est l'un des domaines dans lequel sévissent le plus les autorités, de plus ils vivent dans le Bronx un quartier où la police est tout sauf sympathique avec les habitants.
A quel âge Hans est allé en centre de désintoxe ? Car il avait déjà 17 ans avant tout ceci et il était donc à la fin de son lycée.
Aussi comment s'est passée sa relation avec son père et son environnement ? Si son père est un dealer, il n'a pas pu étudier et s'en écarter facilement, tu dis plus tard qu'il voulait la mort de son fils, pourquoi ??
Sa mère n'a pas signalé l'enlèvement de son fils ? Comment a-t-elle eu son adresse américaine ?
Quelles études a-t-il fait pour pouvoir séjourner au Japon un an (plus tard il veut intégrer une école de médecin donc il faudrait prendre ça en compte) ? Comment son père a réagi à son envie d'y aller ?
Le Japon ne manque pas de petits boulots, donc ce n'est pas une denrée aussi rare. On part du principe qu'en 2112 le Japon a globalement accepté la cohabitation avec les étrangers donc il ne devrait pas y avoir de lieux et métiers qui leurs sont immédiatement refusés.
Comment la famille de sa mère a réagi quand il est revenu au Japon et elle semble vivre très modestement, quel travail fait-elle pour réussir à subvenir aux besoin d'eux deux ?
Hans n'a pas pu vendre son corps auprès de femmes mariées, il est interdit de tromper son partenaire sous peine d'être immédiatement tué avec son compagnon/sa compagne.
Caractère
d'enthousiasme
ces erreurs
« en qui on peut avoir confiance » tu l'as noté deux fois, attention.
Hans est beaucoup de choses, ça manque de nuance et il y a des contradictions.
Il est indifférent, 'rien ne peut l'émouvoir', il est macho, possessif, impulsif et colérique et en même temps il est bon et agréable.
Il faudrait choisir.
Physique
de les attaché
ces yeux
de sur qui l'on peut
Hans est Japonais et Africain-Américain, il ne peut avoir naturellement des yeux bleus, il peut par contre porter des lentilles ou avoir subit une modification génétique.
Quand s'est-il fait son tatouage ? Il faudra faire gaffe car au Japon le tatouage n'est pas aussi bien et je pense que dans certains quartiers américains ça peut être vu comme une appartenance à un gang, donc à préciser.
Depuis quand prenait-il de la drogue quand il était avec son père, car cela a sûrement du avoir des répercussions sur son physique si cela a duré pendant une grande partie de sa vie (traits vieillis, pertes de cheveux etc).
Conclusion
Tu as intégré les éléments du contexte et il y a presque pas de fautes, c'est bien ! Il faudrait juste que tu corriges et modifies ce que je t'ai signalé. C'est correcte de vouloir avoir une enfance compliquée, et un caractère affirmé et assumé, ce qui est nécessaire avec ce choix de personnage c'est de surtout respecter une certaine logique pour ne pas en mettre trop et au final se perdre.Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Modération : 1/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.
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Introduction
Tu as bien atténué le caractère et éclaircie l'histoire, c'est bien ! J'ai encore des précisions à te demander (dont des parties signalées en première correction qui sont toujours laissées telles qu'elles) et t'ai relevé les fautes qu'il reste à corriger.Histoire
écoles
mes besoin de sommeil
il revendaient
les pilules...augmentait
au centuple – en
qu'est-ce que je trouverais
tente se leva
les deux gardes le fit - pluriel
assit devant une table
petites lunettes ronde
nous avons pu arrivés
il a reprit
Hans et son pre ne se sont jamais fait arrêtés alors ? Alors que la police venait assez de fois pour qu'il lance des paries. Si il a fait de la prison il faut le dire et l'assistante sociale l'aurait placé si c'était son père qui était en prison.
A 16 ans on est au lycée et non au collège.
Aussi comment s'est passée sa relation avec son père et son environnement ? Si son père est un dealer, il n'a pas pu étudier et s'en écarter facilement, tu dis plus tard qu'il voulait la mort de son fils, pourquoi ??
Le Japon ne manque pas de petits boulots, donc ce n'est pas une denrée aussi rare. On part du principe qu'en 2112 le Japon a globalement accepté la cohabitation avec les étrangers donc il ne devrait pas y avoir de lieux et métiers qui leurs sont immédiatement refusés.
Depuis cet incident, j'avais décidé de ne plus vendre mon corps - donc le personne qui attendait Hans à la sortie de la pièce était bien le mari de sa compagne ou ? Il faut préciser sinon cela rejoint le point que je t'ai signalé précédemment :
Hans n'a pas pu vendre son corps auprès de femmes mariées, il est interdit de tromper son partenaire sous peine d'être immédiatement tué avec son compagnon/sa compagne.
j’étais étudiant boursier en école de médecine, un emploi de barman dans la boite de strip-tease où j’évoluais sur scène avant - il est impossible d'avoir un boulot et d'être étudiant en médecin (surtout la médecine) au vu du travail acharné que cela demande. D'ailleurs est-ce que Hans maîtrise assez bien le japonais
Il devient médecin légiste en 2110 donc à 28 ans, cependant il a auparavant fait une année d'études au Japon qui faisait partie de son parcours scolaire aux USA. Donc il n'a pas eu assez de temps pour caser tout ça en si peu d'années. Soit il est encore interne soit tu dois le vieillir ou si tu veux absolument le faire travailler, changer de cursus.
Caractère
des pics d'enthousiasme
ces erreurs
Hans est quelqu'un en qui on peut avoir confiance, une personne sur qui on peut compter, en qui on peut avoir confiance. - répétitions
Physique
ses yeux braque - pluriel
de sur qui l'on peut
Peau sombre – bronzée serait plus judicieux vu que tu as changé de personnage.
Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Modération : 2/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.
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Ca y est pfiou !
Il y a juste "Mais nous avons pu arrivé" - arriver !
Il y a juste "Mais nous avons pu arrivé" - arriver !
Pré-validation par Arisa
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
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• De réserver votre avatar ; Réservation avatars
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• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
Amuse-toi bien
Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
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& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
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- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
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Fanfic.fr
A fait un UA
Membre dynamique
A participé à un event RP
Comme un éclair
A terminé 5 RPs
Explorateur
A fait des RPs dans trois endroits différents du forum
Sociable
A fait des RPs avec 3 partenaires différents
Aventurier
A fait un RP en dehors de Tokyo
Machine à écrire
A posté 5000 messages
Habitué
Etre inscrit depuis un an
Fait partie des meubles
Etre inscrit depuis trois ans
Fait partie des murs
Etre inscrit depuis cinq ans
Célibataire endurci
Etre resté célibataire pendant un an d'affilé
Mascotte de l'Incontestable
Avoir été marié pendant 2 ans
Perfect match
Avoir été marié pendant 3 ans
Anti-système
Avoir commencé un mariage au centre de redressement