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Les plus du perso :
Je suis: neutre.
Époux/se : Célibataire.
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
Amadeus Edler
Amadeus Edler
Amadeus Edler
J'aime pas les citations
Informations générales
Nom :Edler
Prénom.s :Amadeus
Âge :28 ans - 4 octobre 2086
Genre :Masculin
Origines : Japonais ; né Autrichien
Activité :Patineur Artistique
Sexualité :Paumé ; hommes ? femmes ? il ne sait plus et a besoin de se retrouver, avant.
Avatar :Vivian (OC) - Demian Sackloth & Ashes
Réglement : - Validé - Ty'
CheminOh, vous savez...
Autre :Je vais enfin pouvoir le jouer ;w; aaaaah
Histoire

TW violences conjugales, relation abusive, abus



Il y a vingt-huit ans, mes yeux s’ouvraient sur le monde, dans la ville de Vienne, en Autriche. Mes parents, Avelyne et Hend Edler étaient sans doute les parents les plus heureux du monde -parmi d’autres parents des plus heureux du monde- et ce, quand bien même mon père aurait préféré un petit garçon. Ils ont souhaité garder le sexe de leur bébé secret, jusqu’à la naissance, pour avoir la surprise à l’accouchement. C’est ainsi qu’est née Amaryllis.

Mais Amaryllis, ce n’est pas moi.

J’ai été élevé dans l’amour. Je n’ai jamais manqué de rien. Je suis allé en école privée dès tout petit et, si mon père avait -et a toujours- un travail qui lui demande énormément de temps, il a toujours réussi à se libérer pour pouvoir passer des moments de complicité avec moi. Je n’étais, certes, pas l’héritier masculin qu’il espérait pour reprendre, à sa suite, la tête de son entreprise pharmaceutique, mais je restais son enfant et, de ce fait, il m’aimait et me choyait comme le plus précieux des trésors qu’il pouvait posséder.

Cependant, dès que j’ai eu l’âge de comprendre et penser par moi-même, dès que j’ai eu l’âge de côtoyer d’autres enfants, j’ai très vite compris que quelque chose « n’allait pas chez moi ». Mon corps, en réalité. J’ai très vite refusé de manière très ferme tous vêtements féminins ou tous jouets « pour les filles ». Pas parce que tous ne m’intéressaient pas. Mais simplement car je refusais l’idée même d’être considéré comme une fille. Je pense, aujourd’hui, pouvoir dire clairement que j’enviais les garçons et que je développais, en plus, une sorte… vous savez -non, peut-être pas, en réalité- de « jalousie » plutôt agressive envers tout ce qui avait rapport à la féminité – peut-être à cause d’une… culpabilité ? De ne pas me sentir attiré par cela ? De ne pas me sentir… femme ? Et cela s’est ressenti, lorsque ma petite sœur, Julia, est née. Mes parents étant à l’écoute et attentifs, ils ont vite compris que quelque chose n’allait pas. Mais ils n’ont pas « bien » compris ce qu’il se passait.

J’ai commencé, à l’âge de huit ans, à voir un pédopsychiatre. Celui-ci, plein de bonnes intentions et de bonnes mœurs, a décrété tout simplement que ce n’était qu’un « caprice enfantin » pour « attirer l’attention des adultes ». Que j’étais, en somme, en manque d’attention, jaloux que celle-ci soit entièrement portée sur ma petite sœur. Il a mis sous silence le mal-être que j’essayais de communiquer avec lui. Très vite, je me suis renfermé lors des séances avant de finir par pleurer, ne serait-ce qu’à l’idée de devoir y aller. Et d’en faire de véritables crises d’angoisse. Mes parents ont réagi, me proposant de changer de traitant. Ce que j’ai refusé, effrayé à l’idée que cela se passe de la même manière.  J’ai tout de même eu de la chance dans mon malheur. Cet homme n’a pas été jusqu’à convaincre mes parents que je « souffrais » de dysphorie du genre - notez par-là que le terme important est « souffrir » comme dans « souffrir d’une maladie, parce que si, j’ai fait de la dysphorie. Il n’a pas dit que j’étais malade mental, donc. Il a « juste » dit que je devais être un peu perturbé, sans doute à cause de l’absence de mon père et de la naissance de la petite. Mais ce n’était pas ça. Cela dit… mes parents avaient réellement l’air inquiet… et en même temps, je les… rassurais. Grâce à ma passion, découverte un peu plus tôt, pour le patinage artistique. Tout le mal-être que j’accumulais au quotidien ou à cause des séances, je tentais de l’évacuer pendant les cours de patinage, de gymnastique et de danse. Mais même là encore, j’étais… soumis à mon sexe… Les histoires de tenues correctes, tout ça. De pas de danse. De style. « Il faut faire comme ça, quand on est une fille ». Mais je refusais de porter un justaucorps. C’est… bien trop échancré, cela en dévoilait beaucoup trop. Cela… me faisait réellement… eh bien… passer pour une fille, malgré que je ne me sois jamais senti… appartenir à ce genre.  Et puis, moi, je ne voulais pas patiner et danser « avec un garçon ». Je voulais patiner et danser « comme un garçon ». Seulement… à cet âge-là, on ne me laissait pas le choix. Et après tout, je n’étais qu’un enfant. Et les enfants sont soumis aux ordres des adultes, quels qu’ils soient. C’était mon cas…

Cela dit, le plus compliqué, pour moi, ça a été à la puberté, lorsque mon corps s’est mis à changer drastiquement. Ma poitrine s’est mise à pousser, ma taille à s’affiner, mes hanches à s’élargir… je ressemblais de plus en plus à une femme. Et cela me dégoûtait. Je ne pouvais plus me regarder dans un miroir. Et je ne supportais pas le regard des autres. J’ai très vite commencé à me bander la poitrine, en cachette, ne demandais à n’avoir que des vêtements neutres voire masculins. J’ai toujours refusé les cheveux longs, mais ma mère refusant également de m’emmener chez le coiffeur, j’ai dû prendre le taureau par les cornes. Une paire de ciseaux, la salle de bain, j’ai coupé ma crinière pour la raccourcir. C’était un tel massacre que maman a été obligée, ce coup-ci, d’accéder à ma requête.

Bref. Vous l’aurez compris, je n’ai absolument pas assumé ce corps qui se formait de plus en plus. Et comme si je n’avais pas assez à faire avec mon mal-être personnel, il a fallu que les jeunes de mon âge en rajoute, en me brimant lors du collège. J’étais différent. Alors forcément, c’était l’excuse parfaite pour s’en prendre à moi. J’ai connu très jeune la dépression. Et j’ai également su très jeune ce que cela faisait de se couper pour « purger » la douleur que l’on ressent à l’intérieur. Mais… les choses qui m’ont permis de tenir, c’étaient les sports que je pratiquais dans le but de devenir professionnel en patinage. Mes parents ont rapidement saisi que je voulais en faire mon métier. Et ils m’ont soutenu.

Après le collège, j’ai pu arrêter d’aller à l’école pour me concentrer sur le patinage. Mes parents m’ont engagé un coach, choisi sur le volet. Quelqu’un qui m’aurait déjà observé, qui connaîtrait déjà mon style de patinage. C’est un homme du nom d’Abel Brown qui m’a pris en charge. Et qui a su me comprendre mieux que personne. M’accepter également. Et enfin, mettre des mots sur ce que j’étais, ce que personne d’autre n’a jamais su faire : j’étais transgenre. Né assigné au mauvais genre. Et ça m’a soulagé, d’avoir enfin des réponses, quant à ce qui me taraudait depuis si longtemps. C’est lui qui a, et qui aujourd’hui encore, créé mes programmes pour les compétitions et qui me choisissait des costumes, avec mon approbation, bien évidemment. Des pantalons. Des hauts à cols ronds. Rien d’échancré. Rien qui ne dévoile quoi que ce soit qui ne me corresponde pas. Il m’a également trouvé l’instrument parfait pour cacher ma poitrine, ce qu’aujourd’hui, on appelle un binder. Je ne devais pas le porter très souvent, car c’était mauvais pour ma santé. Mais quand la dysphorie se faisait trop ressentir, eh bien…

Bien évidemment, j’étais la cible de pas mal de moqueries ou ragots ou quoi que ce soit d’autre du genre.

Vous dire que tout a été facile pour moi serait un immense mensonge. J’ai entrepris de retourner voir des psychologues, mais aussi des psychiatres, cherchant des réponses, des solutions, un moyen de me sentir mieux, en fait. Et j’ai trouvé quelqu’un qui a su m’aider, qui a su m’orienter. Me donner le courage d’en parler à ma mère, pour commencer. Puis… à mon père et ma sœur. Celle qui a le mieux accepter les faits, ça a été Julia. Je l’avais repoussée par jalousie et par haine de cette féminité qui m’était imposée et dont je ne voulais pas., toutes ces années. Elle ne comprenait pas pourquoi. Et lorsqu’elle a su, elle m’a tout pardonné. Et elle m’a aidé. Elle m’accompagnait faire les boutiques, m’acheter des tenues masculines, me prenait des rendez-vous chez le coiffeur lorsque mes cheveux devenaient trop longs. Et elle me défendait, lorsque mon père… m’attaquait de plein fouet sur mon identité. Il a eu des mots très durs, c’est vrai. Mais elle… Julia… elle prenait mon parti. Et elle tentait de lui expliquer, elle aussi. Avec ses mots d’adolescente… Ma mère restait silencieuse. Elle ne disait rien. Elle… me regardait à peine, en fait. Je crois qu’elle ne savait pas quoi penser, quoi dire, quoi faire. Je pense sincèrement qu’elle était perdue. Et aujourd’hui, je la comprends pleinement. Mais sur le moment, j’avais juste besoin d’une caresse, d’un sourire, d’un peu de soutien et être rassuré.

Je leur en ai un peu voulu, c’est vrai. Je ne vais pas vous mentir. Mais… à force d’en discuter avec mon traitant, j’ai appris, j’ai compris. Et j’ai pardonné.

Bref… j’ai subi la puberté. Subi. C’est le terme. Et puis en plus, je n’ai réellement pas eu de chance, puisque… ce corps qui n’était pas le mien, ce corps de femme, était… vraiment « bien » proportionné. Pour n’importe qui d’autre, cela aurait été une belle poitrine, de jolies hanches arrondies, une taille bien marquée… pour moi, c’était l’enfer. Une cage, dans laquelle j’étais enfermé. J’en arrivais à haïr mon reflet, à haïr ce corps, et ne pas pouvoir me regarder. Ma vie sentimentale en a pâtie. Ça n’a pas été simple de rencontrer quelqu’un de mon âge qui me comprenne. Aucune histoire n’a jamais duré plus de quelques semaines, voire quelques courts mois.

À l’âge de dix-neuf ans, j’ai eu l’espoir que tout change, drastiquement. Mon père a décidé d’étendre son entreprise. Et le Japon faisait une cible parfaite pour cela. Il y avait déjà fait plusieurs voyages pour rencontrer des hommes recommandés par son bras droit. Quelqu’un en qui il pourrait avoir confiance afin de le nommer à la tête de la filiale japonaise de son entreprise. Il en a profité pour se renseigner sur la qualité des infrastructures concernant le patinage, à Tokyo. Et il a estimé que, pour ma carrière, il serait mieux que je parte au Japon, pour mon entrainement. Mon coach était du même avis et était prêt à m’y accompagner, ne souffrant de perdre ni compagne ou compagnon, ni enfants.

C’est ainsi que je suis arrivé à Tokyo. Que j’ai été tout de suite séduit par la vie, ici. J’ai appris la langue sur le tas, puis Abel m'a trouvé une professeure de japonais. J'appréciais Tokyo. Si grande. Si dense. J'y passais inaperçu. J'étais entièrement séduit, oui. Et ce malgré ces lois étranges que je découvrais petit à petit. Et j’ai fini par décider au bout d'un an que je voulais rester ici, vivre ici et pas juste m’entraîner. Mes parents n'étaient pas vraiment pour. Mais j'étais majeur. J'ai entamé les démarches. J'étais avisé et consentant pour l'implantation et tout ce qui en découlait. Peut-être était-ce une décision prise sur un coup de tête. Je m’en moquais. Et je ne le regrette pas… forcément plus que cela aujourd’hui. Il n’y a que cette histoire de mariage qui me dérange, aujourd’hui. Mais à l’époque, je m’en moquais. J’avais espoir que, comme promis, la machine me permette de rencontrer la personne parfaite. Un prince charmant ou une princesse parfaite qui me comprendrait et m’accepterait comme je suis. Quel imbécile je faisais…

C’est à l’âge de vingt-et-un an, - à peu la même année que les débuts et le pic d'activité des Incontrôlables dont je ne savais pas grand-chose, à l’époque, car je ne m’y intéressais pas tant que ça - que j’ai reçu la lettre attendue. Je crois qu'elle est arrivée peu de temps après une grosse... LA grosse ? manifestation anti-Incontestable. D'un point de vue de pur étranger, on pourrait se dire que c'est étrange que ça ne soit arrivé que maintenant. Mais vivant au Japon depuis maintenant deux ans et ayant rencontré pas mal de personnes japonaises, nées au Japon, ayant grandit dans une éducation japonaise... j'ai compris à quel point c'était un gros événement. Cela m'a clairement plus marqué que "le reste" des actions anti.

Bref. Je me suis rendu à l’adresse écrite, sans délai. Et j’y ai rencontré celui qui était devenu mon époux. Je pensais vraiment qu’il était le bon. Il était l’homme parfait. Akihide Sato. Le frère d’une jeune patineuse débutante, que je côtoyais à l’entraînement et lors de compétitions – oui, j’étais obligé de compétiter chez les femmes, en tant que femme. Nous nous étions rencontrés une première fois, lors d’un gala, après un concours auquel elle faisait sa première participation. Et où elle avait réussi à se classer troisième. Nos regards se sont croisés. Je m’en souviens parfaitement. J’ai rougi. Et j’ai baissé les yeux. Je me rappelle avoir espéré, sur le coup. Qu’il vienne me parler. Qu’il m’aborde. Malgré tout. Car tout le monde était au courant pour moi. Mais je n’avais pas non plus envie qu’il vienne et qu’il me dise ce que quasiment tous me disaient « Hey, c’est toi la nana bizarre qui se prend pour un mec ? ». Ça me faisait peur, oui. Je ne voulais pas de ça, clairement… Et il m’a surpris. Il s’est approché, en souriant. Mais pas ce genre de sourire moqueur. Plutôt… vous savez, le véritable sourire charmant, plein de bonnes intentions. Et il a ouvert la bouche.

« Tu es Ama Edler, c’est bien ça ? Je t’ai vu sur la glace et je n’ai pas pu détacher mon regard de ta personne. Tu avais l’air… non pas de glisser mais de voler. Oui. Tu étais… enivrant. Bluffant. Tout simplement sublime, en fait. »

J’étais… j’étais choqué. Il m’avait correctement genré. Il… semblait respecter cela. Il m’a expliqué après, devant mon regard ahuri, que c’était sa sœur qui lui avait expliqué, que j’étais un garçon dans le corps d’une fille. Et cela n’a pas semblé le déranger. Et nous avons passé la soirée à discuter avant de repartir chacun de nos côtés, en ayant échangé nos numéros. Il ne m’avait pas recontacté. Et je le comprenais, après tout, dans un pays comme le Japon où la loi impose un mariage forcé… Il a été élevé ici. Il y a grandi dans l’optique de se voir imposé d’épouser quelqu’un. Alors il était normal qu’il ne veuille pas s’engager avant de recevoir sa lettre.

Et nous avons eu « cette chance » de la recevoir. Avec nos noms - officiels - respectifs.

« Monsieur, madame, par la présente et en vertu des pouvoirs qui me sont conférés par la loi, Amaryllis Sato, anciennement Edler, et Akihide Sato, je vous déclare maintenant unis par les liens du mariage. »

Nous étions sur la même longueur d’ondes, le feeling passait très bien entre nous, j’étais… heureux. Il était plus âgé que moi de quelques années, était en dernière année à l’université, faisait des études de commerce et de management, dans l’espoir de pouvoir monter sa propre entreprise, plus tard. Mais d’abord, faire ses armes, quelque part. Au bout de quelques mois, j’en ai parlé à mes parents. Eux ne comprenaient pas ce système de mariage forcé. Ils étaient contre, quand je leur avais annoncé que j’allais me rendre éligible à la loterie en prenant la nationalité japonaise. Mais j’étais heureux. Alors… alors, ils sont venus nous rendre visite, pour le rencontrer. Cela m’a permis d’officialiser la chose auprès de ma famille. On en a profité pour inviter sa famille, également. Pour faire une grosse rencontre.

Ses parents étaient ouverts d’esprit. Les miens « également ». Ou plutôt… les miens espéraient qu’il me fasse… vous savez… « retourner dans le droit chemin ». Mais il m’acceptait tel que j’étais. Et j’étais heureux, avec lui.

Il a eu son diplôme avec de très bons résultats, malgré Shukumei. Nous n’avons pas subi d’énormes pertes, ayant décidé par le meilleur hasard, de partir en vacances peu de temps avant, histoire qu’Akihide puisse se reposer après avoir travaillé si dur. Mais nous avons vu d’autres avoir moins de chance que nous, à notre retour. Et nous avons pu constater les défaillances dues aux dégâts causés par la vague ; les couples séparés, recomposés, à plus de deux ? Je... avec du recul, je pense que j'ai eu beaucoup de chance de ne pas subir ça. L’entreprise de mon père a été impactée, comme beaucoup d’entreprises basées à Tokyo même. Toutefois, cela n’a pas empêché mon père de proposer d’embaucher mon époux. Lui offrir une chance. Bien évidemment, Akihide a tout de suite accepté. Et il s’est fait une place très rapidement en démontrant sa capacité à rattraper tous les délais, retards, soucis liés à Shukumei, à la plus grande surprise de mon géniteur, qui voyait en lui un beau-fils prometteur et potentiellement capable de reprendre la direction de la filiale lorsqu’il en aurait besoin.  Imaginez un peu à quel point Akihide était fier… et… à quel point il pouvait être proche de mon père.

Après tout, il était le fils que ce dernier n’avait jamais eu…

Seulement, aux yeux de l’état, j’étais « Madame » Sato. Et si seulement il n’y avait eu qu’aux yeux de l’état, que j’étais « madame »…

Plus le temps passait, plus Akihide changeait. Il passait plus de temps avec mon père qui était plus souvent qu’à son compte à Tokyo qu’à Vienne, qu’avec moi. Ne me parlait plus que de son travail. Plus que de lui. De ses potentielles évolutions de carrière. De tous ses projets futurs. Et petit à petit, il a commencé à me dire ce qu’on lui disait à mon sujet. Qu’il commençait à avoir honte de moi. Que je devais songer à agir un peu plus comme mon « rang » l’exigeait. En tant que femme. Sa femme. Madame Sato.

Je me suis renfermé dans le patinage, m’entraînant encore plus, jusqu’à l’épuisement. Et alors, arrivait le moment de rentrer. Et la crise d’angoisse qui allait avec. Les premiers jours, Abel me proposait de venir boire un verre avec lui – rien qu’un seul, j’étais sportif professionnel, tout de même. Il faisait tout pour m’aider à repousser l’échéance. Mais un soir, Akihide a fini par venir me chercher. Sans douceur. Sans tendresse. Et en rentrant…

« Désolé Abel… je suis tombé dans les escaliers… je me suis… un peu amoché… on peut y aller doucement, aujourd’hui, s’il te plait ? »

« Je suis tombé dans les escaliers » est devenue la phrase que je prononçais le plus. Abel, Julia, mes parents… personne ne posait de question. Ils… semblaient me croire ? Je n’en sais rien. Mais les coups d’Akihide se faisaient plus violents. Et plus visibles. Un cocard. Une lèvre fendue. Une arcade explosée. Une pommette bleuie ou ensanglantée. Une cheville foulée. Un poignet cassé. J’ai frôlé par deux fois la commotion cérébrale. Trois fois l’épaule démise. Une fois le bras cassé. Je n’étais plus que l’ombre de moi-même. Je vivais dans la peur. Je n’avais plus le droit de sortir de la maison, quand bien même un important concours se préparait, pour lequel j’étais qualifié… j’étais un fantôme. Une coquille vide, qui vivait dans la terreur. Et si au début, il s’excusait, trouvait un prétexte, me remettait la faute dessus et me répétait combien il m’aimait, ça n’a bientôt plus eu lieu du tout.

Mais tout pic de violence connait une apogée. Et j’en étais encore loin. Tout comme j’étais loin d’imaginer tout ce qu’Akihide était prêt à me faire subir pour que… je comprenne… que j’étais « une femme ». Que j’étais « SA femme ». Que j’étais sa chose. Et que je devais obéir…

Ce soir-là, il avait bu. Il m’a redemandé, à ce que je le laisse me posséder tout entier, chose que j’avais refusé jusqu’alors ; que je refusais depuis toujours ; et que je refusais encore. Je n’avais encore jamais ressenti l’envie ni la confiance de me donner tout entier à qui que ce soit, pas même à lui. Je n’ai pas accepté – pas avec toute la crainte, la terreur qu’il m’infligeait. Le coup est parti sans que je m’en rende compte, me frappant à la tempe, m’assommant à moitié. Lorsque j’ai repris mes esprits, j’étais là, la joue plaquée contre la table, sa main gauche me tenant fermement la tête, la droite me bloquant douloureusement le bras, haut dans le dos, me déboitant par la suite l’épaule alors que je tentais de lutter.

La honte. La haine. Le dégoût. La terreur. Je me suis senti si faible. Si démuni. Incapable de me protéger. Je n’ai rien pu faire – ni avant, ni pendant, ni après. Si ce n’est pleurer. Prier pour que cela cesse. Serrer les dents.

« … que l’on me rende l’Akihide que j’aimais … »

Il était fou de rage, hors de lui. Il hurlait. Je pleurais. Je tentais de me défendre du bras valide qu’il me restait. Il a fini par m’attraper par les cheveux, me trainer sur le sol de notre appartement avant d’ouvrir la porte. Là encore, me trainer dans le couloir, jusqu’à la cage d’escaliers.

« Ce coup-ci, ce ne sera pas un mensonge. »

Il a lâché, froidement, avant de me jeter dans les marches. J’ai dévalé les escaliers avant de m’écraser lourdement contre le mur, sonné. Les larmes coulaient. J’avais mal. Je voulais que tout cela se termine. Et pourtant… j’avais une peur monstre qu’il finisse par me tuer.

C’est un voisin qui m’a sauvé. Il a entendu les cris de la dispute, de la chute également, puis a appelé la police et les secours avant de sortir et se ruer à mon secours. Akihide était dans un tel état qu’il l’a frappé, lui aussi, alors qu’il tentait simplement de me protéger. Par chance, les policiers et les secours sont arrivés rapidement, arrêtant Akihide, pris sur le fait et nous emmenant, notre voisin et moi, à l’hôpital. J’ai perdu connaissance aussitôt en sécurité… Je ne me suis réveillé que plusieurs jours plus tard. Mes parents et Julia étaient à mon chevet, endormis, chacun autour de moi. Maman me tenait la main droite. Julia la gauche. Et la main de papa était posée sur mon mollet. Et… pour la première fois depuis bien longtemps… je me suis senti entouré et soutenu par toute ma famille. Leurs yeux étaient cernés. Ils avaient encore les traces de leurs larmes sur les joues. Ils ont pleuré pour moi. Tous les trois. Ce n’est que lorsque l’infirmière a fait son entrée dans la chambre et a constaté mon réveil qu’ils se sont tous éveillés à leur tour. Et alors, ça a été l’effusion de joie.  

Papa a renvoyé maman et Julia à l’appartement qu’ils louaient, pour qu’elles se reposent. Chose qu’ils n’avaient pas fait depuis des jours, ayant faire le déplacement extrêmement rapidement lorsqu’ils ont appris la nouvelle, via les autorités qui les ont contactés. Et papa est resté avec moi. Il n’osait pas me regarder, au début. Il faut dire que je n’étais vraiment pas beau à voir… Il a su tout ce qu’il s’était passé, ce soir-là, la police et les médecins lui ayant fait un rapport plus que détaillé. Il… m’a surpris, ensuite. Il m’a raconté qu’il avait renvoyé Akihide, que ce dernier ne travaillerait plus dans son entreprise et, sûrement, qu’il peinerait à en trouver une autre. Il m’a aussi dit qu’il avait déposé une plainte contre lui et que, grâce à ses contacts et ses avocats, il avait obtenu une injonction contre Akihide à mon égard et à celui de la famille. Ce dernier n’a plus le droit, depuis, de nous approcher à moins de cent mètres. Auquel cas, il peut être arrêté par la police. Enfin, il m’a tendu une enveloppe, qui était déjà ouverte, datée du matin de l'incident. Dedans ? L’annonce de notre divorce par la machine. Je me suis senti libéré… littéralement. Et en même temps… extrêmement vide. J’étais de nouveau Amaryllis Edler.

Et en même temps cela expliquait le comportement d'Akihide. Papa m'a confié que, en larmes, celui-ci lui a expliqué qu'il avait eu peur que ce divorce n'entache sa carrière, il a vu rouge. Et... surtout... il a eu peur de me perdre. Parce que, au fond... il m'aimait. À sa manière. Moins que son travail. Mais il m'aimait. Et j'ai donc compris pourquoi papa avait pu porter plainte et obtenir une injonction... nous étions déjà divorcés, avant l'incident...

Cependant… Papa m’a également avoué qu’il avait réellement eu peur de me perdre. Quand je suis arrivé à l’hôpital, mon état était critique. Akihide m’avait tellement roué de coup qu’il avait réussi à me causer une rupture de la rate et l’hémorragie était importante. J’ai été en bloc pendant quelques heures, jusqu’à ce que les chirurgiens réussissent à stabiliser mon état. On m’a gardé sous coma artificiel quelques jours, pour être sûr que je ne m’agite pas et que je n’empire pas mon état.


J’avais vingt-quatre ans. Je venais de frôler la mort. Et vous savez le plus marrant ? C’est qu’alors que j’ai pu enfin quitter l’hôpital, que mon état n’était plus inquiétant, on était à la veille du 1er mai 2111. A alors été déclaré l’incident général, avec ce fameux message que je n’ai pas vu moi-même de « system error ». Je suis bien heureux de ne pas l'avoir vécu. Il faut croire que j'avais assez donné pour rééquilibrer ma balance karmique. Pas sûr que j'y aurais survécu, sinon...  

Je n'étais pas au Japon, lors de l'épidémie. Mes parents m'ont fait venir en Autriche, pour pouvoir respirer, un peu. Enfin. Je ne suis revenu que lorsqu'on nous a demandé de venir nous faire repucer.

Cette période, c’est celle qui nous a permis de nous rapprocher, tous les quatre avec ma famille. C’est là où mon père a pris du temps, pour moi. Ou j’ai pu mettre à plat tous les ressentiments que j’avais pour lui. Et lui, me confier que le fait d’avoir failli me perdre lui avait ouvert les yeux. Akihide avait tenté de s’expliquer avec lui, lui dire pourquoi il en était arrivé à un tel point. Il lui a dit qu’il -papa- se plaignait tellement que je ne me considère pas comme sa fille que lui, en tant que bon époux, avait tenté de me faire rentrer dans le droit chemin… et papa a compris. Il a compris. Que je n’étais pas une femme. Que ce n’était pas qu’un caprice de ma part. Que… j’en ai beaucoup souffert, jusque-là. Mais je ne m’en plaignais plus depuis bien longtemps pour ne pas leur faire de mal, à maman et à lui.

Et alors, il a accepté. Que je sois un homme ou une femme, cela ne changeait plus, pour lui, le fait que j’étais avant tout, envers et contre tout, son enfant. J’ai fondu en larmes, lorsqu’il m’a dit cela. Et il m’a aussi dit que maman pensait la même chose, ainsi que Julia. Même si, pour Julia, cela faisait bien longtemps que je le savais…

Il a financé ma transition. C’est amusant – pas au total premier degré, mais je trouve un côté « drôle » à cette anecdote – que le redébut de mon existence se soit passée semblablement au même moment que lorsqu’on annonçait des cas de faux décès à travers tout le Japon. Nous n’avons pas été impactés, une fois encore. Comme quoi, ma bonne étoile m’a quand même un peu sourit, dans ma vie.

Bref. C’était le début de ma transition. J’ai dû arrêter le patinage momentanément en plus des compétitions, mais comme vous vous en doutez, ça faisait déjà un moment que je ne m’étais pas retrouvé sur la glace. Et si c’était pour pouvoir devenir qui j’ai toujours été, alors… j’ai serré les poings, ok. C’était dur. Mais j’ai débuté les traitements, subit les contrecoups pas tous agréables de la chose. Mais j’étais heureux d’être enfin moi-même et de pouvoir enfin compter sur mes proches. J’ai pris des photos et des vidéos, toutes les semaines, pour noter les changements, afin de garder le moral et continuer à aller de l’avant. Voir que tout ça n’était pas pour rien.

Au bout de six mois, j’ai remis le pied sur la glace. J’avais l’impression que ça faisait une éternité. Six mois encore plus tard, je renforçais mes entrainements. Je ressemblais de plus en plus à homme, j'avais également fait le nécessaire pour être officiellement administrativement un homme - donc les démarches administratives pour passer de "Madame" à "Monsieur" avec toute la paperasse qui va avec et devenir officiellement Amadeus Edler. Adieu, Amarillys. Ne manquait que… cette putain de poitrine qui me gachait encore la vie. Et le rendez-vous s’approchait. Jusqu’à passer. Pour me réveiller de l’anesthésie, me faire dire qu’il fallait encore patienter pour pouvoir retirer les pansements. Le jour où j’ai pu le faire, enfin… tout le monde était avec moi.

« J’ai envie de pleurer… mais je suis trop excité pour ça… »

Ma réaction face au miroir.  J’avais vingt-cinq ans, et enfin. J’étais l’homme que je voulais être.

On m’a demandé si je comptais aller plus loin, niveau chirurgie. Je n’ai pas répondu de suite, j’avais besoin de réfléchir. J’en avais un peu marre de l’hôpital, et je voulais vivre un peu.

Et j’ai vécu. J’ai… appris à revivre. J’ai eu quelques relations – rien de sérieux. Mais j’ai découvert que… eh bien. J’aime mon corps, à présent. Tel qu’il l’est. Je n’ai pas envie ni besoin d’aller plus loin en matière de chirurgie.

J’ai repris les entrainements de manière très sérieuse. J’ai fait mon retour sur la glace de manière officielle, également. J’ai repris les concours – je m’améliore, de plus en plus. Performe de mieux en mieux. Je fais de la danse, de la gym, de la musculation et du patinage. J’ai des sponsors qui me soutiennent. Et surtout, j’ai Abel, toujours à mes côtés. Une chorégraphe en prime, également, mais je suis entouré.

Tellement entouré qu’on est allé voter tous ensembles, quand il a fallu que l’on y aille – et franchement, je ne savais pas pour qui voter parmi les candidats finalistes parce que je n’étais pas d’accord avec aucun des deux. Mais bon. Ça, ça reste pour moi, n’est-ce pas ?

Alors oui.

Je suis Amadeus Edler. J’ai vingt-huit ans. Je suis un homme, patineur artistique professionnel. Et je découvre ce que c’est que d’être heureux.


Reminder et TL des âges:
Wink
Physique
Amadeus est un beau jeune homme qui, pourtant, continue de complexer sur son apparence et ce, malgré le fait qu’il soit heureux d’être enfin, en apparence, ce qu’il a toujours été, dans son esprit. Pour lui, il n’égalera jamais un homme né homme. Et pourtant…

Il mesure un mère soixante-quatorze et se loge un peu au-dessus de la moyenne japonaise, pour s’approcher non loin des soixante-dix kilos. Taillé tout en finesse suite à des années d’entrainements intensifs, il est mince. Mais sous cette finesse, sous sa peau pâle et fragile, qui marque rapidement, se cachent des muscles déliés, exercés rudement pour pouvoir sauter plus haut, plus loin, de manière plus puissante encore - mais ce n'est pas encore suffisant.

Sa peau pâle met en exergue le bleu gris de ses yeux et le blond de ses cheveux ondulés - si clair que sous certains éclairage, ils semblent blanc. Cheveux qui, s'ils ne sont pas excessivement courts, ne peuvent être qualifiés de longs et qui encadrent un visage délicat aux lèvres charnues, joliment colorées d’un rose à croquer.

Son corps, il l’aime. Et en même temps, il peine à assumer sa nudité face à autrui. Il n’a pas honte de ses cicatrices, qui marquent sa lutte pour pouvoir devenir qui il est. Qui il a toujours été. Mais il a toujours peur qu’on le trouve répugnant. Qu’on le rejette à cause de ces traces, de ces rappels à tout ce qu’il a vécu pour en arriver là. Ces mêmes cicatrices qui, pourtant, lui donnent la force – en plus de sa famille – de lutter pour s’affirmer, tel qu’il est. Pour s’assumer face à tous. Il est Amadeus. Un homme. Et qu’importe ce qu’on peut en dire, cela ne changera pas.

Mais il craint tout de même de souffrir, de nouveau. Autant psychologiquement que physiquement. Sa peau a, à son goût, trop longtemps été marquée de constellations de bleu, de violet, de vert et de noir. Tâchée de rouge. Eraflée, égratignée, arrachée.

Aujourd’hui, il n’en garde pas de trace.

Les autres cicatrices qu’il compte se trouvent sur ses avant-bras. Souvenir d’une époque où la purge était nécessaire, pour ne pas imploser.

Aussi, Amadeus porte souvent des chemises manches longues et ne découvre que rarement ses bras. Dans l’ensemble, il s’habille de manière assez classique, toujours soignée. Il aime bien se vêtir, prendre soin de lui, se mettre en valeur. Mais c’est pour lui, qu’il le fait. Pour se plaire. Les autres… ça viendra plus tard. Peut-être... quand la confiance en lui (re)viendra.
Caractère
Lorsqu’on voit pour la première fois Amadeus et son visage d’ange, on s’imagine bien souvent et très rapidement un jeune homme doux, gentil, bon. Et dans le fond, ce n’est pas faux. C’est même la parfaite vérité.

Cependant, il n’est pas pour autant dépourvu de caractère, que son passé, son histoire, son vécu, ont su forger avec minutie. Il ne supporte pas que l’on puisse lui manquer de respect, déteste qu’on s’amuse à le mégenrer de manière volontaire et remet avec un immense plaisir, à leur place, tous les cons qui s’amusent à l’insulter à cause de ce qu’il est. Ou plutôt, qui il est. Et il n’hésitera pas une seule seconde à hausser le ton, voire à dégainer son langage le moins élégant. Il sait faire preuve d’imagination pour les insultes, ne vous inquiétez pas…

C’est un jeune homme fort malgré ses frêles épaules – même s’il l’ignore ou ne l’imagine pas –, qui sait se battre pour ce et ceux qu’il aime, ce qu’il veut, ce en quoi il croit. Il possède l’esprit de compétition, ce qui le force à se donner au maximum dans chacun de ses programmes en patinage. Cela portait plutôt bien ses fruits jusqu’à ce qu’il doive arrêter, puisqu’il réussissait à se classer parmi les trois premiers, en règle générale.

Avant d’être officiellement Amadeus, il était obligé d’être Amaryllis. Et Amaryllis s’est trouvée dans une très mauvaise position. Marié par devoir, puis par amour à un homme qu’il pensait bien, il a été battu par celui-ci. Les conséquences de ces violences ne sont rien d'autre que... eh bien... une certaine crainte, une certaine méfiance envers la gente masculine. Il sait que #NotAllMen (putain, il a envie de gifler les cons fragiles qui ressentent le besoin de préciser que « pas tous les hommes ») mais cela ne l’empêchera jamais – même quand il vous connait – de pouvoir avoir un mouvement de recul, ou prendre une position plutôt défensive quand vous aurez un geste trop brusque ou qu’il n’a pas vu venir. Cela peut parfois s’appliquer également aux femmes, surtout quand on le surprend, mais c’est moins marqué.

Cela ne l'empêche toutefois pas entièrement de pouvoir profiter de la vie et de son corps, de son plaisir, avec des amant.e.s occasionnel.le.s. Mais jamais plus d'un soir. Qui, parfois, ont pu découler sur quelques amitiés sympathiques. Jamais plus, encore. Il prend le temps pour lui. Il prend le temps de se (re)découvrir, de se (ré)apprendre.

Alors forcément, il craint de se retrouver forcé d'épouser un inconnu. Ou une inconnue. Il préfèrerait, même, rester célibataire à tout jamais. Se bercer d'illusions, se dire que c'est du bullshit, qu'il ne sera jamais le perfect match de qui que ce soit. Que la machine lui foutra la paix, après son lamentable échec.

Ha... si tu savais, Ama...

Bref. Vous avez, maintenant, une idée de qui est ce jeune homme qui en a trop porté sur ses épaules trop frêles, mais qui n'a jamais courbé l'échine.
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Je sens qu'il va être une pépite, comme tous tes autres persos.
Hâte de voir cette nouvelle tête en jeu ! Bonne rédaction. <3
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Rebienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche \o/
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Haaaaa merci à vous ;;
J'espère qu'il vous plaira 🥹
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Rebienvenue et bon courage pour la fiche ! La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2244379341
Il me tarde de lire le reste ! La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2432113367
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Oooooouh re bienvenue, j'adore tellement l'idée du perso :D bon courage pour la fiche, et pense à moi pour un lien à la validation ihihih
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Mais quel bel homme que voici, avec un visage doux mais du caractère, j'adore La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 1258839627
Re-bienvenue et bonne chance pour ta validation <3
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Merci à tous 😊

Je me retrousse les manches et essaie de le finir aujourd'hui èwé
Demain au plus tard ?

Bref. Petits morceaux par petits morceaux, ça se complète. ♥
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Modération de fiche

Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum ! ♥

Introduction


Encore bon retour, Amadeus, et désolée pour l'attente! Nous sommes partis! La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2244379341

Histoire


=> Tu indiques être arrivé au Japon à 19 ans et avoir demandé la naturalisation, après quelques temps et sans le véritable consentement de tes parents, car tu étais majeur. Il est à noter que la majorité est placée à 20 ans au Japon. Il faudrait indiquer que tu avais passé ce cap entre temps.

=> Tu as mentionné les Incontrôlables, mais il serait bien d’ajouter une note sur le BigBangKiss ^^ La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3859597877

=> Tu as mélangé deux évènements. Les mariages à trois ou quatre, autant que les divorces intempestifs, étaient une conséquence de Shukumei et non du “System Error” qui n’impliquait qu’une mise en “erreur” des moniteurs et donc une absence d’ordre. La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3379566275

=> Il manque la mention de l’épidémie et également celle du repuçage suite à Soosaku ^^ La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2794187138

=> Le Staff a pris la décision de partir du principe que les compétitions sportives étaient désormais ouvertes aux transgenres dans leur groupe de “choix” (je ne sais pas comment le dire de façon politiquement correcte, pas taper !) tant que le changement de genre est validé à l’état civil. La démarche n’ayant apparemment pas été faite (genre/prénom), je t’invite à l’ajouter à ton histoire afin qu’Amadeus puisse concourir ^^ Peut-être également nous expliquer le choix de son nouveau prénom ? La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 1728200632

Orthographe:

dans la ville de Viennes
de véritables crises d’angoisses
j’étais… soumis mon sexe => Manque un mot
cela me dégoûtais
Je l’avais repoussé
tel que je l’étais
comportement d'Hakihide

Physique


Orthographe:

en lui (re)vienra

Caractère


Orthographe:

qui s’amuseront => Temps
la gent masculine

Conclusion


Quelques petits ajouts à faire, mais Amadeus sera très rapidement de nouveau des nôtres! C’est encore une fois un personnage très intéressant que tu nous apportes et j'ai hâte de le voir s'épanouir ^^ La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2247460424
Tu sais où me trouver en cas de besoin! La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2244379341


Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)

Analyse : 1/3

Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension. ♥

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La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 1227068846 merciiiiiiiii pour tout bébou La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 1227068846

Tora Kanashisa a écrit:
Modération de fiche

Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum ! ♥

Introduction


Encore bon retour, Amadeus, et désolée pour l'attente! Nous sommes partis! La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2244379341

Histoire


=> Tu indiques être arrivé au Japon à 19 ans et avoir demandé la naturalisation, après quelques temps et sans le véritable consentement de tes parents, car tu étais majeur. Il est à noter que la majorité est placée à 20 ans au Japon. Il faudrait indiquer que tu avais passé ce cap entre temps.
Du coup j'ai rajouté une mention :
" Et j’ai fini par décider au bout d'un an que je voulais rester ici, vivre ici et pas juste m’entraîner. Mes parents n'étaient pas vraiment pour. Mais j'étais majeur."
Ce qui nous l'amène donc à ses 20 ans soit la majorité au Japon ce qui fait qu'il est full majeur de partout (sauf aux US, il peut tjrs pas y boire d'alcool, triste vie)

=> Tu as mentionné les Incontrôlables, mais il serait bien d’ajouter une note sur le BigBangKiss ^^ La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3859597877
Du coup j'ai carrément refait un petit paragraphe :
"C’est à l’âge de vingt-et-un an, - à peu la même année que les débuts et le pic d'activité des Incontrôlables dont je ne savais pas grand-chose, à l’époque, car je ne m’y intéressais pas tant que ça - que j’ai reçu la lettre attendue. Je crois qu'elle est arrivée peu de temps après une grosse... LA grosse ? manifestation anti-Incontestable. D'un point de vue de pur étranger, on pourrait se dire que c'est étrange que ça ne soit arrivé que maintenant. Mais vivant au Japon depuis maintenant deux ans et ayant rencontré pas mal de personnes japonaises, nées au Japon, ayant grandit dans une éducation japonaise... j'ai compris à quel point c'était un gros événement. Cela m'a clairement plus marqué que "le reste" des actions anti."

=> Tu as mélangé deux évènements. Les mariages à trois ou quatre, autant que les divorces intempestifs, étaient une conséquence de Shukumei et non du “System Error” qui n’impliquait qu’une mise en “erreur” des moniteurs et donc une absence d’ordre. La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3379566275
... oopsie. Je plaide coupable, tout s'est mélangé dans ma tête. Du coup, bon. J'ai démêlé. (et ça n'a pas été simple, je crois que c'est le truc qui m'a démotivé de le faire hier soir ptdr aaaaah)
Du coup, y a la première partie sur Shukumei et les bugs mariages à trouze milles :
"Il a eu son diplôme avec de très bons résultats, malgré Shukumei. Nous n’avons pas subi d’énormes pertes, ayant décidé par le meilleur hasard, de partir en vacances peu de temps avant, histoire qu’Akihide puisse se reposer après avoir travaillé si dur. Mais nous avons vu d’autres avoir moins de chance que nous, à notre retour. Et nous avons pu constater les défaillances dues aux dégâts causés par la vague ; les couples séparés, recomposés, à plus de deux ? Je... avec du recul, je pense que j'ai eu beaucoup de chance de ne pas subir ça."

Et ensuite le System Error :
"J’avais vingt-quatre ans. Je venais de frôler la mort. Et vous savez le plus marrant ? C’est qu’alors que j’ai pu enfin quitter l’hôpital, que mon état n’était plus inquiétant, on était à la veille du 1er mai 2111. A alors été déclaré l’incident général, avec ce fameux message que je n’ai pas vu moi-même de « system error ». Je suis bien heureux de ne pas l'avoir vécu. Il faut croire que j'avais assez donné pour rééquilibrer ma balance karmique. Pas sûr que j'y aurais survécu, sinon..."

=> Il manque la mention de l’épidémie et également celle du repuçage suite à Soosaku ^^ La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2794187138
Direct après le paragraphe d'au dessus, j'ai ajouté cette petite mention :
"Je n'étais pas au Japon, lors de l'épidémie. Mes parents m'ont fait venir en Autriche, pour pouvoir respirer, un peu. Enfin. Je ne suis revenu que lorsqu'on nous a demandé de venir nous faire repucer."

=> Le Staff a pris la décision de partir du principe que les compétitions sportives étaient désormais ouvertes aux transgenres dans leur groupe de “choix” (je ne sais pas comment le dire de façon politiquement correcte, pas taper !) tant que le changement de genre est validé à l’état civil. La démarche n’ayant apparemment pas été faite (genre/prénom), je t’invite à l’ajouter à ton histoire afin qu’Amadeus puisse concourir ^^ Peut-être également nous expliquer le choix de son nouveau prénom ? La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 1728200632
Déjà : MERCI À VOUS !
Ensuite, du coup, j'ai précisé et mentionné donc :
"Au bout de six mois, j’ai remis le pied sur la glace. J’avais l’impression que ça faisait une éternité. Six mois encore plus tard, je renforçais mes entrainements. Je ressemblais de plus en plus à homme, j'avais également fait le nécessaire pour être officiellement administrativement un homme - donc les démarches administratives pour passer de "Madame" à "Monsieur" avec toute la paperasse qui va avec et devenir officiellement Amadeus Edler. Adieu, Amarillys"

Orthographe:

dans la ville de Viennes
de véritables crises d’angoisses
j’étais… soumis mon sexe => Manque un mot
cela me dégoûtais
Je l’avais repoussé
tel que je l’étais
comportement d'Hakihide

dans la ville de Viennes / de véritables crise d'angoisses... je ... crois que les S étaient en promotion. La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3813954746
C'est corrigé
j’étais… soumis mon sexe => Manque un mot => à mon sexe, du coup. :B corrigé
cela me dégoûtais => le retour des S en promo => corrigé en dégoûtait
Je l’avais repoussé => j'ai repoussé qui, ma sœur. Le e est donc rajouté ? La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3813954746
tel que je l’étais => ... corrigé mais du coup ça sonne bizarre dans ma tête "tel que j'étais" ? La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 517494357 là c'mon cerveau qui est chelou je crois La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3182035657
comportement d'Hakihide => technique celle-ci. Enfin, je corrige en "de Hakihide" mais technique, la règle du "si y a un e après le h, ce sera d'h, mais sinon, ce sera de h" La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 3182035657

Physique


Orthographe:

en lui (re)vienra

Caractère


Orthographe:

qui s’amuseront => Temps
la gent masculine

en lui (re)vienra => ... pas de promo sur le D, je crois :V (rajouté et donc corrigé xD)
qui s’amuseront => Temps => je suis supra nulle avec les temps... mais du coup, logiquement, corrigé en "qui s'amusent"
la gent masculine => ... pas de promo sur les E non plus ? :B corrigé !

Voili voilouuuuu ? :3
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Restait la faute sur le prénom du "pauvre" Akihide sans "H" du coup XD Mais c'est tout bon!
Amuse toi bien!!  La paix c'est comme la reconstruction : en surface seulement. - Amadeus Edler 2244379341

Pré-validation par Ty'
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.

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