Aoki Saki

Je suis né dans l'ouest du Japon. J'ai vécu dans un village assez reculé où les informations venant de grandes villes n'arrivaient qu'assez tardivement. Mes parents sont ensemble via le système de l'incontestable et ils n'ont jamais contesté ce choix. Avec le temps, ils ont appris à s'aimer et à s'accepter l'un et l'autre. Mon père travaillait dans une entreprise dans une grande ville où il devait faire pas mal de route. Ma mère tenait un petit restaurant au bord de la mer qui était très prisé par les touristes. J'ai eu une enfance banale, mais active quand même. J'avais un caractère bien trempé quand j'étais jeune. J'étais arrogant, têtu et mon impulsivité était plus importante. J'avais pas mal d'amis qui tentaient de calmer mes ardeurs. Je n'avais aucun souci à l'école. Je savais faire la part des choses entre m'amuser et étudier. Il faut aussi dire que ma mère était souvent derrière moi. Elle espérait que j'ai une vie correcte. J'allais souvent l'aider à son restaurant à servir les clients, les accueillir et les installer à une table. Un travail basique pour un jeune enfant. Et souvent, les clients prenaient cela avec le sourire et étaient aimables avec moi. C'est comme ça aussi que j'ai appris et aimé faire la cuisine. J'observais ma mère dans la cuisine et ses plats étaient toujours très bons. Je sais qu'à ce sujet, je n'étais pas très objectif, vu que je n'avais que ma mère comme exemple. En dehors de l'école et de la cuisine, je pratiquais le karaté par passion et j'ai commencé par besoin. En voyant mes amis se faire agresser un soir en rentrant chez nous, nous avons réussi à faire fuir nos agresseurs, mais cela aurait été mieux si nous avions eu des bases pour se défendre. C'est pour ça que j'ai appris à me battre via le karaté pour savoir défendre mes amis ou même ma famille s'il le fallait. Je n'ai pas peur d'avoir mal, je suis du genre à tout garder pour moi. Mais je n'aime pas que celui que j'aime souffre à cause de mon impuissance à leur venir en aide. Mes sensei souhaitaient que je fasse des compétitions, mais cela ne correspondait pas à mes attentes du sport. J'aime l'esprit de compétition, mais je trouvais que cela était trop extrême dans les grandes compétitions. Ce qui fait que je regardais rarement la télévision et que je ne m'informais pas du tout de ce qu'il se passait en dehors de mon village. Bien que j'aie entendu via mes amis cette histoire d'incontrôlable qui manifestait contre l'incontestable. Mais je n'avais pas vraiment suivi cette histoire, vu que cela ne me concernait pas vraiment.

Soudain, un mois avant mes 15 ans, un tremblement de terre assez conséquent avait touché notre village. Mon père était encore au boulot et ma mère avait réussi de justesse à sortir et à sauver les clients qui étaient dans son restaurant. Celui-ci s'est littéralement écroulé juste au moment où ma mère était sortie. Elle l'avait vraiment échappé belle. Moi, j'étais au karaté et, par chance, nous étions en train de faire notre jogging à l'extérieur, car tous les bâtiments s'étaient quasi tous écroulés. Notre village était devenu une ruine. Ma mère était inquiète, car elle n'avait pas de nouvelle du père jusqu'au moment où on reçut un appel qui l'avait rassuré. Mon père était sur le chemin du retour quand cela est arrivé et, par chance, il a su s'abriter. Par la suite, nous avons pu voir aux infos que nous avions échappés au pire, au vu du tsunami qui avait dévasté l'est du pays. À partir de là, nous avons commencé à reconstruire là où nous étions. Et un an plus tard, notre père a eu vent que son entreprise allait déménager à Tōkyō. Cela l'obligerait à faire pas mal de route, mais il comptait rester la semaine là-bas et revenir du week-end. Après un certain moment, l'incontestable a accordé la possibilité de déménager à Tōkyō pour faciliter la vie de couple de mes parents. C'était un changement radical d'environnement. Mais j'ai réussi à me faire une place à l'école, car je n'étais pas du genre à rester en retrait. Comme le courant avait tendance à passer vite avec les autres, j'ai été vite accepté dans ma nouvelle classe. Et donc, on commençait à reprendre une routine à Tōkyō et j'arrivais à ne plus me perdre dans cette immense ville. Et un soir, je voyais mes parents qui s'affolaient devant le moniteur qui leur donnait leur devoir conjugal parce qu'il n'y avait rien hormis un message d'erreur. Ils m'avaient expliqué et on l'avait aussi dit dans les cours que les couples avaient des devoirs à accomplir entre eux et que si ce n'était pas fait, ils seraient punis. C'est pour cela que comme le moniteur était inactif, ils ne savaient pas ce que cela engendrerait comme conséquences. Par chance, on avait remarqué qu'aucune conséquence n'était prévue malgré l'absence d'ordre de l'incontestable. On pouvait voir à la TV que certains profitaient de la situation, mais mes parents avaient appris à s'aimer avec le temps et ne comptaient pas profiter de ce manque d'ordre.

À l'école, on nous avait annoncé qu'une épidémie faisait des ravages dans le pays. On nous disait de surveiller nos symptômes et que si on ne se sentait pas bien, d'aller à l'hôpital sans réfléchir. Cette maladie inconnue avait déjà fait des morts et les hôpitaux étaient submergés de patients. Moi et mes parents, nous n'avons pas été affectés par cette épidémie. On est resté chez nous. Je n'allais pas à l'école pendant ce temps-là, ma mère n'avait pas encore ré-ouvert son restaurant et mon père avait eu l'autorisation de son boulot pour travailler à partir de la maison quand c'était possible. Et cela durait deux mois, je pense. On a même été surpris d'apprendre en regardant la télévision la vérité sur toute cette agitation. On n'aurait jamais pensé que les puces pourraient avoir une durée de vie ou une date limite, comme on dit. On a été se faire recenser, car on n'était pas du genre à faire de vague. Comme je l'ai dit, mes parents étaient très bien ensemble et n'ont rien à dire sur l'incontestable. Et pour ma part, ça fait partie de ma vie et je ne l'ai pas encore expérimenté, donc je n'avais pas vraiment d'avis à ce sujet.
 
Quand j'avais fini l'école, je n'avais pas dans l'idée de faire de plus hautes études. J'avais donc arrêté l'école et je faisais de petits boulots à droite et à gauche. Comme dit auparavant, je suis une personne qui ne se préoccupe pas trop de ce qui se passe à la télévision. Je n'étais donc pas du genre à me tenir informés parce qu'il se passait, je les apprenais par la famille ou les amis. Mais ici, cette histoire d'élection faisait beaucoup de bruit, vu qu'il y avait des pancartes dans tous les sens et où qu'on aille, on entendait parler de leurs débats politiques pour x raisons. Pour ma part, je ne m'en préoccupais pas. Je n'étais pas au taquet sur tout ce qui touchait la politique, j'espérais seulement celui qui gagnerait l'élection pense aux citoyens et pas à lui-même.

Enfin, on m'avait parlé d'un boulot qui pourrait me correspondre au gouvernement en tant qu'agent de sécurité. Je devais passer une formation, des tests et être honnête pour les entretiens. Je n'avais rien à cacher et c'était un boulot qui pourrait me plaire, donc je ne tardais pas à faire ce qu'il faut pour être accepté à mes 20 ans. Si je pouvais aider à éviter les débordements comme on a vu à la TV en utilisant mes connaissances, cela me convenait de faire un boulot où je pourrais me sentir utile.

Ouvert d’esprit ◄► Je savais être à l’écoute des autres et pouvoir les aider quand cela était possible pour moi. J’avais parfois du mal à les conseiller, mais je pouvais au moins leur prêter une oreille attentive en cas de besoin. Extravertie ◄► J’aime aller vers les autres, leur parler, les écouter, les aider. Je ne suis pas du genre à rester dans mon coin, et j’aime prendre les devants directement. En cas de soucis, je suis celui qui n’aura pas peur d’aller en première ligne ou de dire ce qu’il faut. Responsable ◄► J’assume tout ce que je dis et ce que je fais. Je ne suis pas du genre à fuir mes responsabilités ou à accuser quelqu’un d’autre à ma place. Je veux être un pilier pour ceux que j’aime et je n’ai pas peur d’affirmer mes décisions. Borné ◄► Quand j’ai une idée en tête, il est difficile de me faire changer d’avis. Il faut vraiment bien me connaître pour savoir m’amadouer et que je vous écoute, car je peux être un sacré têtu quand je le veux. Explosif ◄► J’ai un caractère bien trempé et parfois, j’ai du mal à garder mon calme. Je déteste qu’on s’en prenne à autrui ou qu’il y ait de l’injustice. Je serais toujours là pour défendre ceux dans le besoin, même si je dois utiliser mes poings pour me faire comprendre. Froid ◄► Je ne le suis pas vraiment volontairement. C’est plutôt mon aspect physique qui me fait passer pour quelqu’un de froid et distant parce que je ne sais pas sourire ou avoir un visage amical. On dit souvent que lorsque je souris, on pense toujours que j’ai une mauvaise idée en tête. Après, une fois qu'on me connaît, on se rend compte que c'était un faux jugement qu'on me faisait qui était la faute à ma façon d'être. Curieux ◄► J’aime savoir les choses et je peux me montrer parfois invasif pour le savoir. Cela ne part jamais d’une mauvaise intention, mais je ne vois quand je vais trop loin que si on me fait la remarque. Optimiste ◄► Je vois le verre toujours à moitié rempli. Il m’en faut beaucoup pour que je voie le négatif. Dans toutes choses, pour moi, il y a du positif. Il faut juste savoir analyser la situation et prendre du recul. Bagarreur ◄► Alors, j’arrive à garder mon sang-froid dans la plupart des cas. J’essaie d’intimider les autres par mes paroles et mon physique assez bien formés. Mais, si on s’en prend aux personnes que j’aime, là, y a plus de discussion. Mes poings parleront à ma place et je remettrai vite les gens à leur place. J’ai assez confiance en mes capacités de défense et aussi d’attaque. Consciencieux ◄► J’aime quand les choses sont bien faites. J’étais aussi « maniaque » à l’école comme dans mes petits boulots. Je ne laisse jamais un devoir, travail à moitié fait ou mal fait, peu importe le temps que cela me prend. Bon jugement ◄► J’ai comme un talent, disent mes amis, de voir le bien et le mal chez les gens. Comme un pressentiment au fond de moi pour me dire si je peux faire confiance ou me méfier. 

Pour ce qui est de mon physique, je dirais qu’il suffit de me regarder pour se faire une idée. Je suis un homme de taille moyenne, je dois faire dans les 172 cm avec un poids normal. J’ai une peau légèrement bronzée et un corps musclée par mes activités sportives. Mes cheveux sont assez ennuyants à placer, car ils vont un peu dans tous les sens. Ils sont blonds et j’ai tendance à les mettre vers le haut, sauf la mèche de devant qui retombe sur mon front. Beaucoup vous diront que j’ai les yeux rouges, mais ce n’est que mensonge. Mes yeux sont marron clair et c’est vrai que selon la lumière, ils peuvent apparaître rouges, mais ce n’est qu’une illusion. Ils peuvent faire peur à certains selon la façon dont je les regarde. Je ne sais pas jouer avec mon visage pour paraître plus accueillant. Bien que cela ne corresponde pas à ce que je suis, j’ai une tête qui fait peur et peut paraître froide sans compassion aux autres. Mon visage semble toujours sérieux, car je souris assez rarement ou alors en coin. On dit souvent que mon sourire, quand j’en fais, semble cacher quelque chose et ne semble pas sincère. C’est pour ça que je ne souris plus, pour ne pas qu’on se méprenne de mes intentions. C’est juste que je ne sais pas trop montrer mes émotions aux autres. Niveau habit, j’ai tendance à mettre des habits proches du corps et souvent sans manche, car j’ai toujours chaud. Je m’habille selon les situations. Cela peut aller du simple au costume sans soucis. Je préfère les habits légers et plus confortables aussi. Je n’ai pas de bijoux, de piercing ou de tatouage. Je favorise le corps au naturel sans artifice.

Personnage tiré d'un manga/anime/jeu-vidéo/série

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<div class="infobulle1">• [b]Bakugo Katsuki[/b] {My Hero Academia} [i]est[/i] [url=https://just-married.variousforum.com/u3749]Aoki Saki[/url]<span><img src="https://i.goopics.net/wlk0cu.jpg"></span></div>