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Adrián T. Mora-Reynolds
Adrián T. Mora-Reynolds
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Dim 14 Avr 2024 - 22:41
Adrián Trajan Mora
"Ego sum id quod fecit animam meam"
"Je suis ce que la vie a fait de moi"
Généralités
Nom ;; Mora
Prénoms ;; Adrián Trajan
Âge ;; 33 ans | 14 Juin 2082
Genre ;; Homme
Origines ;; Espagnol, naturalisé Japonais.
Activité ;; Force de l'ordre - inspecteur adjoint
Sexualité ;; Hétérosexuel sur le papier, mais plutôt indécis - curieux - en son for intérieur.
Avatar ;; Miguel O'Hara - Spiderman
Règlement ;; Validé - Kazu
Chemin ;; J'ai vu la lumière.
Commentaire ;; ~
Histoire
Une lumière aveuglante, de l'agitation, des ombres, des silhouettes, se furent tout ce que tes petits yeux encore à moitié fermés avaient perçus pour la première fois. Une entrée humble dans le XXI siècle, dans un hôpital de Madrid. Cette matinée de juin était la tienne, ta première, un petit garçon en forme, bien qu'un peu petit.

Dans un monde idéal, tu aurais eu une enfance simple, propice à l'éveil et à une joie certaine, tu aurais grandi dans une famille unie, aimante, une mère au foyer peut être, un père dans l'administration, un chien dans le jardin et une jolie maison de quartier. Des camarades de classe dans une petite école de proximité. Tout serait allé pour le mieux. Tu aurais sans doute fait des études, trouvé une femme, l'aurais aimé avec ardeur et peut-être même lui aurais fait des enfants.

Mais il avait suffi que tu ne grandisses pas dans le bon utérus pour que la courbe de ta vie soit à l'opposé de ce qu'elle aurait pu être. Une femme mince, flirtant presque avec la maigreur et d'une santé approximative, accro au crack, la voilà, la matrice reproductrice qui t'avait accordé la vie. Le corps médical qui avait assisté à ta naissance avait été soulagé de constater qu'elle avait au moins pris la peine de te préserver de son addiction in utéro.

Tout aurait encore pu changer, elle aurait pu se remettre, remettre de l'ordre dans sa vie après ton arrivée, nourrir son instinct maternel plutôt que sa dépendance, mais non. "Non" fut sa réponse aux diverses aides qui lui furent proposées et à n'en pas douter, rien ne serait facile dans ta petite vie en construction.

A peine deux ans après, tu te retrouvais de nouveau dans cet hôpital. Négligence, sous nutrition, carence, tout s'accumulait sur les résultats de tes examens. Bonheur ou malheur, une voisine avait été interpellée par des hurlements dans l'appartement voisin au sien, tes petits cris de détresse, seul dans ton lit pliant pour enfant.
Ameutant police, pompier et ambulance devant votre immeuble pour extirper le corps inconscient de ta mère du canapé où elle avait élu domicile.

Il était naturel de t'arracher à cet environnement néfaste à ton évolution. Te voilà entré dans le système administratif des services sociaux espagnols. Chacune des familles où tu avais été placé avait ses vices et ses travers, forgeant un petit garçon teigneux, colérique et indiscipliné. Ton esprit s'assombrissait autant que ton regard au fil des jours et des visites chez les assistantes sociales, thérapeutes et accompagnateurs en tout genre, jusqu'à celui qui versa un peu d'espoir en toi. Tu avais idéalisé cette personne dont tu n'avais finalement que peu de souvenirs, celle qui venait maintenant te chercher pour te ramener chez vous. Jugée apte à te recevoir chez elle de nouveau, après avoir suivi une cure de désintoxication, plus en visites surveillées, tu quittais ta dernière famille avec ta mère. Tout du moins, c'était ce que tu pensais.

Et vous voilà dans l'avion quelques semaines plus tard. Toi et ta mère, toujours aussi maigre et abîmée, étiez en partance pour le Japon. Tu n'y comprenais rien, mais tu étais avec elle, alors ça ne pouvait que bien aller, non ? Pris dans ses délires de nouveau départ, d'opportunité, de travail bien payé, d'une toute nouvelle vie pour vous deux, tu ne pouvais pas imaginer le sens de la réalité de ses pensées et de sa perspective d'avenir. Elle avait passé plusieurs séjours la bas durant les deux années précédentes, jusqu'à parvenir à te récupérer. Prise de remords peut être, d'un instinct maternel redécouvert une fois clean, elle avait fait en sorte de t'emmener avec elle dans ce qu'elle disait être votre "nouvelle vie". Esprit affaibli par son passé de toxicomane, endoctrinée par ses mauvaises fréquentations, le déroulement de sa prise de décision pour vous deux venait te condamner à une soumission à la dictature nippone. Du haut de tes treize ans, jamais tu ne l'avais remis en doute. Au contraire, tu y avais cru avec elle. Quelle erreur.

Sur le territoire japonais, tu avais déchanté. Les rendez-vous administratifs en lien avec votre naturalisation s'étaient enchaînés, puis vint l'implantation de la puce, expliqué grossièrement par ta mère, quand bien même tu n'y comprenais pas encore grand chose. Rien n'était comme elle te l'avait promis, tu ne comprenais rien, tu avais soudain eu peur, une peur viscérale de ce pays inconnu où elle t'abandonnait de nouveau pour rejoindre le monde de la nuit. Seul, interminablement seul dans ce petit studio miteux des bas-fonds de la capitale pendant qu'elle... elle, dépensait la majorité de l'argent qu'elle ramenait de son boulot de serveuse dans un bar de stip-tease dans son éternel vice, repris de plus belle.

De nouveau dans son engrenage infernal, délaissant son petit garçon, le laissant livré à lui-même des nuits, parfois des jours, tu ne pouvais pas bien tourner. Si tu avais tenté d'être un jeune garçon model, de t'adapter à votre cohabitation bancale et à cette langue étrangère, en à peine quelques mois les moqueries des enfants vinrent à bout de ta motivation, préférant l'ambiance des parcs pour enfants déserts la nuit et les gares de bus le jour, prêt à sauter dans l'un d'eux au hasard à tout moment.

Jusqu'à ce qu'un jour, elle fût mariée à un irlandais né ici. Tu avais vu dans ce mariage une promesse de salut, une nouvelle maison, toute propre, immense, mais rapidement ton Eden se transforma en cauchemar éveillé.

La famille de ton père "d'adoption" s'étant installée depuis deux générations sur le territoire japonais. Ils s'étaient intégrés petit à petit et avaient fait fleurir leur société d'import-export de matériel informatique haut de gamme et étaient devenus leaders sur le marché à force d'investissements et d'esprit.

Il était un homme charmant, courtois avec un sourire de tombeur, ou de prédateur, sous le feu des projecteurs, alcoolique et obscène en privé. Un de ces hommes qui paraissaient bien en public pour n'être que leurs directs opposés lorsqu'ils franchissent la porte de leur villa.

Lorsqu'il vit ta mère pour la première fois, sa carrure, ses cheveux ternes, il n'avait éprouvé qu'un certain dégoût pour elle. Il ne vit en elle qu'une jeune femme qu'il devrait « dresser » et faire « à sa main » comme il disait. Il la battait pour un oui ou pour un non, usait de sa force pour avoir ce qu'il voulait d'elle.

Bien entendu, tu n'y échappais pas, encore moins, toi le bâtard qu'elle avait ramené avec elle. Un nuisible sur son tableau, comme une tique sur un chien, il te méprisait, peut-être même qu'il te haïssait. Ton teint trop basané, tes cheveux trop clairs, rien n'allait.
Tu n'avais pas compté le nombre de fois où vous aviez fini aux urgences, changeant de centre hospitalier à chaque fois pour ne pas éveiller trop de soupçons, inventant des histoires à coucher dehors à chaque fois... Une chute dans les escaliers, un faux pas au début, puis un accident de la route, la chute d'un meuble, ta mère avait même prétexter une chute de cheval ou de motocross pour toi une fois...

Ce traitement avait duré à peine un an. Jusqu'à ce qu'elle ne se laisse porter par un nouvel élan suicidaire. Une nouvelle overdose, dans un squatte qu'elle "affectionnait". Celui où elle s'abandonnait des heures durant. Celle-ci lui aura finalement valu un aller simple pour le coin des camés du paradis.

Il pleuvait le jour où tu mis en terre celle qui t'avait mise au monde. Tu avais désormais quatorze ans, là, dans ton petit costume noir en face de cette stèle grise et sobre. Un sentiment de haine naissait en ton âme, une haine viscérale, de celle qui s'attisait elle-même, qui vous rongeait l'esprit. Ton beau-père et désormais tuteur légal derrière toi, une main pressante sur ton épaule. Qu'allait être ta vie désormais ? Tu n'attendrais pas pour le découvrir. Tu le savais au fond, tu finirais toi aussi six pieds sous terre si tu te laissais emporter par le chagrin.
Le soir même, tu tentais une première fugue, six autres suivirent, plus réfléchies les unes que les autres, tu te tenais prêt à chaque fois qu'on te rattrapait, prêt à subir les conséquences de tes décisions, sans jamais cesser d'essayer, pour enfin être sauvé de ce supplice.
Pour les rares fois où tu remettais un pied dans ton école, se fût un appel à l'aide de l'infirmière scolaire qui sonna l'alarme. Après une nouvelle bagarre, il avait bien fallu soigner les égratignures et les coupures que toi et ton adversaire vous étiez infligés. Constatant les nombreuses ecchymoses et cicatrices, tout ça couplé à tes réactions brutales et ton tempérament lunatique, il n'en fallait pas plus pour prévenir les services sociaux. Ils firent le lien avec ton dossier médical, tes nombreux passages dans différents hôpitaux. Un heureux hasard qui t'avait sauvé de ton enfer personnel.

Placé dans une maison de campagne à la périphérie de Tokyo, jamais ton bourreau n'avait réclamé de te récupérer. N'ayant jamais porté plainte de ton côté non plus, les "preuves" étaient insuffisantes sans le témoignage de ta mère ou le tien pour une condamnation, néanmoins tu ne chercherais plus jamais à revoir ton tortionnaire. Cela importait peu, perdu dans l'immensité du grand air, tu te sentais tout petit. Jamais tu n'avais eu autant d'espace pour t'exprimer, si bien que la première chose que tu avais faite dans cet immense jardin fut de courir, de toutes tes forces, aussi longtemps que tes jambes pouvaient le supporter. Inspirant l'air à plein poumon, jusqu'à ce qu'ils ne te brûlent. Tu avais hurlé à t'en briser la voix.

Dans ce lieu à l'écart de tout, tu te sentais apaisé, il n'y avait plus personne pour t'oppresser, te négliger ou te malmener. Si au début, tu avais été méfiant, ta carapace s'était effrité avec l'apparition d'une demi-portion de six ans nommée Momo.
Petite fille placée dans la même famille que toi dont la mère avait assassiné le père. Un couple associé par la machine qui régissait le pays et avait imposé la naissance de la fillette. La mère ne l'avait plus supporté, il parait. Cela faisait quatre ans que Momo arpentait les murs de la maison, voyant défiler les enfants, certains adoptés, d'autre retournant chez eux.
Tous les deux dans cette famille recomposée pour un temps indéterminé, elle s'était entichée de toi et de ton physique étranger. Te suivant comme ton ombre, tu avais réappris la douceur et avais endossé un rôle de grand frère pour cette enfant qui ne parlait que peu. Figée dans un mutisme sélectif.

Le temps filait à une allure folle et de jour en jour, tu avais appris à aimer la femme qui menait la maison à flot, à la fois stricte, mais aimante. Elle semblait être faite de bois, résistante et dure autant que souple et tendre. Elle avait une force de caractère qui t'avait fasciné au fil des années. Elle vous traitait comme ses propres enfants, vous grondant lorsqu'il le fallait, vous bordant le soir, quand bien même tu râlais d'ailleurs de ça, en prétextant que tu n'étais plus un enfant. Ton suivi médicale et psychologique notait de réels progrès dans ton développement et ton comportement. Tu reprenais le pas sur ce que la vie avait fait de toi jusque là.

Tu avais aimé cette mère de substitution autant qu'elle t'avait reconstruit. Elle avait pris le temps de t'apprivoiser, te rassurer, l'enfant sauvage qui ne parlait pas sa langue, ou du moins qui n'avait fait aucun effort pour la parler correctement.
Finalement, tu avais repris le chemin des bancs du collège, puis du lycée. Si tu avais eu des difficultés à t'adapter, à t'intégrer, tu avais vite compris que tu devrais supporter les rires et les réflexions sans te relancer dans des bagarres si tu ne voulais pas changer de foyer. Tu voulais la rendre fière, ne pas partir. Pour une fois, tu avais quelqu'un qui féliciterait tes réussites et tu ne voulais gâcher ça pour rien au monde.

Diplôme en poche, tu avais choisi la voix des forces de l'ordre. Douze mois de formation suivis de douze autres mois de stage et te voilà devenu policier, rattaché à un commissariat du centre de la ville. C'était grisant de te sentir adulte, du haut de tes vingt ans, l'allure forte et assurée.
Tu avais ce sens du devoir, de la justice que peu de tes camarades de promo pouvaient se vanter de posséder. Ton objectif de départ avait été d'intégrer une brigade gérant les conflits familiaux, les cas de violence sur mineurs, mais tu avais vite déchanté lorsque tu avais constaté la perversion du système de plus près, ayant fait ton propre avis au vu des couples qui se déchiraient.
Tu n'étais pas convaincu que forcer deux personnes à cohabiter, avoir des rapports intimes était productif. Sur le fond, la natalité devait sans doute augmenter, c'était certain, mais la psychologie générale était elle encore saine ? Tu doutais que ça soit la réelle solution. Malgré tous les calculs et les algorithmes, pour toi, rien ne valait une alchimie spontanée.

De ta vingtaine à ta trentaine, il s'en était passé des choses. Le Big Bang Kiss pour commencer, l'année de tes 26 ans, où pris dans la cohue, tu avais fini avec de grosses ecchymoses à cause des manifestants.

En 2109, le festival Ansuburu puis Shukumei l'année de tes 27 ans, croyons le ou non mais tu n'avais pas vraiment été affecté par le tsunami, ton immeuble n'avait pas été trop endommagé, hormis des canalisations explosées, comme partout, ton appartement avait été relativement épargné par la catastrophe. Dégât des eaux, fissures, le béa-ba en soit, mais des détails qui t'avaient confortés dans ta décision de quitter ce logement pour mieux et plus sécuritaire face à un prochain événement de ce type. Ton choix se porta sur une petite maison de banlieue, plus loin de la côte, aux murs solides et aux fondations résistantes, un petit nid que tu ne partageais avec personne, pas de voisin de palier, d'étage et tout ce que ça impliquait.

La panne générale du système qui était survenu en 2111 ne t'avait pas impacté, toujours célibataire à 29 ans, tu commençais à penser que l'Incontestable avait juste oublié ton existence, enfin, tu aimais le penser tu moins.

De plus, comme si tu avais une bonne étoile qui voulait bien de toi désormais, tu échappais à l'épidémie qui survint durant l'été 2111. Une approche maladroite d'un virus qui ne te donna ni nausées ni le moindre signe de grippe persistante, là encore, tu pouvais te considérer comme chanceux... pas comme ta mère de substitution. Tu te revoyais la japonaise entrer à l'hôpital pour une défaillance rénale, forcée de subir une greffe en urgence. Souvenir pénible qui t'avait fait réaliser à quel point tu tenais à elle.
Si elle s'en était remise, lentement, mais surement, elle t'avait donné du fil à retordre lorsque tu tentais de t'occuper d'elle, à ne pas vouloir tenir en place. Elle pouvait se montrer très têtue lorsqu'elle le voulait !

Cette année là tout semblait s'être enchainé, après l'épidémie, la fin du "system error" vint Soosaku ! Des personnes annoncées décédées, des fuites, les puces qui arrivaient à bout, tout ça avait engendré une chasse à l'homme et enfin un repuçage en bonne et dûe forme. Attisant un peu encore ta lassitude du système de l'Incontestable.

C'est en 2112 que tu avais adopté "Ko", un croisé rottweiler, qui en avait pourtant tous les traits sans avoir le pédigrée, de six mois abandonné en chenil. La solitude s'insinuait en toi, tu le sentais comme on sentait un serpent froid se glisser sur sa jambe dans les draps, incapable de bouger, le laissant juste se mouvoir sans peine. Alors, tu craquais. Préférant adopter un chien abandonné qu'un d'élevage. Une petite boule d'énergie qui égaillerait désormais ton quotidien déjà bien rôdé par des habitudes solides.

L'année qui suivit signait un tournant dans ta carrière, fort d'un parcours sans accrocs, tu avais voulu tenter d'avancer encore plus, toujours plus et de devenir inspecteur.

C'était là que tu la croisais, elle.

Elle te vit là, s'approchait sans être trop farouche, comme une biche téméraire. Un coup du sort encore, elle qui était si joyeuse, si pétillante, si forte. Comme intriguée par ton caractère pourtant si distant, si silencieux et si discret. Tu t'évertuais à la garder à distance. Qu'est-ce qui pouvait bien pousser quelqu'un à faire preuve d'autant de curiosité et d'empathie ? Faveurs incompréhensibles pour ton esprit étriqué et vide de sentiments.

Les jours passant, tu te rendais compte qu'elle habitait à deux pas de chez toi, vous vous croisiez, elle te souriait, tu feintais de l'ignorer, pourtant ça ne la freinait pas, elle te parlait et tu n'écoutais que d'une oreille distraite. Et pourtant elle restait là, fidèle, elle s'accrochait à toi.
Son insistance, son sourire et sa bonne humeur eurent raison de toi ? Vous finissiez par faire un bout de trajet ensemble, certains jours, vous alliez faire vos courses ensemble, tu la raccompagnais chez elle et de fil en aiguille, tu finissais chez elle, un soir, puis deux et pour finir dans son lit.
Ce contact charnel que tu n'avais pas ressenti depuis longtemps, cet angle, allongé sur un lit, sa chevelure en face de toi dans le noir cette odeur de femme sur l'oreiller. Tu avais oublié combien c'était agréable. Tu refusais de t'attacher, tu restais froid et distant... Que tu crois. Il te fut bien difficile d'admettre que tu avais baissé la garde et cédé à son âme.

Ses bras étaient une délivrance lorsque tu te sentais loin et fatigué, comme un coin de paradis dans ce pays qui promettait la rupture foudroyante de votre histoire naissante. Mais ça ne vous arrêtait plus. Encore moins lorsqu'elle t'annonça la seule chose qui te ferait vriller.

Un petit être grandissait dans son ventre. Le tien. Le vôtre. Figé entre colère, incompréhension, terreur et une joie imperceptible. Tu aimais ce brin de femme, c'était certain, sans jamais le dire, jamais l'avouer, mais tout se mélangeait. Vous n'étiez pas marié et lorsque vous le seriez, chacun de votre côté ? Parce que si vous étiez destiné à être ensemble, ça se serait déjà fait. Tu en avais la certitude, mais ton cœur se brisait à y penser.

Tu avais eu besoin d'encaisser la nouvelle, rien n'allait être simple. Tu te refusais à penser à un autre pour s'occuper de ta descendance. Inadmissible. Intenses sentiments contradictoires, le feu de ton âme s'embrasait cependant lorsque tu posais les yeux sur la jeune femme tout aussi perdue que toi. Cherchant ton appui, ta chaleur, refusant de te quitter, de ne plus pouvoir t'enlacer comme elle l'aurait souhaité.

Les jours, les semaines, les mois s'écoulaient et votre décision était prise. Personne ne vous enlèverait ce bout de bonheur, aussi fugace soit-il. Installée chez toi, vous viviez cette grossesse avec une joie mitigée jusqu'à ce que le couperet ne tombe. Vous pensiez au mariage, la vie pensait à autre chose.

Brutal, trop brutal pour un jour qui se voulait heureux. Une vie pour une vie, Nerea vit le jour un soir de mars 2113, au détriment de celle de sa mère. A jamais tu te souviendrais de ses yeux qui s'éteignaient, sa main glissant mollement de la tienne, de l'agitation des médecins, de l'affolement des infirmières. Tu avais porté votre enfant sans qu'elle n'ait rencontré son modèle, celle qui devait la guider dans la vie. Te retrouvant désormais seul, inconsolablement seul dans ta paternité. L'angoisse t'avait gagné et rapidement, tu ne te sentais plus légitime.

Heureusement pour toi, tu pouvais compter sur la personne qui t'avait jamais soutenu et avait eu ce rôle de mère. Elle savait comment t'apprendre à être un parent, à aimer cette enfant qui n'avait rien demandé, qui était simplement là, entre tes bras. Tout comme tu l'avais été dans tes premiers jours de vie.
Momo quant à elle, désormais plus grande, prenait parfois le relai pour jouer les babysitteuses, lorsque ton travail t'empêchait de rester chez toi.
Tu te voulais plus aimant, mais tu n'y arrivais pas, pas encore, c'était trop tôt. Tout allait trop vite, à mesure que la fillette grandissais, tu te voyais t'adoucir et te refermer par la même occasion. Il n'y avait plus qu'elle. Elle que tu devais protéger, que tu devais faire grandir pour subir la dictature du Japon. Cette perspective te répugnait, c'était comme élever un animal pour l'abattoir. Rien de plus. Alors, tu la chérissais, plus que n'importe qui.

Deux ans passèrent en un claquement de doigts, les élections, le retour à la normale de ta vie après une longue période de chaos émotionnel, tu retrouvais tes marques dans ce même logement que tu avais partagé avec sa mère.

Dans un monde idéal, dans un autre lieu, en un autre temps, vous auriez été une famille heureuse peut-être. Mais rien ne se passait comme prévu dans ta vie que tu voulais bien rangée.

Caractère
Tu avais les yeux fermés, ton visage se voulait paisible, ce masque, dessiné par Morphée sur ton visage, cachait bien son jeu, derrière ce visage serein, aux allures douces de chevalier ténébreux, tu n'es rien de plus qu'une coquille vide, un réceptacle froid comme le marbre. Tu n'étais que distance, colère refoulée et brutalité à demi assumée. Derrière cette facette calme et paisible, tu n'es rien qu'un homme dur et téméraire.

Ton regard s'il était ouvert ne traduirait que la franchise de tes actes et la dureté de tes paroles, tu ne retenais que difficilement tes émotions lorsqu'on ébranlait ta stabilité, durement acquise et tu blessais souvent involontairement les gens.

L'esprit droit et en proie à de fortes convictions, tu n'es pas le genre de personne à changer d'opinion pour un oui ou pour un non. "Ce qui est dit est dit, ce qui est fait est fait", c'est ainsi que tu vois les choses. Les actes ayant plus de sens que les mots, tu ne juges que rarement une personne à votre première rencontre, tu es patient, tu attends de voir avant de décider.

La plupart te voyaient comme un homme réfléchi, soigné et distant alors qu'en réalité, tu n'étais rien d'autre qu'une personne en proie à une territorialité et une peur de l'abandon, avec ce besoin constant de contrôle sur ce et ceux qui t'entourent (personne comme objet). Un besoin compulsif que tu n'assumais pas, déni quand tu nous tiens.

Tu étais assez dur, et ce, non seulement envers toi-même, mais aussi envers les autres. Tu attendais souvent des autres la même rigueur que tu t'imposais à toi, chose qui bien sûr, te décevait bien plus que tu ne pouvais le dire.

Bien que sous ton apparence froide et distante, tu étais d'une douceur insoupçonnée et d'une hargne qui te ressemblait assez peu si on ne te connaissait pas. Un vrai cœur d’artichaut en réalité, une fois qu'on avait gratté la surface. Un merveilleux cuisinier aussi, chose qui t'avait réellement rapproché de ta mère d'adoption.

Aussi faut-il savoir que si tu n'étais pas toujours souriant et jovial, il t'arrivait à toi aussi d'avoir des passades désagréables, comme ces moments où ton corps décidait de te rappeler que tu étais humain et qu'il te soumettait à de puissantes migraines, résidus peut être de ton passage dans l'utérus d'une droguée ? Impossible à dire.

De l'aube de ta vie, tu avais retenu qu'on ne devait jamais faire du mal à un enfant. Nourrissant ton instinct protecteur envers ta petite, la seule personne avec qui tu étais d'une douceur à nul pareil. Tu avais d'ailleurs accumulé chez toi pas mal d'ouvrages sur l'éducation, mais ça aussi, c'était un secret bien gardé. Tu ne pouvais pas supporter qu'on s'en prenne sans raison à un être sans défense et c'était aussi valable pour les femmes, quoique parfois, tu pouvais être un peu rude lorsque la situation l'imposait, mais jamais par plaisir.

Physique
Droit, toujours droit, bien ancré dans le sol, affirmant ta position d'un bon mètre quatre-vingt-treize, tu étais un grand gaillard comme on disait. Une masse musculaire très bien entretenue, tu dépassais sans aucun doute les cent kilos sur la balance. Bras croisés, avec tes yeux ternes et ta mâchoire serrée, il ne t'aurait manqué qu'un costume noir pour te faire passer pour un garde du corps.

Si le destin avait été odieux avec ton enfance, jouant avec comme avec un vieux ballon dégonflé, la nature, elle avait choisi d'équilibrer la balance : elle t'avait offert une plastique agréable, un sourire d'enfer et une tignasse soyeuse, que tu coiffais d'un simple geste de la main chaque matin, avec tes doigts de pianiste.
Des cheveux certes indisciplinés, dont tu avais abandonné l'optique de couper court. Les laisser pousser cependant, pourquoi pas, mais pour l'heure, ils n'étaient ni trop longs, ni trop courts, pour qu'on puisse y passer une main et en constater la douceur. De par tes origines, ta peau, dont la couleur rappelait celle d'un caramel-latte, était assortie à tes mèches ondulées, te donnant ce teint chaleureux qu'on enviait aux stars, bronzant sous les tropiques.

La mâchoire carrée, le nez droit, les yeux vifs, tu n'avais pas un visage aux traits particulièrement fins, mais on ne pouvait pas dire que tu sois laid et repoussant. Au contraire, ce côté brut de l'être te donnait du charme en un sens, avec ta crinière brune, voir dorée sous un rayon de soleil, ton teint halé. Un hispanique dans toute sa splendeur.

Ton regard, cependant, dénotait. Si tu ne savais rien de celui qui avait participé à la moitié de ton génome, tu savais qu'il t'avait au moins transmis la particulière teinte rougeâtre, presque bordeaux de tes iris et des canines un petit peu plus prononcées que la moyenne, te donnant ces airs d'halloween quelquefois. Ce n'était pas non plus flagrant, mais une fois qu'on y avait fait attention, il était impossible de ne pas le voir.

Si ta carrure se voulait forte et imposante, on pouvait aussi y constater les stigmates de ton enfance agitée : des cicatrices sur le dos, le ventre et les bras. Allant de la simple coupure causée par une chute d'enfance sur un terrain vague aux brûlures de cigarette de ton ex beau-père. Si la plupart avaient été saines et "propres" d'autres avaient abîmées ta peau et en donnait l'aspect de dessins en relief. Tu t'y étais habitué depuis le temps, mais tu comprenais que ça pouvait s'avérer repoussant et préférais les garder pour toi en toutes circonstances avec une pudeur certaine.

Si on se penchait sur le reflet de ton âme, on pouvait y lire des expressions assez basiques. Tes perles rouges traduisaient avec facilité tes pensées, somme toute assez banales. Les gens avaient parfois un panel d'expressions complexes, toutes très différentes, des mélanges de certaines parfois, mais pas toi. La joie, la colère, la frustration, l'envie, du simple, direct et facilement discernable.
Pourtant, lorsque tu découvrais tes dents parfaitement alignées pour offrir un de tes rares sourires, celui-ci était franc et communicatif. Tu ne pouvais mentir sur tes expressions, tes pensées, ton visage te trahissait à chaque fois alors tu te murais dans une expression neutre, lasse qu'on prendrait parfois pour du dédain.

Tu n'y pouvais rien, c'était ton visage, ta posture, mains dans les poches, de chaque côté de tes hanches saillantes et dessinées, sculptant encore plus ta silhouette imposante, ton dos et tes épaules larges que tu caches sous des chemises de rigueur dans ton métier. Tu marchais toujours comme ça, droit, sans regarder personne, sans prêter attention à personne, dégageant cette aura distante, celle qui forçait les gens à ne pas chercher plus loin.

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Adrián T. Mora-Reynolds
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Bienvenue et bon courage pour la fiche ! Adrian T. Mora 1362171446
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Adel Laine
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Dim 14 Avr 2024 - 22:52
Sympa le choix de vava ! La musculature de Miguel colle bien avec le métier choisi.
Re-Bienvenue, Adrian ! Bon courage pour le remplissage de fiche. ^^
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Autre: Merci Akio pour ce beau vava ♥
Kazuma Tetsuya
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Dim 14 Avr 2024 - 23:07
Re-bienvnue et bon courage pour la suite de ta fiche o/

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Kazuma Tetsuya
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Ouiiii un copain des forces de l'ordreeeeeee !
Bienvenue à toiii, need un lien Adrian T. Mora 1984817200
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👀
Rebienvenuuuuuuuue !
Décidément, ces choix d'avatars sont on point x1000 ~ Adrian T. Mora 1362171446
Bon courage pour ta nouvelle fichette ! \o/
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Lun 15 Avr 2024 - 12:46
Merci à tous ♥

J'ai fini la rédac', je corrige et normalement ça devrait être pas trop mal /mur
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Jeu 18 Avr 2024 - 20:57
Modération de fiche

Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum ! ♥

Introduction

Rebienvenu à toi avec cette nouvelle tête ! Pardon, rebienvenu à toi avec ce futur bourreau des coeurs Adrian T. Mora 2837704232

Tu nous dit qu'il est né en 2082, nous sommes actuellement en 2115 donc il est plutôt âgé de 33 ans et non 34.

Histoire

• Une entrée humble dans le XXII siècle => en 2082 c'est encore le XXIème siècle. ^^

• Tu mentionnes le fait qu'il passe de famille d'accueil en famille d'accueil, il serait bien de parler d'un possible suivi avec un psychologue pour accompagner Adrian durant son enfance compliquée (le pauvre ;;)

Tu n'allais plus aussi assidûment à l'école […]
=> Du coup pour la maitrise de la langue, vu qu'il est "livré à lui-même" et qu'il sèche les cours, comment ça se passe ? Adrian T. Mora 517494357

Jusqu'à ce qu'un beau jour, un peu après que la puce vous soit implantée, […] elle ne fût mariée à un Irlandais né ici.
=> La puce est implantée une fois la procédure de naturalisation effective, soit dès leur arrivée à tous les deux sur le sol japonais.

• En parlant de naturalisation, bien que le gouvernement cherche à augmenter la population nippone et soit plus ouvert à l’arrivé des étrangers, il y tout de même quelques règles à respecter pour se voir accorder la nationalité nippone. (Pas de casier judiciaire (chose que sa mère n’a pas avec sa consommation de stupéfiant. A-t-elle suivi une cure de désintox pour se débarrasser de son addiction avant de commencer les procédures pour sa naturalisation japonaise ?), avoir déjà séjourné pendant deux mois au Japon, maitriser un minimum la langue etc, je te laisse jeter un œil ici pour revoir le déroulement de la procédure.)

Un appel à l'aide de ton enseignante aux services compétents
=> Même si c'est pour le bien d'Adrian, le fait qu'une enseignante ait accès aux vestiaires des garçons risque d'être mal interprété, à la limite si l'enseignant est un homme, à la limite, ça serait déjà plus passable.

• Tout comme lorsqu’il était encore en Espagne, le fait de retourner en famille d’accueil après avoir été enlevé à son ‘’père’’ pour cause de mauvais traitement, il serait logique d’ajouter un suivi avec un psychologue le temps de son adaptation avec sa nouvelle famille.

• Le Big Bang Kiss pour commencer, l'année de tes 27 ans => 26 ans du coup x) Et c’est également la même histoire pour 2109 et 2111, tu lui as donné un an de trop à chaque fois.  Adrian T. Mora 3833194854

• Il manquera la mention de Soosaku et du repuçage de la population Adrian T. Mora 4115966937

• Enfin (promis après c'est bon Adrian T. Mora 4115966937 ) est ce qu'Adrian a gardé contact avec sa sœur de famille d'accueil, Momo ? Et même si tu ne le mentionnes pas, je suppose qu'il a coupé les ponts avec l'ex-mari de sa mère ?


Orthographe :

C'était là que tu la croisais, elle.

Caractère

C’est bon pour moi. Après à toi de voir si l’ajout du suivi chez un psy pourrait ou non influencer certains traits de sa personnalité.

Orthographe :

durement acquise et blessais souvent involontairement les gens.
qu'une personne en proie a une territorialité

Physique

C'est ok  Adrian T. Mora 3998388675
Conclusion

Ton histoire est bien complète et bien travaillée c'était vraiment agréable à lire (et relir Adrian T. Mora 4115966937), il reste juste quelques petites mentions du contexte à ajouter et retravailler un peu la procédure de naturalisation. Encore deux trois petits ajouts pour éclaircir les points cités plus haut, mais rien de bien méchant, tu y es presque ! Adrian T. Mora 1361789270


Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)

Modération : 1/3

Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension. ♥
Kazuma Tetsuya
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Jeu 18 Avr 2024 - 22:09
Coucou !
Merci de ton passage :D

- J'ai ajouté en gras (et modifié certaines fois) les passages qui ne collaient pas :)

- Pour les dates : Jé sé plou compter Adrian T. Mora 1451543918 sory

- Pour la faute je comprends pas ?
C'était là que tu la croisais, elle. / je suppose que tu l'as lu comme : tu l'as croisé, elle. Mais je l'ai écrit comme tel pour appuyer sur le "elle" ("c'était là que tu la prenais, cette pomme." - si tu préfères xD)
Mais après si c'est trop incompréhensible, je retirerai simplement la phrase ;)

- Pour son caractère, je ne pense pas rajouter d'autres points, malgré son passif et son suivi psychologique :)

- J'ai corrigé les autres fautes o/

Normalement j'ai tout rectifié Adrian T. Mora 517494357
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Kazuma Tetsuya
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Jeu 18 Avr 2024 - 22:35
C'est bon pour moi. en effet, pour "la faute" je l'avais pas lu dans ce sens désolé ><" En tout cas, amuses toi bien avec cette nouvelle tête qui devrait faire fureur chez les célibataires Adrian T. Mora 4115966937

Pré-validation par Kazu
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
Kazuma Tetsuya
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Je suis: anti-Incontestable.
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Kaori Mogami
Kaori Mogami
Jeu 18 Avr 2024 - 22:42
Tu es validé(e) !

Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !

N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici ! ♥
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites. ♥

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !

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Adrian T. Mora Y23dmr11
Kao râle en #9900ff
Kaori Mogami
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