— Just Married —
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Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Marié à Laïs-chou ♥
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
Shogen S. Matarese
Shogen Sunan MATARESE
"C'est pas fini tant que la cloche n'a pas sonné !"
Généralités Nom ;; Matarese Prénoms ;; Shogen Sunan Âge ;; 28 ans & né le 10 janvier 2087 Genre ;; Masculin Origines ;; Japonais Activité ;; Kick-boxeur pro Sexualité ;; hétérosexuel Avatar ;; Tera – The boy and the wolf Règlement ;; Validé - Ko' Chemin ;; DC Commentaire ;; nope ! |
Histoire
L’atmosphère qui régnait dans la chambre d'un blanc stérile t’étouffait. Depuis quand n'avais-tu pas senti une telle pression, sur le pas d'une de ces portes sans verrous ? Le décès de Ugo il y avait de ça maintenant six ans ? Une inspiration dans l'air froid et aseptisé avant de traverser l'embrasure jointée.
Les rideaux dansaient faiblement au vent de la fenêtre entre-ouverte, une lumière douce réchauffait les draps qui cachaient la maigreur d'un homme allongé sur le lit. Un petit homme, le visage fatigué, les traits tirés, mais un regard doux sur toi, te tendant une main tremblante. Ta gorge se nouait, ton poing se serrait, tu avançais encore d'un pas vers lui, glissant ta main abîmée, par les combats et les bagarres, dans la sienne avec une douceur extrême qu'on ne te connaissait pas.
Une nouvelle inspiration, tu tirais une chaise et t'installais à côté du japonais, posant sur le lit un album photo lourd et imposant. La couverture orange rongée par le temps, les pages cornées, certaines menaçant de se détacher à tout instant. Tu n'avais jamais compris le principe de ce genre de choses, au contraire, tu pensais que ces albums n'étaient que des vestige de sentiments perdus et de nostalgie que tu t'interdisais.
Lentement, un air mélancolique se figeait sur son visage, les yeux baissés, un sourire presque éteint. Tu te crispais un peu en l'écoutant raconter l'histoire de chaque photo avec intérêt. Sur l'un d'elle, on te devinait à l'âge de cinq ou six ans, enfilant tes premiers gants de kick boxing. Tu observais la scène, tu avais oublié combien tu étais petit à cet âge. Des petites bandes de tissus bleu, des gants presque trop grands, tu affichais un rictus et un rire léger, imperceptible, les bras croisés sur ta poitrine, le dos vissé au dossier de la chaise.
Le japonais tournait les pages, une à une, s'attardant sur chaque photo, désignant les figurants de ces dernières avec application comme pour graver chacun de ces instants dans sa mémoire une dernière fois, jusqu'à s'arrêter sur une photo d'un format plus grand que les autres, unique sur sa page blanc cassé.
Une photo de tes deux pères, un sourire franc sur le visage et un bébé dans les bras au centre de l'image, toi. Cette photo transpirait l'amour et le bonheur, tellement que tu t'en sentais mal à l'aise, observant le regard du plus grand, blond, la carrure imposante, son index dans ta petite main, les yeux d'un bleu glacier posés fièrement sur toi. Le second homme ressemblait trait pour trait à celui qui était à côté de toi, les ravages du temps et d'un cancer rongeant son corps délicieusement en plus.
- Ugo ne m'a jamais plus regardé comme ça après cette photo, tu le sais ?
Tu soufflais avec neutralité avant de sentir le regard désapprobateur du vieil homme alité. Il te reprochait ce commentaire en t'assurant que ton père t'aimait malgré sa maladresse. Mais toi tu te souvenais surtout de ces fois où il avait crisé et jalousé ta simple présence dans la pièce alors qu'il avait simplement envie d'être éternellement seul avec celui qui s'occupait de toi. Possessif au possible, le blond te faisait souvent sentir que tu étais en trop, qu'il ne t'avait voulu qu'à moitié finalement. Tu grondais, s'il t'aimait tant pourquoi te rejetait-il sans cesse ? Tu avais vécu chaque grognement, chaque regard en coin, chaque réponse monosyllabique de cet homme comme une preuve de son désintérêt de ta petite personne.
Le japonais chassait cette idée d'un geste de la main et secouait la tête avant de tourner de nouveau les pages, vous remémorant les meilleurs moment de votre vie de famille, les compétitions que tu avais remportées, des sorties, les voyages, tout ce qui avait forgé l'homme que tu étais aujourd'hui.
Pages après pages, un nouveau visage faisait irruption sur les clichés. Un garçonnet brun, chétif. Pour autant que tes yeux reflétaient la colère et la rage, les siens n'étaient que douceur et apaisement. Deux petits gardés par un couple de loups. En voyant le portrait de ton petit frère, âgé de deux ans, tu t'étais rappelé brièvement de son arrivée dans vos vies bien rangées.
Ugo était irrité au possible, impatient ? Stressé ? En colère ? Du haut de tes neuf ans, il t'était impossible de faire la différence sur son visage. La brise fraîche de ce matin de Mars caressait ta joue, alors que tu tenais la main du japonais. Tu savais bien entendu ce que vous attendiez devant ce bâtiment impersonnel. Un enfant, un second. Tu te rappelais des conversations que tu avais eu avec les deux hommes, enfin, avec Hiroshi pendant que Ugo se contentait de bougonner dans son coin, enfoncé dans le canapé, les bras croisés. Étrangement, tu te surprenais souvent dans cette même position quand toi-même tu étais contrarié.
Il avait pris le temps de t'expliquer l'arrivée du petit garçon, qu'il faudrait que tu le protèges, que tu sois gentil, ça il fallait dire que tu l'avais pris au mot.
Tu te souvenais que le temps t'avait paru interminable avant de voir s'ouvrir les portes en verre et avoir observé l'enfant porté par une femme aux cheveux grisonnant, se rapprochant de vous, de plus en plus, faisant grandir ton angoisse de ne plus être le seul petit de la portée. Petit, les cheveux noirs, mince, mais à la fois rond, un peu comme un marshmallow. Vos regards s'étaient croisés. Un frisson, un pincement des lèvres, tu avais tiré la langue, t'attendant à des pleurs en réponse, mais rien qu'une grimace pour seul réplique. C'était lui. Kenta, désormais faisait partie de votre famille.
Depuis ce jour, tu t'étais vu le défendre contre vent et marée, te battant encore devant son école pour le protéger de ses camarades, lui reprochant sa faible constitution, son apparence douce et ses manières délicates, tout était sujet à la brimade, ce qui te rendait simplement fou. Personne ne bousculait ton petit frère, pas même toi.
Au fil des pages, tout un tas de souvenirs et d'événements marquant te revenaient en mémoire, comme s'ils n'attendaient qu'un stimuli pour refaire surface. Durant le festival de 2109, toi et Kenta aviez été pris dans une bousculade qui lui avait valu un bras fracturé d'avoir essayé de te séparer d'un imbécile qui avait sorti une vacherie dont tu n'avais par contre là, aucun souvenir. Tu avais souri en coin en te souvenant de votre passage aux urgences et chez les flics après ça, quand bien même Kenta avait plutôt mal vécu l'agression et en était ressorti passablement choqué, vous aviez été ramenés chez vous avant que tout ne dégénère et heureusement.
Si les événements des dernières années avaient épargné tes rares proches, entre le tsunami, les séismes, le fameux « system error » qui avait ébranlé le pays. Étrangement, tes parents étaient restés plus soudés que jamais, insinuant en toi l'idée que l'Incontestable avait au moins bien parié pour ces deux là, que peut être ça serait aussi le cas pour toi et ton frère ? Aussi avec l'épidémie qui s'en était suivi, vous aviez eu une chance folle. Quand bien même tu avais été malade à cause du bug des puces, à peine plus que quelques maux de tête et saignements de nez.
Tu avais passé une main nerveuse sur ta nuque, vous aviez dû subir un repuçage, comme des animaux suite à cet événement, tu te surprenais à te demander si finalement elles n'étaient pas encore défaillantes, si elles ne pouvaient pas causer d'autres dommages, comme des cancers, son cancer.
A un moment Ugo ne figurait plus sur les photos de l'album. Les explosions du Big bang Kiss avaient été responsables de son admission aux urgences de ce même hôpital et plus tard de votre passage, à toi et ton second père, au crématorium pour un ultime adieu.
Retenant un reniflement, le brun, presque imberbe à cause des longues chimiothérapies, avait fermé l'album à présent terminé. Posant une main douce dessus, comme un objet des plus précieux avant de te regarder de nouveau et te demander de ne pas en vouloir à Ugo, qu'il avait toujours été fier de toi, de ta carrière, ton talent pour le kick-boxing. Tu ne pouvais que le croire sur parole.
Le retour à la réalité fût éprouvant, douloureux au possible. Le décès de Hiroshi prononcé quelques semaines après ce flot de souvenirs partagés, tu ne pouvais que te dire qu'il avait rejoint l'homme qui l'avait attendu bien trop longtemps.
Plongé dans la paperasse qu'engendrait un décès, tu te voyais revenir dans ce grand bureau qu'occupait avant Ugo, tu revoyais clairement son air renfrogné, penché sur des papiers alors que tu venais lui réclamer cette attention qu'il ne t'offrait que rarement. Chassant ce mirage de tes pensées, tu devais vider la maison que partageaient tes pères. Les déménageurs avaient entrepris de vider les meubles déjà prêts, leur contenu sous cartons, te laissant le loisirs de gérer la paperasse au calme.
Une odeur de tabac froid planait encore, comme imprégnée dans les coussins en tissu du canapé, comme s'il venait tout juste d'écraser le cigare qu'il se fumait en fin de soirée après une bonne journée, c'était uniquement dans ces moments-là que la porte de ce bureau restait ouverte et qu'il tolérait ta présence en ces lieux.
Tu allais et venais, cartons en main, entre le bureau et le camion de déménagement. Classant avec humeur les dossiers, professionnel, personnel, tu soupirais bruyamment en lisant chaque papier avec attention pour ne pas en jeter par inadvertance. Allant du document banal, griffonné sur un coin de bureau, passant par des vieux journaux datant de l'an passé, avec leur gros titres sur les élections du premier ministre, au contrat de vente appartenant à la société automobile de Ugo. Tous les documents concernant cette entreprise, tu ne savais pas quoi en faire, tu avais bien hérité de part dans l'entreprise, au même titre que ton petit frère, mais d'aucun rôle dans sa gestion et ça te convenait parfaitement, tu n'étais pas un intellectuel après tout, le cerveau c'était Kenta, pas toi. Tu ne faisais que les reléguer à de nouveaux cartons, bien rangés dans le garde meuble.
Documents après documents, tu finissais par trouver un classeur portant ton nom, épais, lourd, presque autant que l'album photo d'Hiroshi. Avec une certaine surprise tu y découvrais toute sorte de documents te concernant, allant du bulletin scolaire de maternelle, passant par des rapports médicaux de tes rares passages chez un médecin ou à l’hôpital, jusqu'aux articles de presse sur ta carrière de boxeur professionnel. Tu n'aurais jamais pensé qu'il puisse garder une telle mine d'information sur toi, comme te suivant indirectement, de loin, très loin.
Un grognement, une colère qui montait, tu abandonnais pour aujourd'hui, ne comprenant pas le comportement de Ugo, tu te sentais monter dans une rage folle de ne pas avoir de réponse, la veine palpitante sur ta tempe, le poing tremblant, tu balayais d'un mouvement brutal tout ce qui se trouvait sur le bureau en bois sombre en un grand fracas sur le sol et contre le mur, brisant lampe, bibelot, faisant voler les dossiers en un amas de feuilles volantes. Haletant, le regard fou, il n'était pas utile pour toi de rester plus encore ici. L'air de cette maison t'étouffait, t’oppressait, tu y avais trop de souvenir, trop de colère refoulée, trop de questions désormais interdites de réponses, tu voulais quitter les lieux pour ne plus jamais y retourner, donnant tes ordres aux déménageurs : tout mettre sous cartons, puis en garde meuble. Solution facile, tu cachais tout ça dans un coin, comme tu le faisais pour beaucoup de choses.
Des pas rapides, un halètement rapide et une main qui se glissait dans la tienne et autour de ton bras. Comme un sucre dans un café trop fort, un nuage de lait dans un thé trop infusé, ta mâchoire se détendait lorsque la voix de ton cadet résonnait contre tes tympans. Te sommant de te calmer, que tout irait bien, que tu n'étais pas seul. Figé au centre des cadavres de bibelots et de papiers, tu reniflais et reculais d'un pas. Tranchant.
Ken', on se casse.
Les rideaux dansaient faiblement au vent de la fenêtre entre-ouverte, une lumière douce réchauffait les draps qui cachaient la maigreur d'un homme allongé sur le lit. Un petit homme, le visage fatigué, les traits tirés, mais un regard doux sur toi, te tendant une main tremblante. Ta gorge se nouait, ton poing se serrait, tu avançais encore d'un pas vers lui, glissant ta main abîmée, par les combats et les bagarres, dans la sienne avec une douceur extrême qu'on ne te connaissait pas.
Une nouvelle inspiration, tu tirais une chaise et t'installais à côté du japonais, posant sur le lit un album photo lourd et imposant. La couverture orange rongée par le temps, les pages cornées, certaines menaçant de se détacher à tout instant. Tu n'avais jamais compris le principe de ce genre de choses, au contraire, tu pensais que ces albums n'étaient que des vestige de sentiments perdus et de nostalgie que tu t'interdisais.
Lentement, un air mélancolique se figeait sur son visage, les yeux baissés, un sourire presque éteint. Tu te crispais un peu en l'écoutant raconter l'histoire de chaque photo avec intérêt. Sur l'un d'elle, on te devinait à l'âge de cinq ou six ans, enfilant tes premiers gants de kick boxing. Tu observais la scène, tu avais oublié combien tu étais petit à cet âge. Des petites bandes de tissus bleu, des gants presque trop grands, tu affichais un rictus et un rire léger, imperceptible, les bras croisés sur ta poitrine, le dos vissé au dossier de la chaise.
Le japonais tournait les pages, une à une, s'attardant sur chaque photo, désignant les figurants de ces dernières avec application comme pour graver chacun de ces instants dans sa mémoire une dernière fois, jusqu'à s'arrêter sur une photo d'un format plus grand que les autres, unique sur sa page blanc cassé.
Une photo de tes deux pères, un sourire franc sur le visage et un bébé dans les bras au centre de l'image, toi. Cette photo transpirait l'amour et le bonheur, tellement que tu t'en sentais mal à l'aise, observant le regard du plus grand, blond, la carrure imposante, son index dans ta petite main, les yeux d'un bleu glacier posés fièrement sur toi. Le second homme ressemblait trait pour trait à celui qui était à côté de toi, les ravages du temps et d'un cancer rongeant son corps délicieusement en plus.
- Ugo ne m'a jamais plus regardé comme ça après cette photo, tu le sais ?
Tu soufflais avec neutralité avant de sentir le regard désapprobateur du vieil homme alité. Il te reprochait ce commentaire en t'assurant que ton père t'aimait malgré sa maladresse. Mais toi tu te souvenais surtout de ces fois où il avait crisé et jalousé ta simple présence dans la pièce alors qu'il avait simplement envie d'être éternellement seul avec celui qui s'occupait de toi. Possessif au possible, le blond te faisait souvent sentir que tu étais en trop, qu'il ne t'avait voulu qu'à moitié finalement. Tu grondais, s'il t'aimait tant pourquoi te rejetait-il sans cesse ? Tu avais vécu chaque grognement, chaque regard en coin, chaque réponse monosyllabique de cet homme comme une preuve de son désintérêt de ta petite personne.
Le japonais chassait cette idée d'un geste de la main et secouait la tête avant de tourner de nouveau les pages, vous remémorant les meilleurs moment de votre vie de famille, les compétitions que tu avais remportées, des sorties, les voyages, tout ce qui avait forgé l'homme que tu étais aujourd'hui.
Pages après pages, un nouveau visage faisait irruption sur les clichés. Un garçonnet brun, chétif. Pour autant que tes yeux reflétaient la colère et la rage, les siens n'étaient que douceur et apaisement. Deux petits gardés par un couple de loups. En voyant le portrait de ton petit frère, âgé de deux ans, tu t'étais rappelé brièvement de son arrivée dans vos vies bien rangées.
Ugo était irrité au possible, impatient ? Stressé ? En colère ? Du haut de tes neuf ans, il t'était impossible de faire la différence sur son visage. La brise fraîche de ce matin de Mars caressait ta joue, alors que tu tenais la main du japonais. Tu savais bien entendu ce que vous attendiez devant ce bâtiment impersonnel. Un enfant, un second. Tu te rappelais des conversations que tu avais eu avec les deux hommes, enfin, avec Hiroshi pendant que Ugo se contentait de bougonner dans son coin, enfoncé dans le canapé, les bras croisés. Étrangement, tu te surprenais souvent dans cette même position quand toi-même tu étais contrarié.
Il avait pris le temps de t'expliquer l'arrivée du petit garçon, qu'il faudrait que tu le protèges, que tu sois gentil, ça il fallait dire que tu l'avais pris au mot.
Tu te souvenais que le temps t'avait paru interminable avant de voir s'ouvrir les portes en verre et avoir observé l'enfant porté par une femme aux cheveux grisonnant, se rapprochant de vous, de plus en plus, faisant grandir ton angoisse de ne plus être le seul petit de la portée. Petit, les cheveux noirs, mince, mais à la fois rond, un peu comme un marshmallow. Vos regards s'étaient croisés. Un frisson, un pincement des lèvres, tu avais tiré la langue, t'attendant à des pleurs en réponse, mais rien qu'une grimace pour seul réplique. C'était lui. Kenta, désormais faisait partie de votre famille.
Depuis ce jour, tu t'étais vu le défendre contre vent et marée, te battant encore devant son école pour le protéger de ses camarades, lui reprochant sa faible constitution, son apparence douce et ses manières délicates, tout était sujet à la brimade, ce qui te rendait simplement fou. Personne ne bousculait ton petit frère, pas même toi.
Au fil des pages, tout un tas de souvenirs et d'événements marquant te revenaient en mémoire, comme s'ils n'attendaient qu'un stimuli pour refaire surface. Durant le festival de 2109, toi et Kenta aviez été pris dans une bousculade qui lui avait valu un bras fracturé d'avoir essayé de te séparer d'un imbécile qui avait sorti une vacherie dont tu n'avais par contre là, aucun souvenir. Tu avais souri en coin en te souvenant de votre passage aux urgences et chez les flics après ça, quand bien même Kenta avait plutôt mal vécu l'agression et en était ressorti passablement choqué, vous aviez été ramenés chez vous avant que tout ne dégénère et heureusement.
Si les événements des dernières années avaient épargné tes rares proches, entre le tsunami, les séismes, le fameux « system error » qui avait ébranlé le pays. Étrangement, tes parents étaient restés plus soudés que jamais, insinuant en toi l'idée que l'Incontestable avait au moins bien parié pour ces deux là, que peut être ça serait aussi le cas pour toi et ton frère ? Aussi avec l'épidémie qui s'en était suivi, vous aviez eu une chance folle. Quand bien même tu avais été malade à cause du bug des puces, à peine plus que quelques maux de tête et saignements de nez.
Tu avais passé une main nerveuse sur ta nuque, vous aviez dû subir un repuçage, comme des animaux suite à cet événement, tu te surprenais à te demander si finalement elles n'étaient pas encore défaillantes, si elles ne pouvaient pas causer d'autres dommages, comme des cancers, son cancer.
A un moment Ugo ne figurait plus sur les photos de l'album. Les explosions du Big bang Kiss avaient été responsables de son admission aux urgences de ce même hôpital et plus tard de votre passage, à toi et ton second père, au crématorium pour un ultime adieu.
Retenant un reniflement, le brun, presque imberbe à cause des longues chimiothérapies, avait fermé l'album à présent terminé. Posant une main douce dessus, comme un objet des plus précieux avant de te regarder de nouveau et te demander de ne pas en vouloir à Ugo, qu'il avait toujours été fier de toi, de ta carrière, ton talent pour le kick-boxing. Tu ne pouvais que le croire sur parole.
Le retour à la réalité fût éprouvant, douloureux au possible. Le décès de Hiroshi prononcé quelques semaines après ce flot de souvenirs partagés, tu ne pouvais que te dire qu'il avait rejoint l'homme qui l'avait attendu bien trop longtemps.
Plongé dans la paperasse qu'engendrait un décès, tu te voyais revenir dans ce grand bureau qu'occupait avant Ugo, tu revoyais clairement son air renfrogné, penché sur des papiers alors que tu venais lui réclamer cette attention qu'il ne t'offrait que rarement. Chassant ce mirage de tes pensées, tu devais vider la maison que partageaient tes pères. Les déménageurs avaient entrepris de vider les meubles déjà prêts, leur contenu sous cartons, te laissant le loisirs de gérer la paperasse au calme.
Une odeur de tabac froid planait encore, comme imprégnée dans les coussins en tissu du canapé, comme s'il venait tout juste d'écraser le cigare qu'il se fumait en fin de soirée après une bonne journée, c'était uniquement dans ces moments-là que la porte de ce bureau restait ouverte et qu'il tolérait ta présence en ces lieux.
Tu allais et venais, cartons en main, entre le bureau et le camion de déménagement. Classant avec humeur les dossiers, professionnel, personnel, tu soupirais bruyamment en lisant chaque papier avec attention pour ne pas en jeter par inadvertance. Allant du document banal, griffonné sur un coin de bureau, passant par des vieux journaux datant de l'an passé, avec leur gros titres sur les élections du premier ministre, au contrat de vente appartenant à la société automobile de Ugo. Tous les documents concernant cette entreprise, tu ne savais pas quoi en faire, tu avais bien hérité de part dans l'entreprise, au même titre que ton petit frère, mais d'aucun rôle dans sa gestion et ça te convenait parfaitement, tu n'étais pas un intellectuel après tout, le cerveau c'était Kenta, pas toi. Tu ne faisais que les reléguer à de nouveaux cartons, bien rangés dans le garde meuble.
Documents après documents, tu finissais par trouver un classeur portant ton nom, épais, lourd, presque autant que l'album photo d'Hiroshi. Avec une certaine surprise tu y découvrais toute sorte de documents te concernant, allant du bulletin scolaire de maternelle, passant par des rapports médicaux de tes rares passages chez un médecin ou à l’hôpital, jusqu'aux articles de presse sur ta carrière de boxeur professionnel. Tu n'aurais jamais pensé qu'il puisse garder une telle mine d'information sur toi, comme te suivant indirectement, de loin, très loin.
Un grognement, une colère qui montait, tu abandonnais pour aujourd'hui, ne comprenant pas le comportement de Ugo, tu te sentais monter dans une rage folle de ne pas avoir de réponse, la veine palpitante sur ta tempe, le poing tremblant, tu balayais d'un mouvement brutal tout ce qui se trouvait sur le bureau en bois sombre en un grand fracas sur le sol et contre le mur, brisant lampe, bibelot, faisant voler les dossiers en un amas de feuilles volantes. Haletant, le regard fou, il n'était pas utile pour toi de rester plus encore ici. L'air de cette maison t'étouffait, t’oppressait, tu y avais trop de souvenir, trop de colère refoulée, trop de questions désormais interdites de réponses, tu voulais quitter les lieux pour ne plus jamais y retourner, donnant tes ordres aux déménageurs : tout mettre sous cartons, puis en garde meuble. Solution facile, tu cachais tout ça dans un coin, comme tu le faisais pour beaucoup de choses.
Des pas rapides, un halètement rapide et une main qui se glissait dans la tienne et autour de ton bras. Comme un sucre dans un café trop fort, un nuage de lait dans un thé trop infusé, ta mâchoire se détendait lorsque la voix de ton cadet résonnait contre tes tympans. Te sommant de te calmer, que tout irait bien, que tu n'étais pas seul. Figé au centre des cadavres de bibelots et de papiers, tu reniflais et reculais d'un pas. Tranchant.
Ken', on se casse.
Caractère
Colérique - Shogen a le sang chaud, c'est le cas de le dire. Un mot de travers suffit à le faire partir dans une colère plus ou moins contrôlée, encore plus s'il s'agit de propos homophobes au vue de son enfance avec deux pères. Un bagarreur assumé, il ne se retient réellement de cogner uniquement pour sa réputation de boxeur professionnel, bien qu'il n'ait aucun réel problème avec la violence tant verbale que physique.
Franc - Il ne mâche pas ses mots. Selon lui, prendre des pincettes n'est qu'une perte de temps, que ça soit en positif ou négatif, lorsqu'il faut dire quelque chose, autant le faire de but en blanc, comme un sparadrap retiré d'un coup sec. Il n'a pas pour habitude d'être délicat, qu'importe qui se tiendrait devant lui, faisant sans doute de lui un parfait goujat.
Peu empathique - On pourrait penser que le boxeur est un mur, ne montrant que peu d'expression bien distinct, un rictus, un rire gras tout au plus, une veine sur la tempe, un regard expressif sont ses seuls moyen de communiquer son état d'esprit. Il est relativement rare qu'il montre ses sentiments et surtout qu'il les assume. Un grand enfant capricieux, il estime que c'est une faiblesse de sa part d'être trop émotif.
Sommeil décalé - D'apparence, Shogen donne l'impression de dormir énormément, mais il n'en est rien, il affectionne le peu de sommeil qu'il parvient à accumuler. Faute d'insomnies chroniques dû au stress emmagasiné, il ne parvient à s'endormir que tard le soir après des séances de musculation intenses, adorant cette libération d'endorphine qui lui promettent un sommeil lourd. Aussi s'endort-il souvent dans les transports, comme s'il était bercé par le mouvement.
Acharné - Ne jamais abandonner. Il avait vite intégré ce concept avec la pratique du kick-boxing. L'adaptant dans sa vie personnelle et dans ses relations, comme un taureau brutalisant un mannequin de chiffon avec colère, il n'est pas rare de le voir aller toujours au bout de ses idées, aussi mauvaises soient-elles, parfois... souvent.
Têtu - "Un bon boxeur, avec peu de cervelle", c'est clairement ce qu'on se dirait lorsque le jeune homme se met à ne plus vouloir écouter et camper sur ses positions. Shogen ne s'excuse que rarement, il ne pense pas souvent avoir tort et lorsque c'est réellement le cas, il n'ose pas l'avouer, préférant nettement bouder dans son coin et faire un bon caprice plutôt que d'admettre sa faute. Le faire sortir de ce schéma n'est pas chose aisée.
Honnête - Le brun n'est pas un manipulateur malgré tous ses défauts. Il ne supporte pas qu'on lui donne des ordres, qu'on le juge trop idiot pour penser de lui même et pense qu'il ne faut pas faire aux autres ce qu'on ne voudrait pas qu'on nous fasse. Bien que sur certains points il s'agisse d'un "fait ce que je dis, pas ce que je fais", il n'en reste pas moins quelqu'un de sincère et droit dans ses chaussures.
Impatient - nerveux de nature, il supporte mal l'attente, tant des fêtes telles que Noël, qu'il affectionne particulièrement, que des urgences. attendre l'agace profondément et peut provoquer chez lui des épisodes de petites colères injustifiées. Battant souvent de la jambe lorsqu'il est assis, craquant ses phalanges avec nervosité, il ne tient pas en place et tourne souvent en rond comme un animal en cage lorsqu'il doit attendre, avant de monter sur le ring notamment.
Dragueur - Son sourire en coin, son regard de tombeur, Shogen sait qu'il plait, que son coté bad boy attire. Il ne s'en cache pas et en joue souvent pour détourner l'attention ou pour se distraire.
Romantique dans l'âme - Shogen n'est pas très démonstratif, mais ça ne veut pas dire qu'il n'écoute pas quand on lui parle. Privilégiant les attentions discrètes, il ne dira surement pas ce qu'il pense mais le montrera avec beaucoup d'implication, mais attention, c'est à double tranchant, car si ses efforts se montrent non reconnus, il fera tout le contraire et ne fera sans doute exprès de bien le montrer.
Franc - Il ne mâche pas ses mots. Selon lui, prendre des pincettes n'est qu'une perte de temps, que ça soit en positif ou négatif, lorsqu'il faut dire quelque chose, autant le faire de but en blanc, comme un sparadrap retiré d'un coup sec. Il n'a pas pour habitude d'être délicat, qu'importe qui se tiendrait devant lui, faisant sans doute de lui un parfait goujat.
Peu empathique - On pourrait penser que le boxeur est un mur, ne montrant que peu d'expression bien distinct, un rictus, un rire gras tout au plus, une veine sur la tempe, un regard expressif sont ses seuls moyen de communiquer son état d'esprit. Il est relativement rare qu'il montre ses sentiments et surtout qu'il les assume. Un grand enfant capricieux, il estime que c'est une faiblesse de sa part d'être trop émotif.
Sommeil décalé - D'apparence, Shogen donne l'impression de dormir énormément, mais il n'en est rien, il affectionne le peu de sommeil qu'il parvient à accumuler. Faute d'insomnies chroniques dû au stress emmagasiné, il ne parvient à s'endormir que tard le soir après des séances de musculation intenses, adorant cette libération d'endorphine qui lui promettent un sommeil lourd. Aussi s'endort-il souvent dans les transports, comme s'il était bercé par le mouvement.
Acharné - Ne jamais abandonner. Il avait vite intégré ce concept avec la pratique du kick-boxing. L'adaptant dans sa vie personnelle et dans ses relations, comme un taureau brutalisant un mannequin de chiffon avec colère, il n'est pas rare de le voir aller toujours au bout de ses idées, aussi mauvaises soient-elles, parfois... souvent.
Têtu - "Un bon boxeur, avec peu de cervelle", c'est clairement ce qu'on se dirait lorsque le jeune homme se met à ne plus vouloir écouter et camper sur ses positions. Shogen ne s'excuse que rarement, il ne pense pas souvent avoir tort et lorsque c'est réellement le cas, il n'ose pas l'avouer, préférant nettement bouder dans son coin et faire un bon caprice plutôt que d'admettre sa faute. Le faire sortir de ce schéma n'est pas chose aisée.
Honnête - Le brun n'est pas un manipulateur malgré tous ses défauts. Il ne supporte pas qu'on lui donne des ordres, qu'on le juge trop idiot pour penser de lui même et pense qu'il ne faut pas faire aux autres ce qu'on ne voudrait pas qu'on nous fasse. Bien que sur certains points il s'agisse d'un "fait ce que je dis, pas ce que je fais", il n'en reste pas moins quelqu'un de sincère et droit dans ses chaussures.
Impatient - nerveux de nature, il supporte mal l'attente, tant des fêtes telles que Noël, qu'il affectionne particulièrement, que des urgences. attendre l'agace profondément et peut provoquer chez lui des épisodes de petites colères injustifiées. Battant souvent de la jambe lorsqu'il est assis, craquant ses phalanges avec nervosité, il ne tient pas en place et tourne souvent en rond comme un animal en cage lorsqu'il doit attendre, avant de monter sur le ring notamment.
Dragueur - Son sourire en coin, son regard de tombeur, Shogen sait qu'il plait, que son coté bad boy attire. Il ne s'en cache pas et en joue souvent pour détourner l'attention ou pour se distraire.
Romantique dans l'âme - Shogen n'est pas très démonstratif, mais ça ne veut pas dire qu'il n'écoute pas quand on lui parle. Privilégiant les attentions discrètes, il ne dira surement pas ce qu'il pense mais le montrera avec beaucoup d'implication, mais attention, c'est à double tranchant, car si ses efforts se montrent non reconnus, il fera tout le contraire et ne fera sans doute exprès de bien le montrer.
Physique
Un bon gros tas de muscles. Voilà ce qu'est Shogen. Un mètre quatre-vingt-deux pour quatre-vingt-douze kilos à la pesée. Le dos droit, la carcasse solide et bien bâtie, il suffit de le regarder pour constater son parcours sportif.
Possédant une mâchoire carrée qu'il serre souvent, par contrariété, par habitude, bref, souvent et un nez plus ou moins droit, cassé quelques fois il faut dire, Shogen ne semble pas être très avenant au premier abord, quoiqu'au second non plus. Un regard profond et expressif à travers deux billes noisettes, il donne surtout l'impression de dévisager les gens avec froideur.
Souvent d'une expression lasse et désintéressée, si la nonchalance devait être personnifiée, ça serait sans doute lui. Il arbore néanmoins une posture droite, fière et imposante lorsqu'il marche ou monte sur un ring, comme un ours imposant, cherchant à se gonfler et garder cette impression d'être toujours le plus imposant.
Les mains abîmées d'avoir cogné trop souvent sans protections sur ce qu'il ne faut pas, allant du mur aux vitres en passant par des mâchoires, il a l'allure d'un bagarreur de rue avec son sourire tordu et sa cicatrice sur la pommette gauche. Pour autant, lorsqu'il est de bonne humeur, il a un sourire franc et communicatif et a presque l'air sympathique.
Ne quittant que rarement son jogging et son sweat, il lui arrive parfois de s'habiller "normalement", troquant son costume de sportif pantouflard avec des t-shirts plus ou moins près du corps et des jeans classiques. Il a une collection de baskets impressionnante et étonnamment il les met réellement toutes !
Possédant une mâchoire carrée qu'il serre souvent, par contrariété, par habitude, bref, souvent et un nez plus ou moins droit, cassé quelques fois il faut dire, Shogen ne semble pas être très avenant au premier abord, quoiqu'au second non plus. Un regard profond et expressif à travers deux billes noisettes, il donne surtout l'impression de dévisager les gens avec froideur.
Souvent d'une expression lasse et désintéressée, si la nonchalance devait être personnifiée, ça serait sans doute lui. Il arbore néanmoins une posture droite, fière et imposante lorsqu'il marche ou monte sur un ring, comme un ours imposant, cherchant à se gonfler et garder cette impression d'être toujours le plus imposant.
Les mains abîmées d'avoir cogné trop souvent sans protections sur ce qu'il ne faut pas, allant du mur aux vitres en passant par des mâchoires, il a l'allure d'un bagarreur de rue avec son sourire tordu et sa cicatrice sur la pommette gauche. Pour autant, lorsqu'il est de bonne humeur, il a un sourire franc et communicatif et a presque l'air sympathique.
Ne quittant que rarement son jogging et son sweat, il lui arrive parfois de s'habiller "normalement", troquant son costume de sportif pantouflard avec des t-shirts plus ou moins près du corps et des jeans classiques. Il a une collection de baskets impressionnante et étonnamment il les met réellement toutes !
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Personnage tiré d'un manga/anime/jeu-vidéo/série
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<div class="infobulle1">• [b]Tera[/b] {The boy and the wolf} [i]est[/i] [url=https://just-married.variousforum.com/u3707]Shogen Sunan Matarese[/url]<span><img src="https://i.ibb.co/fFH6cVF/shogen.png"></span></div>
Shogen S. Matarese
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Kazuma Tetsuya
Rebienvenue, voyons voir ce que ce beau jeune homme nous propose
Kazuma Tetsuya
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Autre: Merci à Adel pour l'avatar ♥
Atsushi Nao-Wang
Rebienvenuuue, bon courage pour la redac
Atsushi Nao-Wang
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Setsuka Hamasaki
Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche !
Elle est où mon offrande pour que j'te tape pas ?
Setsuka Hamasaki
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Je suis: neutre.
Époux/se : NaoNao ! ♡
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Jun Tsuyu
Très bg ! ^^ Bienvenue à cette nouvelle bouille !
Amuse-toi bien avec ton DC.
Amuse-toi bien avec ton DC.
Jun Tsuyu
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Mascotte de l'Incontestable
Avoir été marié pendant 2 ans
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Shogen S. Matarese
Merci à tous
Shogen S. Matarese
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Ji Kusaka
Modération de fiche
Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum !
Introduction
Bonne nouvelle tête, Shogen!
C’est bête, on en aurait parlé plus tôt on aurait pu en faire un demi-frère de Tora XD Next time!
Histoire
“Durant le festival de 2109”
=>Tu fais référence à Ansuburu? Si oui, les enfants n’ont pas été choqués par l’intervention musclés des autorités?
“Si les événements des dernières années avaient épargné tes rares proches, entre le tsunami, les séismes, l'épidémie qui s'en était suivi, vous aviez eu une chance folle. Quand bien même tu avais été malade à cause du bug des puces, à peine plus que quelques maux de tête et saignement de nez.”
=> Mentionnés ainsi à la suite, l’impression est que l’épidémie est liée à Shukumei... Le System Error n’est pas mentionné de même que les élections. J’imagine que pour le bug des puces tu fais référence à Soosaku, mais il serait bon d’évoquer le repuçage.
=> Il n’y a aucune mention de l’Incontestable ni de l’avis de Shogen...
Orthographe:
les bras croisé
désignant les figurant
les yeux d'un bleu glacier posé
les portes en verres
t'attendant à des pleures
tout un tas de souvenirs et d'événements marquant te revenait en mémoire, comme s'ils n'attendaient => Singulier ou pluriel pour les deux
toi et Kenta avaient été pris
quelques maux de tête et saignement de nez
après ce flots
les coussins en tissus du canapé
bulletin scolaire de maternel
Caractère
=> La section “gros dormeur” se contredit un peu elle-même.
Orthographe:
sa vie personnel et dans ses relation
i n'en reste pas moins
tant des fêtes telle que
de petites colère injustifiés
c'est a double tranchant
se montrent non reconnu
Physique
Orthographe:
quatre-vingt-douze kilo
son parcourt sportif
Conclusion
Quelques points de chronologie et de background du forum à reprendre, ainsi que quelques fautes à corriger ! Attention également aux virgules qui devraient être des points! Sinon, c'est un personnage sympathique que tu nous présentes ^^
Au plaisir de croiser Shogen au dojo un jour, qui sait!
Tu sais où me trouver en cas de besoin!
Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Analyse : 1/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.
[Edit] Une erreur de ma part sur un calcul de dates!
Ji Kusaka
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Ji Kusaka
C'est tout bon pour moi! Amuse toi bien!
Pré-validation par Ko'
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
Ji Kusaka
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Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Kiyohi Nanase, toujours et à jamais ♥
Autre:
Makoto Nanase
Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• De réserver votre avatar ; Réservation avatars si le code n'a pas été ajouté à la fin de votre fiche
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits
- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit :
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
- Le plus beau compliment :
- Merci Oz :
Makoto Nanase
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Artiste
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Amateur d'épices
A fait 10 fast'actions
Fanfic.fr
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Célibataire endurci
Etre resté célibataire pendant un an d'affilé
Mascotte de l'Incontestable
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Perfect match
Avoir été marié pendant 3 ans
Anti-système
Avoir commencé un mariage au centre de redressement