— Just Married —
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14/01/2023
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Je suis: neutre.
Époux/se : Célibataire.
Autre: Remerciements, big up, infos à savoir ?
Orion A. Himawari
Orion A. Hearst
"Tu serais pas une soupe, toi ? Parce que t'es carrément miso."
Généralités Nom ;; Hearst. Prénoms ;; Orion, Arcane. Âge ;; 28 ans, 7 septembre 2085. Genre ;; Masculin. Origines ;; Américain, naturalisé japonais. Activité ;; Directeur de la branche de presse à scandale Japonaise de son père. Sexualité ;; Il couche avec les femmes, mais aime les hommes. Avatar ;; Emet Selch - Final Fantasy XIV. Règlement ;; Validé - Michi Chemin ;; Alors... ça ne me rajeunit pas. Commentaire ;; Des bisous |
Histoire
J’aurais aimé vous conter une histoire d’amour, comme dans les contes de fées. Un récit qui débute par une rencontre, un coup de foudre instantané, un mariage dans la foulée, ils eurent plein d’enfants et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps.
Malheureusement, ce n’est pas le genre d’histoire auquel vous aurez le droit, aujourd’hui.
Je vais vous parler d’une histoire de désir, d’avidité, de recherche de pouvoir… au dépend des autres. L’histoire de victimes, devenues bourreaux. D’agneaux voulant se faire loups et de loups… devenant agneaux.
L’histoire d’Orion A. Hearst.
Celle-ci commence en l’an 2084. Elle était jeune, elle était belle. Splendide, même. Du genre à faire tourner les têtes d’un battement de cils. Du genre hors de portée du commun des mortels, également. Mais derrière ses yeux de biche se cachait une veuve noire, femme fatale, calculatrice. Elle savait ce qu’elle voulait. Et elle savait comment y parvenir.
Elle s’appelait Faith Daisy Mila Smith. Née d’une famille très modeste, et élevée à la magie d’Hollywood, des peoples vivant de le luxe et l’aisance, elle s’était promis de transcender son statut social pour s’élever vers les hauteurs. Enfant, déjà, son plan était établi. Clair, net, précis : épouser un homme riche, lui faire un ou des enfants, le faire disparaître, rafler l’héritage.
En grandissant, elle prit en beauté. Et en plomb dans la cervelle aussi. À enchainer les petits boulots de serveuse, pour pouvoir aider ses parents à payer les dettes de ses études. Mais elle refusait de passer sa vie à trimer comme une chienne pour quelques miettes. Elle estimait mériter mieux. Elle a aussi appris les subtilités de la vie. Et que faire disparaître quelqu’un n’était pas si aisé. Sans compter que si c’était pour finir sa vie en prison, alors cela n’avait aucun intérêt. Non. Le mieux était…
D’épouser un homme riche, lui faire un enfant. Et s’il n’est pas trop pénible, attendre.
Les premières données restent les mêmes. Seule la fin changera. Et changera encore.
Elle travaillait en tant que vendeuse dans une boutique de luxe. Principalement embauchée, de base, grâce à son physique plus que charmant et ensuite car elle étudiait le commerce et la vente. Elle avait choisi ce poste. De son plein gré. Malgré des horaires dites de merde et un salaire clairement pas à la hauteur des efforts fournis – ni du chiffre d’affaires de la marque que l’on ne citera pas. Mais de son plein gré, elle y travaillait. Pourquoi ? Justement pour ce qui suivi.
Beauté qu’on estimait facile puisque de classe inférieure (et que l’argent peut tout acheter, bien évidemment, c’est connu), elle fut courtisée, désirée, invitée dans des endroits qu’elle n’aurait jamais pu se payer d’elle-même. Jusqu’à être introduite aux soirées mondaines par celui qui se pensait être son « petit ami » mais qu’elle ne faisait qu’utiliser pour avoir accès à de plus gros poissons. Le loup était introduit dans la bergerie. C’est ce qu’elle pensait.
C’est ainsi, à force de présence en soirées mondaines, qu’elle le rencontrera.
Il s’appelle Evan Jonah Hearst.
Lui, est réellement tombé sous son charme, à leur première rencontre. Il a très vite effacé ce prétendantà la fortune insignifiante aux yeux de Faith pour devenir son courtisan… qu’elle se dépêcha de manipuler pour qu’il la demande en mariage, officialisant pour lui, son amour à son égard et pour elle… son nom sur sa carte bleue.
Evan se moquait bien des origines modestes de celle qui était désormais sa femme. Lui, il l’aimait. D’un amour sincère. D’un amour tendre. Quand elle ne voyait en lui qu’un compte en banque bien rempli. En effet, Evan était – et est toujours – à la tête d’un empire médiatique – la presse à sensation, ça vaut des millions (c’est pour la rime, haha) – héritée de ses parents, qui en ont, eux-mêmes, hérités, qui en ont… vous avez compris. Mais en prime, il a pris la décision de suivre l’instinct de son père en plus d’y ajouter son courage pour investir dans l’immobilier et dans les crypto-monnaies, le propulsant ainsi au minimum dans le top 100 des hommes les plus riches du pays. Un bon poisson, pour Faith.
Faith, dont le ventre a commencé à s’arrondir, bien rapidement.
L’enfant n’était pas désiré, à l’origine. Pas par elle, en tout cas. Lui, en revanche, était heureux. Cela allait peut-être un peu vite. Mais il était sincère. Et elle… était sincèrement en train de calculer ses prochains coups.
Septembre 1085, naissance du petit David Simon Hearts. Notre protagoniste. Vous noterez que je viens de vous citer un nom différent de celui que vous connaissez. Vous comprendrez bien plus tard pourquoi.
Ce n’était pas un bébé invivable. Il faisait ses nuits. Pleurait uniquement pour son biberon ou sa couche. Mais Faith n’était pas prête à être mère. Et Evan qui travaillait jour et nuit, souvent en déplacement, souvent absent… Lorsqu’il rentrait, c’était pour faire des reproches à Faith. Qu’elle dépensait trop pour des choses futiles. Qu’elle ne s’occupait pas de son fils – la nourrice, oui. Qu’elle voyait trop d’hommes dans son dos – la jalousie, quelle chose horriblement moche… surtout qu’en plus, elle vous dira qu’elle n'a jamais couché avec ces types. Ils n’étaient, d’après elle, que des « amis ». Evan, lui, vous dira qu’eux, ils auraient bien eu envie de conclure.
Faith le supportait de moins en moins. Sans compter qu’il avait fini par restreindre sa carte bancaire, limitant drastiquement ses dépenses.
La passion des débuts, de la part d’Evan, était déjà en train de s’effriter alors que le véritable visage de Faith se montrait, provoquant le côté moins agréable d’Evan. Bien rapidement, on se mit à parler de divorce. Puis à engager des avocats pour entamer les procédures.
À l’issue d’une lutte acharnée des deux partis… La garde du petit David fut confiée à sa mère. Basé sur le fait qu’elle soit la mère, pour commencer. Et que le père n’était jamais présent. Elle a joué aux mères éplorées… tout ça car elle avait déjà calculé son coup suivant.
Résultat ? Une pension élevée. Très élevée. Pour qu’elle puisse élever son fils. Sous prétexte qu’elle aurait de gros frais, pour prendre son indépendance et nourrir son enfant et l’envoyer à l’école et lui payer des activités extra scolaires…
Mensonges que tout ceci.
L’enfant ? Il vivait avec ses grands-parents maternels, dans un autre état. À l’autre bout du pays.
Il ne voyait pratiquement jamais sa mère. Mère, qui n’avait de cela que le nom, en vérité. Elle, elle ne voyait en lui qu’un moyen d’obtenir de l’argent facilement, pas comme son fils. Son père, lui, n’avait pas l’autorisation de la génitrice de pouvoir le voir. Elle voulait prendre des contraintes restrictives. Accusant Evan d’être violent verbalement et de lui faire peur. D’être menaçant. Mais cela lui fut refusé. En revanche, à cause de son travail, Evan accepta de ne pas voir régulièrement son fils, estimant, à ce moment là, qu'il serait mieux pour lui de vivre une vie stable chez ses grands-parents.
Mais en revanche, fut passé sous silence le fait qu’elle était violente physiquement. Evan ne voulait pas que cela s’apprenne. Elle restait la mère de son fils. Et il ne voulait pas la trainer dans la boue. Malgré la colère qu’il ressentait à son égard. Ou alors… se disait-il, tout bonnement, qu’une femme étant une créature faible, il était de son devoir de mâle de la protéger malgré tout. Ou… alors, encore… qu’en tant qu’homme, justement, il n’était pas question que l’on sache qu’il s’était fait frapper par une femme…
Bref. Elle avait abattu ses cartes et pensait avoir gagné.
Et à vrai dire, elle a été tranquille. Jusqu’à la majorité de son fils.
David, lui… eh bien. Tant qu’il n’a pas été en âge de comprendre, il ne le vivait pas mal. Ses grands-parents, eux, s’occupaient vraiment bien de lui et l’aimaient de tout leur cœur. Mais quand il a commencé à prendre de l’âge, à poser des questions, à comprendre la situation… C’est là qu’il a commencé à « poser des problèmes ». Il devenait violent à l’école, colérique, tempétueux, insolent. Il avait le comportement d’un enfant en détresse qui appelait à l’aide. Ses grands-parents l’ont vu. Ses grands-parents ont tenté de le faire prendre en charge. Mais la colère qu’il avait à l’égard de Faith était… lourde. Très lourde. Pour autant, ses séances avec le psy lui faisaient du bien. Tant qu’on ne jetait pas d’huile sur le feu.
Il n’était pas un élève excellent. Non pas parce qu’il n’en avait pas la capacité, non. S’il l’avait voulu, il aurait été dans les têtes de classes. Simplement, il ne le voulait pas. Façon indirecte d’exprimer son mécontentement. Son mal-être. Mais au moins, il était déjà plus… « gérable ».
On peut se demander pourquoi Evan n’a pas cherché à lutter pour récupérer la garde de son fils. La réponse est assez simple : avec son travail, il n’avait pas le temps de s’en occuper. L’enfant aurait été seul. Il savait, au moins, que son fils était avec ses grands-parents, qui prenaient soin de lui… et qui donnaient, à Evan, des nouvelles de son enfant. Ils étaient peut-être les parents de celle qui a fait beaucoup de mal autour d’elle, ils ne cautionnaient absolument pas ses actes et tentaient de contrebalancer le tout. C’était… un accord tacite. Et une fois par mois, Evan se débrouillait pour se rendre disponible et voir son fils, un week-end durant.
Ces week-ends, David les attendait avec impatience.
C’est à sa majorité légale, à 18ans, donc, que les choses ont commencé à changer. Les décisions se sont enchainées. La première a été d’aller vivre avec son père. Tout en allant régulièrement voir ses grands-parents. La deuxième, dans la même foulée, a été de changer de prénoms. Ceux qu’il portait depuis sa naissance ont été choisi par sa mère. Or… il refusait de garder tout lien avec cette personne.
David Simon Hearst a alors laissé place, une fois le formulaire rempli et sa demande acceptée, à Orion Arcane Hearst. Et c’est ce même Orion Arcane Hearst qui fit son entrée, aux côtés de son père, dans le monde mondain. À rencontrer les partenaires commerciaux d’Evan, des partenaires internationaux… et leurs enfants.
Et lui.
Il a également fait son entrée à l’université, après que son père a eu tiré quelques – nombreuses – ficelles, afin de l’y faire inscrire, ses résultats étant non suffisants de base. Mais il était surveillé, et devait prouver qu’il méritait sa place. Chose qu’il a fait, haut la main. Il a également demandé à avoir des cours particuliers de plusieurs langues, notamment le japonais, le grec et le français. En argument à son père, il indique que c’est pour être capable de s’occuper de branches internationales de leurs filières. Officieusement ? C’était pour l’impressionner lui.
Orion ne s’en est pas rendu compte immédiatement. Mais cet homme, d’à peu près le même âge que lui, issu du même milieu, était littéralement en train de devenir une obsession. Son obsession.
Pendant que les Incontrôlables tentaient de militer contre l’Incontestable, lui, insouciant et ignorant tout des combats d’étrangers à l’autre bout de l’océan, du haut de ses vingt-deux ans, cherchait le meilleur moyen d’attirer son attention. De pouvoir le voir. Revoir. Passer du temps avec. Et de préférence, sans cette blondie qui l’accompagnait aux soirées mondaines. Par chance, elle semblait avoir choisi un chemin différent du leur et ainsi, il pouvait se permettre de le voir, seul, en soirée.
C’est aussi dans ces eaux-là… qu’il a commencé à côtoyer des jeunes femmes. Toutes plus resplendissantes les unes que les autres. Jouant toutes aux plus naïves, les unes que les autres. Toutes plus calculatrices les unes que les autres. Intéressées par son statut. Par l’argent de son père. Par tout ce qu’il pourrait leur offrir. Mais pas par son cœur. Pas par lui. Les premières désillusions. Les premières vraies peines de cœur. La rencontre d’une fille qui lui avait presque fait passer son obsession pour ce type, pour finalement découvrir, après deux ans de relation, qu’elle n’attendait que sa demande pour pouvoir s’offrir un avenir radieux. Qu’elle ne le côtoyait que pour cela. Qu’à côté, elle voyait d’autres hommes.
Une femme comme sa génitrice.
Le genre de femme contre lequel son père n’arrêtait pas de le mettre en garde. Encore et encore. Et il n’a connu que cela. Ou, peut-être qu’à partir d’un certain nombre de désillusions, il s’est mis à croire qu’il n’existait que cela. Son aversion pour la gent féminine grandissait de jour en jour. Entre son père et internet, il s’enfermait dans des cercles de personnes pensant comme lui. Phénomène du biais de confirmation : les femmes sont des créatures immondes qui lui doivent ce qu’il désire d’elles. Elles sont faites pour cela. Et il les hait de ne pas lui demander ce qu’il désire. Ce qu’il exige.
Vingt-deux ans, c’est également l’âge qu’il avait lorsqu’il a commencé à travailler pour son père. Le but étant d’apprendre, petit à petit, les ficelles du métier, en commençant par le bas de l’échelle. Contrairement à ce que pas mal peuvent penser, il n’est pas né avec une cuillère en or dans la bouche et n’a pas atterri là où il est aujourd’hui en un claquement de doigt, simplement parce qu’il était « le fils de son père ». Son père n’a jamais rien voulu lui céder, le faisant travailler dur pour monter dans la hiérarchie. Cependant, et bien évidemment, il a évolué plus « simplement » que d’autres qui convoitaient les mêmes postes, parce qu’il était le fils du patron. Ce serait se voiler la face que de prétendre le contraire.
Et à vingt-deux, il ne savait pas ce qu’il se passait au Japon. Parce que le Japon, en lui-même, ne l’intéressait pas… encore.
Les deux années qui ont suivi ont répété les mêmes schémas, au niveau sentimental. À rencontrer des femmes qui n’en avaient rien à foutre de lui. À essayer de projeter son obsession pour lui, en elles. À être déçu, encore et encore, continuellement. Blessé, également. Et à se faire soutenir par son père. À se mettre à penser, de plus en plus, que « toutes les femmes sont des salopes ». Mais pas dans le sens « sexuel » du terme. Qu’elles sont juste… des créatures perfides, mauvaises. À se mettre… à les détester. Aimer avoir du sexe avec. Mais détester le reste. Bonnes qu’à pondre des gosses. Et encore…
Une mentalité puante.
Peut-être qu’il sera capable d’évoluer, un jour. Mais en attendant, il s’est enfoncé, énormément, dans cette façon de penser. Et pendant que lui détestait les femmes, d’autres détestent l’Incontestable. Mais le mouvement Incontrôlables a pris fin. Et lui, n’en avait pas entendu parler. Tout comme il n’en a pas eu grand-chose à faire d’apprendre qu’un tsunami a eu lieu. Bien évidemment, c’était tragique. Mais il ne connaissait personne au Japon. Et un océan le séparait de là.
Cependant, il a fini par s’intéresser à la question… lorsqu’au court d’une conversation, il apprit que les japonais avaient ce système, mis en place, qui marie les gens en « calculant » leur compatibilité. Et en comprenant que celui qui devait être à lui et à lui seul… devrait faire face à cela. Puisqu’il est à moitié japonais. Et qu’il possède une puce, lui aussi.
Alors, il s’est intéressé au pays. Il s’y est rendu, en voyage, visiter les lieux. Il a appris… à aimer des choses, là-bas. La nourriture, déjà. Les gens. Les paysages. Il a fini par demander à son père à aller travailler là-bas, puisqu’ils avaient une filiale implantée à Tokyo. Pour pouvoir prendre un peu d’autonomie. Vivre par lui-même. Il parlait déjà la langue. Ne restait plus qu’à s’adapter au reste.
Pour sûr, son caractère piquant intimidait. Mais il a réussi à s’adapter, tant bien que mal.
Il n’a pas été impacté lors du bug des puces, ni lors de l’épidémie. Il ne s’est même pas spécifiquement intéressé au phénomène, dans le sens où… il n’arrivait pas « bien » à le « comprendre », lui qui n’avait pas de puce. Mais il voyait bien, en revanche, que nombre d’employés étaient absents pour causes diverses et variées. Maladie. Puis deuils. Entre autres. Lui, n’a été que spectateurs des événements qui se sont succédés. Entre le System Error, l’épidémie, les soi-disant morts pas vraies, à cause de … il n’a même pas totalement compris à cause de quoi, en vérité. Il sait juste qu’il y a eu un cafouillage avec la machine. Ou alors, c’étaient les puces ? Oui, ça doit être ça. Il est bien certain que cela ne peut pas être un problème avec l’Incontestable mais avec les puces qui ont montré leur limite. (note : on parle bien de ce que le personnage en a compris et ce qu’il en pense, croit, hein.)
Finalement, c’est rentré dans l’ordre. Et il s’est retrouvé à la tête de la branche Japonaise, par ordre du père. Et il a, également, fini par demander la naturalisation. Pour une raison principale, fortement égoïste et stupide pour n’importe qui d’extérieur à … lui. Mais pour lui, c’était un plan infaillible. Puisqu’il était la personne destinée à cet homme. Ils sont compatibles. Il le sait. Il le sent. Cela ne peut en être autrement.
Et au pire… si cela n’est pas vrai… au moins, la personne qui lui sera dédiée sera à lui. Entièrement à lui. Et devra l’aimer. Parce que l’Incontestable est infaillible, n’est-ce pas ?
C’est ce qu’on lui disait, sans cesse. Que l’Incontestable ne se trompe pas. Et lui… lui, il a voulu faire partie de ce plan.
Et sa requête lui a été accordée récemment, après plusieurs mois de procédure, de vérifications, de preuves fournies et de tests de langue. Cela fait déjà quelques années qu’il vivait au Japon, enchainant les visas travail, retournant aux USA pour mieux pouvoir refaire un visa et repartir à Tokyo.
Bref, soulagé de ne plus avoir à faire d’administratif et ravi de faire enfin parti d’un système auquel il adhère. Et le voilà, aujourd’hui, avec son sourire de vipère, à attendre que se présente sa lettre rose. Bien trop certain d’apprécier le nom. Quel qu’il soit. Même si pour lui, pas de doute : ce sera son nom qui apparaîtra sur le papier.
Malheureusement, ce n’est pas le genre d’histoire auquel vous aurez le droit, aujourd’hui.
Je vais vous parler d’une histoire de désir, d’avidité, de recherche de pouvoir… au dépend des autres. L’histoire de victimes, devenues bourreaux. D’agneaux voulant se faire loups et de loups… devenant agneaux.
L’histoire d’Orion A. Hearst.
Celle-ci commence en l’an 2084. Elle était jeune, elle était belle. Splendide, même. Du genre à faire tourner les têtes d’un battement de cils. Du genre hors de portée du commun des mortels, également. Mais derrière ses yeux de biche se cachait une veuve noire, femme fatale, calculatrice. Elle savait ce qu’elle voulait. Et elle savait comment y parvenir.
Elle s’appelait Faith Daisy Mila Smith. Née d’une famille très modeste, et élevée à la magie d’Hollywood, des peoples vivant de le luxe et l’aisance, elle s’était promis de transcender son statut social pour s’élever vers les hauteurs. Enfant, déjà, son plan était établi. Clair, net, précis : épouser un homme riche, lui faire un ou des enfants, le faire disparaître, rafler l’héritage.
En grandissant, elle prit en beauté. Et en plomb dans la cervelle aussi. À enchainer les petits boulots de serveuse, pour pouvoir aider ses parents à payer les dettes de ses études. Mais elle refusait de passer sa vie à trimer comme une chienne pour quelques miettes. Elle estimait mériter mieux. Elle a aussi appris les subtilités de la vie. Et que faire disparaître quelqu’un n’était pas si aisé. Sans compter que si c’était pour finir sa vie en prison, alors cela n’avait aucun intérêt. Non. Le mieux était…
D’épouser un homme riche, lui faire un enfant. Et s’il n’est pas trop pénible, attendre.
Les premières données restent les mêmes. Seule la fin changera. Et changera encore.
Elle travaillait en tant que vendeuse dans une boutique de luxe. Principalement embauchée, de base, grâce à son physique plus que charmant et ensuite car elle étudiait le commerce et la vente. Elle avait choisi ce poste. De son plein gré. Malgré des horaires dites de merde et un salaire clairement pas à la hauteur des efforts fournis – ni du chiffre d’affaires de la marque que l’on ne citera pas. Mais de son plein gré, elle y travaillait. Pourquoi ? Justement pour ce qui suivi.
Beauté qu’on estimait facile puisque de classe inférieure (et que l’argent peut tout acheter, bien évidemment, c’est connu), elle fut courtisée, désirée, invitée dans des endroits qu’elle n’aurait jamais pu se payer d’elle-même. Jusqu’à être introduite aux soirées mondaines par celui qui se pensait être son « petit ami » mais qu’elle ne faisait qu’utiliser pour avoir accès à de plus gros poissons. Le loup était introduit dans la bergerie. C’est ce qu’elle pensait.
C’est ainsi, à force de présence en soirées mondaines, qu’elle le rencontrera.
Il s’appelle Evan Jonah Hearst.
Lui, est réellement tombé sous son charme, à leur première rencontre. Il a très vite effacé ce prétendant
Evan se moquait bien des origines modestes de celle qui était désormais sa femme. Lui, il l’aimait. D’un amour sincère. D’un amour tendre. Quand elle ne voyait en lui qu’un compte en banque bien rempli. En effet, Evan était – et est toujours – à la tête d’un empire médiatique – la presse à sensation, ça vaut des millions (c’est pour la rime, haha) – héritée de ses parents, qui en ont, eux-mêmes, hérités, qui en ont… vous avez compris. Mais en prime, il a pris la décision de suivre l’instinct de son père en plus d’y ajouter son courage pour investir dans l’immobilier et dans les crypto-monnaies, le propulsant ainsi au minimum dans le top 100 des hommes les plus riches du pays. Un bon poisson, pour Faith.
Faith, dont le ventre a commencé à s’arrondir, bien rapidement.
L’enfant n’était pas désiré, à l’origine. Pas par elle, en tout cas. Lui, en revanche, était heureux. Cela allait peut-être un peu vite. Mais il était sincère. Et elle… était sincèrement en train de calculer ses prochains coups.
Septembre 1085, naissance du petit David Simon Hearts. Notre protagoniste. Vous noterez que je viens de vous citer un nom différent de celui que vous connaissez. Vous comprendrez bien plus tard pourquoi.
Ce n’était pas un bébé invivable. Il faisait ses nuits. Pleurait uniquement pour son biberon ou sa couche. Mais Faith n’était pas prête à être mère. Et Evan qui travaillait jour et nuit, souvent en déplacement, souvent absent… Lorsqu’il rentrait, c’était pour faire des reproches à Faith. Qu’elle dépensait trop pour des choses futiles. Qu’elle ne s’occupait pas de son fils – la nourrice, oui. Qu’elle voyait trop d’hommes dans son dos – la jalousie, quelle chose horriblement moche… surtout qu’en plus, elle vous dira qu’elle n'a jamais couché avec ces types. Ils n’étaient, d’après elle, que des « amis ». Evan, lui, vous dira qu’eux, ils auraient bien eu envie de conclure.
Faith le supportait de moins en moins. Sans compter qu’il avait fini par restreindre sa carte bancaire, limitant drastiquement ses dépenses.
La passion des débuts, de la part d’Evan, était déjà en train de s’effriter alors que le véritable visage de Faith se montrait, provoquant le côté moins agréable d’Evan. Bien rapidement, on se mit à parler de divorce. Puis à engager des avocats pour entamer les procédures.
À l’issue d’une lutte acharnée des deux partis… La garde du petit David fut confiée à sa mère. Basé sur le fait qu’elle soit la mère, pour commencer. Et que le père n’était jamais présent. Elle a joué aux mères éplorées… tout ça car elle avait déjà calculé son coup suivant.
Résultat ? Une pension élevée. Très élevée. Pour qu’elle puisse élever son fils. Sous prétexte qu’elle aurait de gros frais, pour prendre son indépendance et nourrir son enfant et l’envoyer à l’école et lui payer des activités extra scolaires…
Mensonges que tout ceci.
L’enfant ? Il vivait avec ses grands-parents maternels, dans un autre état. À l’autre bout du pays.
Il ne voyait pratiquement jamais sa mère. Mère, qui n’avait de cela que le nom, en vérité. Elle, elle ne voyait en lui qu’un moyen d’obtenir de l’argent facilement, pas comme son fils. Son père, lui, n’avait pas l’autorisation de la génitrice de pouvoir le voir. Elle voulait prendre des contraintes restrictives. Accusant Evan d’être violent verbalement et de lui faire peur. D’être menaçant. Mais cela lui fut refusé. En revanche, à cause de son travail, Evan accepta de ne pas voir régulièrement son fils, estimant, à ce moment là, qu'il serait mieux pour lui de vivre une vie stable chez ses grands-parents.
Mais en revanche, fut passé sous silence le fait qu’elle était violente physiquement. Evan ne voulait pas que cela s’apprenne. Elle restait la mère de son fils. Et il ne voulait pas la trainer dans la boue. Malgré la colère qu’il ressentait à son égard. Ou alors… se disait-il, tout bonnement, qu’une femme étant une créature faible, il était de son devoir de mâle de la protéger malgré tout. Ou… alors, encore… qu’en tant qu’homme, justement, il n’était pas question que l’on sache qu’il s’était fait frapper par une femme…
Bref. Elle avait abattu ses cartes et pensait avoir gagné.
Et à vrai dire, elle a été tranquille. Jusqu’à la majorité de son fils.
David, lui… eh bien. Tant qu’il n’a pas été en âge de comprendre, il ne le vivait pas mal. Ses grands-parents, eux, s’occupaient vraiment bien de lui et l’aimaient de tout leur cœur. Mais quand il a commencé à prendre de l’âge, à poser des questions, à comprendre la situation… C’est là qu’il a commencé à « poser des problèmes ». Il devenait violent à l’école, colérique, tempétueux, insolent. Il avait le comportement d’un enfant en détresse qui appelait à l’aide. Ses grands-parents l’ont vu. Ses grands-parents ont tenté de le faire prendre en charge. Mais la colère qu’il avait à l’égard de Faith était… lourde. Très lourde. Pour autant, ses séances avec le psy lui faisaient du bien. Tant qu’on ne jetait pas d’huile sur le feu.
Il n’était pas un élève excellent. Non pas parce qu’il n’en avait pas la capacité, non. S’il l’avait voulu, il aurait été dans les têtes de classes. Simplement, il ne le voulait pas. Façon indirecte d’exprimer son mécontentement. Son mal-être. Mais au moins, il était déjà plus… « gérable ».
On peut se demander pourquoi Evan n’a pas cherché à lutter pour récupérer la garde de son fils. La réponse est assez simple : avec son travail, il n’avait pas le temps de s’en occuper. L’enfant aurait été seul. Il savait, au moins, que son fils était avec ses grands-parents, qui prenaient soin de lui… et qui donnaient, à Evan, des nouvelles de son enfant. Ils étaient peut-être les parents de celle qui a fait beaucoup de mal autour d’elle, ils ne cautionnaient absolument pas ses actes et tentaient de contrebalancer le tout. C’était… un accord tacite. Et une fois par mois, Evan se débrouillait pour se rendre disponible et voir son fils, un week-end durant.
Ces week-ends, David les attendait avec impatience.
C’est à sa majorité légale, à 18ans, donc, que les choses ont commencé à changer. Les décisions se sont enchainées. La première a été d’aller vivre avec son père. Tout en allant régulièrement voir ses grands-parents. La deuxième, dans la même foulée, a été de changer de prénoms. Ceux qu’il portait depuis sa naissance ont été choisi par sa mère. Or… il refusait de garder tout lien avec cette personne.
David Simon Hearst a alors laissé place, une fois le formulaire rempli et sa demande acceptée, à Orion Arcane Hearst. Et c’est ce même Orion Arcane Hearst qui fit son entrée, aux côtés de son père, dans le monde mondain. À rencontrer les partenaires commerciaux d’Evan, des partenaires internationaux… et leurs enfants.
Et lui.
Il a également fait son entrée à l’université, après que son père a eu tiré quelques – nombreuses – ficelles, afin de l’y faire inscrire, ses résultats étant non suffisants de base. Mais il était surveillé, et devait prouver qu’il méritait sa place. Chose qu’il a fait, haut la main. Il a également demandé à avoir des cours particuliers de plusieurs langues, notamment le japonais, le grec et le français. En argument à son père, il indique que c’est pour être capable de s’occuper de branches internationales de leurs filières. Officieusement ? C’était pour l’impressionner lui.
Orion ne s’en est pas rendu compte immédiatement. Mais cet homme, d’à peu près le même âge que lui, issu du même milieu, était littéralement en train de devenir une obsession. Son obsession.
Pendant que les Incontrôlables tentaient de militer contre l’Incontestable, lui, insouciant et ignorant tout des combats d’étrangers à l’autre bout de l’océan, du haut de ses vingt-deux ans, cherchait le meilleur moyen d’attirer son attention. De pouvoir le voir. Revoir. Passer du temps avec. Et de préférence, sans cette blondie qui l’accompagnait aux soirées mondaines. Par chance, elle semblait avoir choisi un chemin différent du leur et ainsi, il pouvait se permettre de le voir, seul, en soirée.
C’est aussi dans ces eaux-là… qu’il a commencé à côtoyer des jeunes femmes. Toutes plus resplendissantes les unes que les autres. Jouant toutes aux plus naïves, les unes que les autres. Toutes plus calculatrices les unes que les autres. Intéressées par son statut. Par l’argent de son père. Par tout ce qu’il pourrait leur offrir. Mais pas par son cœur. Pas par lui. Les premières désillusions. Les premières vraies peines de cœur. La rencontre d’une fille qui lui avait presque fait passer son obsession pour ce type, pour finalement découvrir, après deux ans de relation, qu’elle n’attendait que sa demande pour pouvoir s’offrir un avenir radieux. Qu’elle ne le côtoyait que pour cela. Qu’à côté, elle voyait d’autres hommes.
Une femme comme sa génitrice.
Le genre de femme contre lequel son père n’arrêtait pas de le mettre en garde. Encore et encore. Et il n’a connu que cela. Ou, peut-être qu’à partir d’un certain nombre de désillusions, il s’est mis à croire qu’il n’existait que cela. Son aversion pour la gent féminine grandissait de jour en jour. Entre son père et internet, il s’enfermait dans des cercles de personnes pensant comme lui. Phénomène du biais de confirmation : les femmes sont des créatures immondes qui lui doivent ce qu’il désire d’elles. Elles sont faites pour cela. Et il les hait de ne pas lui demander ce qu’il désire. Ce qu’il exige.
Vingt-deux ans, c’est également l’âge qu’il avait lorsqu’il a commencé à travailler pour son père. Le but étant d’apprendre, petit à petit, les ficelles du métier, en commençant par le bas de l’échelle. Contrairement à ce que pas mal peuvent penser, il n’est pas né avec une cuillère en or dans la bouche et n’a pas atterri là où il est aujourd’hui en un claquement de doigt, simplement parce qu’il était « le fils de son père ». Son père n’a jamais rien voulu lui céder, le faisant travailler dur pour monter dans la hiérarchie. Cependant, et bien évidemment, il a évolué plus « simplement » que d’autres qui convoitaient les mêmes postes, parce qu’il était le fils du patron. Ce serait se voiler la face que de prétendre le contraire.
Et à vingt-deux, il ne savait pas ce qu’il se passait au Japon. Parce que le Japon, en lui-même, ne l’intéressait pas… encore.
Les deux années qui ont suivi ont répété les mêmes schémas, au niveau sentimental. À rencontrer des femmes qui n’en avaient rien à foutre de lui. À essayer de projeter son obsession pour lui, en elles. À être déçu, encore et encore, continuellement. Blessé, également. Et à se faire soutenir par son père. À se mettre à penser, de plus en plus, que « toutes les femmes sont des salopes ». Mais pas dans le sens « sexuel » du terme. Qu’elles sont juste… des créatures perfides, mauvaises. À se mettre… à les détester. Aimer avoir du sexe avec. Mais détester le reste. Bonnes qu’à pondre des gosses. Et encore…
Une mentalité puante.
Peut-être qu’il sera capable d’évoluer, un jour. Mais en attendant, il s’est enfoncé, énormément, dans cette façon de penser. Et pendant que lui détestait les femmes, d’autres détestent l’Incontestable. Mais le mouvement Incontrôlables a pris fin. Et lui, n’en avait pas entendu parler. Tout comme il n’en a pas eu grand-chose à faire d’apprendre qu’un tsunami a eu lieu. Bien évidemment, c’était tragique. Mais il ne connaissait personne au Japon. Et un océan le séparait de là.
Cependant, il a fini par s’intéresser à la question… lorsqu’au court d’une conversation, il apprit que les japonais avaient ce système, mis en place, qui marie les gens en « calculant » leur compatibilité. Et en comprenant que celui qui devait être à lui et à lui seul… devrait faire face à cela. Puisqu’il est à moitié japonais. Et qu’il possède une puce, lui aussi.
Alors, il s’est intéressé au pays. Il s’y est rendu, en voyage, visiter les lieux. Il a appris… à aimer des choses, là-bas. La nourriture, déjà. Les gens. Les paysages. Il a fini par demander à son père à aller travailler là-bas, puisqu’ils avaient une filiale implantée à Tokyo. Pour pouvoir prendre un peu d’autonomie. Vivre par lui-même. Il parlait déjà la langue. Ne restait plus qu’à s’adapter au reste.
Pour sûr, son caractère piquant intimidait. Mais il a réussi à s’adapter, tant bien que mal.
Il n’a pas été impacté lors du bug des puces, ni lors de l’épidémie. Il ne s’est même pas spécifiquement intéressé au phénomène, dans le sens où… il n’arrivait pas « bien » à le « comprendre », lui qui n’avait pas de puce. Mais il voyait bien, en revanche, que nombre d’employés étaient absents pour causes diverses et variées. Maladie. Puis deuils. Entre autres. Lui, n’a été que spectateurs des événements qui se sont succédés. Entre le System Error, l’épidémie, les soi-disant morts pas vraies, à cause de … il n’a même pas totalement compris à cause de quoi, en vérité. Il sait juste qu’il y a eu un cafouillage avec la machine. Ou alors, c’étaient les puces ? Oui, ça doit être ça. Il est bien certain que cela ne peut pas être un problème avec l’Incontestable mais avec les puces qui ont montré leur limite. (note : on parle bien de ce que le personnage en a compris et ce qu’il en pense, croit, hein.)
Finalement, c’est rentré dans l’ordre. Et il s’est retrouvé à la tête de la branche Japonaise, par ordre du père. Et il a, également, fini par demander la naturalisation. Pour une raison principale, fortement égoïste et stupide pour n’importe qui d’extérieur à … lui. Mais pour lui, c’était un plan infaillible. Puisqu’il était la personne destinée à cet homme. Ils sont compatibles. Il le sait. Il le sent. Cela ne peut en être autrement.
Et au pire… si cela n’est pas vrai… au moins, la personne qui lui sera dédiée sera à lui. Entièrement à lui. Et devra l’aimer. Parce que l’Incontestable est infaillible, n’est-ce pas ?
C’est ce qu’on lui disait, sans cesse. Que l’Incontestable ne se trompe pas. Et lui… lui, il a voulu faire partie de ce plan.
Et sa requête lui a été accordée récemment, après plusieurs mois de procédure, de vérifications, de preuves fournies et de tests de langue. Cela fait déjà quelques années qu’il vivait au Japon, enchainant les visas travail, retournant aux USA pour mieux pouvoir refaire un visa et repartir à Tokyo.
Bref, soulagé de ne plus avoir à faire d’administratif et ravi de faire enfin parti d’un système auquel il adhère. Et le voilà, aujourd’hui, avec son sourire de vipère, à attendre que se présente sa lettre rose. Bien trop certain d’apprécier le nom. Quel qu’il soit. Même si pour lui, pas de doute : ce sera son nom qui apparaîtra sur le papier.
Caractère
Orion, c’est le genre de personnage que vous avez envie d’encastrer dans un mur. Trop sûr de lui, trop certain d’avoir tout le temps raison, trop imbu de sa personne. Il aime piquer au vif, s’amuse d’agacer les autres, de les mettre en colère. Il aime jouer au chat et à la souris. Mais surtout au chat.
En revanche, on ne peut pas lui retirer d’avoir une certaine prestance. Il prend le travail au sérieux et traite ses employés avec respect, tant qu’ils ne font pas de pas de travers. Il sait récompenser et punir, apprécier les efforts et les réussir, gronder les échecs.
Cependant, Orion a un léger problème avec les femmes. Il est misogyne. Cela s’est développé avec le temps, à cause de plusieurs facteurs, dont notamment le biais de confirmation. Et son entourage ne lui fait de bien en ce sens. Il manque d’éducation sur la question et cela lui ferait du bien de se faire remettre en place et se prendre une bonne leçon dans les dents.
Cependant, comme indiqué, son cercle proche ne lui sort pas la tête de la merde et au contraire, même, le valide tel quel. Alors, il sait se tenir, en public, et faire bonne figure. Mais il ne daignera guère accorder quelque mot agréable que ce soit à une femme. Et encore moins la féliciter si elle fait quoi que ce soit de bien. Et le vivre extrêmement mal s’il se fait battre par une donzelle.
Il a de l’ego. De la fierté. Et de l’amour propre. Vivement qu’on piétine cela.
Autrement, il adore le sport, voyager, boire des verres… les chats, les chiens. Et a une tendance à l’obsession. Quand il a une idée en tête, il ne l’a pas ailleurs. Faire des fixettes, c’est une habitude. C’en est, parfois, un peu… flippant.
Orion n’a jamais connu l’amour. Et c’est là une chose après laquelle il court plus que tout. Il veut qu’on l’aime. Qu’on l’aime réellement. Ça aussi, on peut dire que c’est une obsession chez lui. Mais comment peut-il être aimé si lui-même n’aime pas en retour ? Son cœur a été enfermé dans une cage à double tour, coulée - la cage - sous du béton armé…
Peut-être qu’au fond, ce grand connard n’en est pas totalement un. Peut-être faut-il juste lui remettre les pendules à l’heure.
En revanche, on ne peut pas lui retirer d’avoir une certaine prestance. Il prend le travail au sérieux et traite ses employés avec respect, tant qu’ils ne font pas de pas de travers. Il sait récompenser et punir, apprécier les efforts et les réussir, gronder les échecs.
Cependant, Orion a un léger problème avec les femmes. Il est misogyne. Cela s’est développé avec le temps, à cause de plusieurs facteurs, dont notamment le biais de confirmation. Et son entourage ne lui fait de bien en ce sens. Il manque d’éducation sur la question et cela lui ferait du bien de se faire remettre en place et se prendre une bonne leçon dans les dents.
Cependant, comme indiqué, son cercle proche ne lui sort pas la tête de la merde et au contraire, même, le valide tel quel. Alors, il sait se tenir, en public, et faire bonne figure. Mais il ne daignera guère accorder quelque mot agréable que ce soit à une femme. Et encore moins la féliciter si elle fait quoi que ce soit de bien. Et le vivre extrêmement mal s’il se fait battre par une donzelle.
Il a de l’ego. De la fierté. Et de l’amour propre. Vivement qu’on piétine cela.
Autrement, il adore le sport, voyager, boire des verres… les chats, les chiens. Et a une tendance à l’obsession. Quand il a une idée en tête, il ne l’a pas ailleurs. Faire des fixettes, c’est une habitude. C’en est, parfois, un peu… flippant.
Orion n’a jamais connu l’amour. Et c’est là une chose après laquelle il court plus que tout. Il veut qu’on l’aime. Qu’on l’aime réellement. Ça aussi, on peut dire que c’est une obsession chez lui. Mais comment peut-il être aimé si lui-même n’aime pas en retour ? Son cœur a été enfermé dans une cage à double tour, coulée - la cage - sous du béton armé…
Peut-être qu’au fond, ce grand connard n’en est pas totalement un. Peut-être faut-il juste lui remettre les pendules à l’heure.
Physique
Orion est plutôt grand pour un américain et carrément grand pour un japonais, du haut de son mètre quatre-vingt-cinq. Il a les traits fins, pas un pet de graisse, passant des heures à faire du cardio et de la musculation pour s’entretenir (il a même un coach personnel et une pièce dédiée dans son appartement, c’est dire).
Il a les cheveux bruns, avec une mèche blanche due à une zone dépigmentée. C’est de naissance et c’est naturel, lui a-t-on dit. Il garde ses cheveux soigneusement taillés, en un coupe « bol », soigneusement coiffée « décoiffée ». Il a le nez droit et les yeux dorés. Ça, en revanche, c’est hérité de sa génitrice, qui elle-même avait eu le droit à un caprice eugéniste de ses parents. C’est là la partie de son corps qu’il déteste le plus. Mais après des années à cacher ses yeux derrière des lentilles colorées, il a fini par décider de se réapproprier ses yeux – et sa vie – et d’assumer son regard.
Il prend soin de son apparence, aime s’habiller de manière « chic », avec des vêtements de marques plutôt luxueuses. Principalement des chemises, des pantalons droits, des vestes bien taillées – certaines sont même sur mesure.
Il aime plaire et savoir qu’il plaît, que ce soit aux hommes ou aux femmes. Il aime que les têtes tournent devant lui.
Il porte des anneaux aux oreilles, mais ce sont là les seules modifications corporelles qu’il a effectué. Pas de tatouages, pas d’autres piercings. Un jour, peut-être, qui sait ?
Il n’a pas de poils sur le corps, et là, ce n’est pas génétique, plutôt esthétique : il a tout fait dégager à coup de laser. Si l’on cherche bien, on peut découvrir des cicatrices sur ses épaules, vestiges de boutons qui n’ont pas été laissés en paix, plus jeune – et qui le complexent beaucoup. Il réfléchit, d’ailleurs, à se dégager du temps pour aller essayer de les faire disparaître. Mais pour l’instant ,étant donné qu’il les cache sous le tissu de ses vêtements… bref.
Il a les cheveux bruns, avec une mèche blanche due à une zone dépigmentée. C’est de naissance et c’est naturel, lui a-t-on dit. Il garde ses cheveux soigneusement taillés, en un coupe « bol », soigneusement coiffée « décoiffée ». Il a le nez droit et les yeux dorés. Ça, en revanche, c’est hérité de sa génitrice, qui elle-même avait eu le droit à un caprice eugéniste de ses parents. C’est là la partie de son corps qu’il déteste le plus. Mais après des années à cacher ses yeux derrière des lentilles colorées, il a fini par décider de se réapproprier ses yeux – et sa vie – et d’assumer son regard.
Il prend soin de son apparence, aime s’habiller de manière « chic », avec des vêtements de marques plutôt luxueuses. Principalement des chemises, des pantalons droits, des vestes bien taillées – certaines sont même sur mesure.
Il aime plaire et savoir qu’il plaît, que ce soit aux hommes ou aux femmes. Il aime que les têtes tournent devant lui.
Il porte des anneaux aux oreilles, mais ce sont là les seules modifications corporelles qu’il a effectué. Pas de tatouages, pas d’autres piercings. Un jour, peut-être, qui sait ?
Il n’a pas de poils sur le corps, et là, ce n’est pas génétique, plutôt esthétique : il a tout fait dégager à coup de laser. Si l’on cherche bien, on peut découvrir des cicatrices sur ses épaules, vestiges de boutons qui n’ont pas été laissés en paix, plus jeune – et qui le complexent beaucoup. Il réfléchit, d’ailleurs, à se dégager du temps pour aller essayer de les faire disparaître. Mais pour l’instant ,étant donné qu’il les cache sous le tissu de ses vêtements… bref.
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Orion A. Himawari
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Ahhh le voilà ! Après avoir eu les grandes lignes, il me tarde de découvrir en détail ce mossieur. Bonne rédaction de fiiiche.
Wutai Sato
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Owh le même âge que Jia à l’année près :D en fonction de la date de son arrivée au Japon, ils auraient pu étudier dans la même classe à un moment
Re bienvenue en tout cas !
N’oublie pas de me réserver une danse
& comme Wutai, hâte de lire ça **
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Bonjour monsieur
Hâte d'en découvrir davantage. Bonne rédaction !
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Hello Le bogoss!^^
Rebienvenue.<3
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IL EST ENFIN LÀ
(re)bienvenue beau gosse, tu sais déjà comme j'ai hâte de lire ta fiche
bonne rédaction
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Bonne nouvelle tête à toi et bonne rédaction!
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Re-bienvenue et bon courage pour ta fiche !
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Eeeeeet merci tout le monde ;w;
Vous êtes des pipous, jpp ;w;
Je passe pour demander si je peux avoir un pôtit délai pour finir cette fiche, l'IRL m'a un peu bombardé d'un coup et ralentie
Merci beaucoup ;w;
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Je passe pour demander si je peux avoir un pôtit délai pour finir cette fiche, l'IRL m'a un peu bombardé d'un coup et ralentie
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Orion A. Himawari
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Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits
- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit :
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
- Le plus beau compliment :
- Merci Oz :
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Modération de fiche
Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum !
Introduction
Rebienvenu parmi nous ! N’hésite pas à reposter pour indiquer que tu as fini la prochaine fois, on n’avait pas vu l’édition du sous-titre Et c’est parti
Histoire
*Juste pour rappel, l’adultère est assez mal considéré aux Etats-Unis, ca ne va pas aider la mère pour le divorce et la garde de l’enfant, bien au contraire
*Pour qu’elle prive le père de droits de visite sous prétexte de violences verbales, il faudra qu’elle parvienne à le prouver (surtout pour qu’il n’ait même pas le droit de le voir du tout). Et ce n’est pas parce qu’il n’a pas le droit de voir la mère qu’il n’a pas le droit de voir le fils (ce pourrait être des visites aménagées en espace neutre, au sein d’asso spécialisées, par exemple). Surtout que tu dis après qu’il le voit chez les grands-parents, ce n’est pas très clair ce qu’il a le droit de faire ou non peut-être reformuler un peu ? :3
*« Pendant que les Incontrôlables tentaient de militer contre l’Incontestable » on est d’accord qu’Orion est toujours aux E-U à ce moment-là ? Ca semble un peu sortir de nulle part énoncé comme ca, peut-être une petite précision sur ce qu’il en sait (même si ce n’est absolument rien, justement) ? :3
*Manque une tite mention de la chasse à l’Homme. Lui qui venait d’arriver dans le pays avec toutes ses belles idées, qu’a-t-il pensé de cet épisode (une chasse à l’humain, quand même), même sans comprendre pleinement ce que ca impliquait ?
D’agneaux voulant se faire loup
Dès enfant (on dira plus « dès l’enfance » ou simplement « enfant »)
se de manipuler
hérités
répétition du « en prime »
nourrisse
on se mis
désire d’elle
des salope
qui mari
Physique
Validé
Caractère
vous avez d’encastrer
double tours
Validé
Conclusion
Pas grand-chose à redire dans le fond, prends le temps de te relire à tête reposée C’est une fiche très agréable à lire et un personnage qu’on va adorer détester (pardon, la Michiko en moi a envie de l’écraser ) mais bichou, il n’a pas eu de chance non plus… j’espère qu’il arrivera à trouver son équilibre malgré tout Je suis dispo par mp si besoin, à très vite ! :3
Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Analyse : 1/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.
Invité
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Orion A. Himawari
Ayooo !
Désolée ! J'avais complètement ... pas vu, en fait, que j'avais laissé le U.C dans le titre, par habitude
Et ... fin. J'ai clairement pas attendu longtemps avant ton passage, comme j'ai fini sa fiche dimanche (enfin, lundi, j'avoue) à 00:10... :| (c'est sûrement pour ça que j'ai zappé le U.C en prime )
Ayaaaa s'il te plaît déteste le fort, Michi Faut le frapper (et l'éduquer). Il mérite !
Deux en un, j'ai corrigé par ce qui suit :
Oopsie ! Désolée ;w; en vrai, j'ai placé ce point pour "débuter" le parallèle entre sa timeline à lui et celle du contexte ... mais du coup ça a été maladroitement fait, j'en conclus voici donc :
Ah, j'avais inclus ça dans un tout petit passage, en parlant des maladies et des deuils, tout ça. Mais du coup, j'explicite là :
Et normalement, c'est corrigé
Et merci énormément pour ton retour, tes compliments et tes pointages du doigt là où c'était pas clair ;w;
Désolée ! J'avais complètement ... pas vu, en fait, que j'avais laissé le U.C dans le titre, par habitude
Et ... fin. J'ai clairement pas attendu longtemps avant ton passage, comme j'ai fini sa fiche dimanche (enfin, lundi, j'avoue) à 00:10... :| (c'est sûrement pour ça que j'ai zappé le U.C en prime )
Ayaaaa s'il te plaît déteste le fort, Michi Faut le frapper (et l'éduquer). Il mérite !
Michiko Nakashima a écrit:*Juste pour rappel, l’adultère est assez mal considéré aux Etats-Unis, ca ne va pas aider la mère pour le divorce et la garde de l’enfant, bien au contraire
*Pour qu’elle prive le père de droits de visite sous prétexte de violences verbales, il faudra qu’elle parvienne à le prouver (surtout pour qu’il n’ait même pas le droit de le voir du tout). Et ce n’est pas parce qu’il n’a pas le droit de voir la mère qu’il n’a pas le droit de voir le fils (ce pourrait être des visites aménagées en espace neutre, au sein d’asso spécialisées, par exemple). Surtout que tu dis après qu’il le voit chez les grands-parents, ce n’est pas très clair ce qu’il a le droit de faire ou non peut-être reformuler un peu ? :3
Deux en un, j'ai corrigé par ce qui suit :
- Spoiler:
- La passion des débuts, de la part d’Evan, était déjà en train de s’effriter alors que le véritable visage de Faith se montrait, provoquant le côté moins agréable d’Evan. Bien rapidement, on se mis à parler de divorce. Puis à engager des avocats pour entamer les procédures.
À l’issue d’une lutte acharnée des deux partis… La garde du petit David fut confiée à sa mère. Basé sur le fait qu’elle soit la mère, pour commencer. Et que le père n’était jamais présent. Elle a joué aux mères éplorées… tout ça car elle avait déjà calculé son coup suivant.
Résultat ? Une pension élevée. Très élevée. Pour qu’elle puisse élever son fils. Sous prétexte qu’elle aurait de gros frais, pour prendre son indépendance et nourrir son enfant et l’envoyer à l’école et lui payer des activités extra scolaires…
Mensonges que tout ceci.
L’enfant ? Il vivait avec ses grands-parents maternels, dans un autre état. À l’autre bout du pays.
Il ne voyait pratiquement jamais sa mère. Mère, qui n’avait de cela que le nom, en vérité. Elle, elle ne voyait en lui qu’un moyen d’obtenir de l’argent facilement, pas comme son fils. Son père, lui, n’avait pas l’autorisation de la génitrice de pouvoir le voir. Elle voulait prendre des contraintes restrictives. Accusant Evan d’être violent verbalement et de lui faire peur. D’être menaçant. Mais cela lui fut refusé. En revanche, à cause de son travail, Evan accepta de ne pas voir régulièrement son fils, estimant, à ce moment là, qu'il serait mieux pour lui de vivre une vie stable chez ses grands-parents.
Mais en revanche, fut passé sous silence le fait qu’elle était violente physiquement. Evan ne voulait pas que cela s’apprenne. Elle restait la mère de son fils. Et il ne voulait pas la trainer dans la boue. Malgré la colère qu’il ressentait à son égard. Ou alors… se disait-il, tout bonnement, qu’une femme étant une créature faible, il était de son devoir de mâle de la protéger malgré tout. Ou… alors, encore… qu’en tant qu’homme, justement, il n’était pas question que l’on sache qu’il s’était fait frapper par une femme…
Bref. Elle avait abattu ses cartes et pensait avoir gagné.
Michiko Nakashima a écrit:*« Pendant que les Incontrôlables tentaient de militer contre l’Incontestable » on est d’accord qu’Orion est toujours aux E-U à ce moment-là ? Ca semble un peu sortir de nulle part énoncé comme ca, peut-être une petite précision sur ce qu’il en sait (même si ce n’est absolument rien, justement) ? :3
Oopsie ! Désolée ;w; en vrai, j'ai placé ce point pour "débuter" le parallèle entre sa timeline à lui et celle du contexte ... mais du coup ça a été maladroitement fait, j'en conclus voici donc :
- Spoiler:
- Pendant que les Incontrôlables tentaient de militer contre l’Incontestable, lui, insouciant et ignorant tout des combats d’étrangers à l’autre bout de l’océan, du haut de ses vingt-deux ans, cherchait le meilleur moyen d’attirer son attention. De pouvoir le voir. Revoir. Passer du temps avec. Et de préférence, sans cette blondie qui l’accompagnait aux soirées mondaines. Par chance, elle semblait avoir choisi un chemin différent du leur et ainsi, il pouvait se permettre de le voir, seul, en soirée.
Michiko Nakashima a écrit:*Manque une tite mention de la chasse à l’Homme. Lui qui venait d’arriver dans le pays avec toutes ses belles idées, qu’a-t-il pensé de cet épisode (une chasse à l’humain, quand même), même sans comprendre pleinement ce que ca impliquait ?
Ah, j'avais inclus ça dans un tout petit passage, en parlant des maladies et des deuils, tout ça. Mais du coup, j'explicite là :
- Spoiler:
- Il n’a pas été impacté lors du bug des puces, ni lors de l’épidémie. Il ne s’est même pas spécifiquement intéressé au phénomène, dans le sens où… il n’arrivait pas « bien » à le « comprendre », lui qui n’avait pas de puce. Mais il voyait bien, en revanche, que nombre d’employés étaient absents pour causes diverses et variées. Maladie. Puis deuils. Entre autres. Lui, n’a été que spectateurs des événements qui se sont succédés. Entre le System Error, l’épidémie, les soit disant morts pas vraies, à cause de … il n’a même pas totalement compris à cause de quoi, en vérité. Il sait juste qu’il y a eu un cafouillage avec la machine. Ou alors, c’étaient les puces ? Oui, ça doit être ça. Il est bien certain que cela ne peut pas être un problème avec l’Incontestable mais avec les puces qui ont montré leur limite. (note : on parle bien de ce que le personnage en a compris et ce qu’il en pense, croit, hein.)
Et normalement, c'est corrigé
Et merci énormément pour ton retour, tes compliments et tes pointages du doigt là où c'était pas clair ;w;
Orion A. Himawari
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Suite aux précisions mp, je te pré-valide, amuses toi bien avec ce nouveau perso
Pré-validation par Michiko
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
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• De remplir les champs de votre profil.• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
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• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits
- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit :
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
- Le plus beau compliment :
- Merci Oz :
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