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Bunta Nakayama
Bunta Nakayama
Ca va pas le faire
Informations générales
Nom :Nakayama
Prénom.s :Bunta
Âge :39 ans, le 5 mai 2075
Genre :Mascu
Origines : Japonaise
Activité :Activité ;; Assistant-réalisateur pour une boîte de production pro-Incontestable
Sexualité :Hétérosexuelle
Avatar :C'est un fan-art de l'acteur Ma Dong-Seok, par EKIRAeki
Réglement : - Validé - Ko'
CheminPar Eurydyce au moins
Autre :Les subtils découvriront une forme de watermark sur le vava ; ça partira au karsher graphisme. Oh, et pour les lecteurs, si vous êtes intéressés par un lien, MP-moi de suite, je serais ravi de tisser quelque chose avec vous
Prénom.s :Bunta
Âge :39 ans, le 5 mai 2075
Genre :Mascu
Origines : Japonaise
Activité :Activité ;; Assistant-réalisateur pour une boîte de production pro-Incontestable
Sexualité :Hétérosexuelle
Avatar :C'est un fan-art de l'acteur Ma Dong-Seok, par EKIRAeki
Réglement : - Validé - Ko'
CheminPar Eurydyce au moins
Autre :Les subtils découvriront une forme de watermark sur le vava ; ça partira au karsher graphisme. Oh, et pour les lecteurs, si vous êtes intéressés par un lien, MP-moi de suite, je serais ravi de tisser quelque chose avec vous
Histoire
Dans la folie urbaine d’une mégalopole, les histoires comme celles de Bunta sont considérées avec une banalité par le peuple distingué qu’on peut associer à une certaine forme de condescendance, un classique schéma à pêcher dans la masse. Pour faire court et on pourrait s’arrêter ici car le détail n’importe pas, suivez le chemin d’un enfant d’une famille défavorisée dont les fantasmes économiques socialistes qui le prennent comme une fièvre dans son adolescence et sa vie de jeune adulte se sont vite guéris quand il fallait se battre pour un salaire, non pas que le réalisme l’avait rattrapé mais plutôt que la vie forçait à choisir des batailles et que comme la plupart, il avait cédé pour l’emprunt de la belle voiture.
Le collège fut dur, comme il l’est pour tout le monde - Bunta avait de l’embonpoint et beaucoup d’ennemis. Sous les coups, il se forgea et au lycée, il finit en masse aiguisée. Il était de ces gens que la vie rende fort car revanchard avant le reste, l’âme énorme assurément car pleine de choses à dire, il se développa assez vite une maturité et une aisance sociale qui devinrent sa figure de proue qu’il navigua jusqu’aux dernières études. Son père était aussi un costaud, un ancien des forces de défense reconverti marinier, un homme qui a autant de poigne sur ses désirs et ses hurlements qu’il laisse toutes ses responsabilités filer de ses mains à la maison, faisant de lui le plus précieux bibelot de l’ensemble et aussi le plus bruyant ; un homme fort le jour, un filet de fumée le soir. Quant à sa femme, grande cuisinière du gras et de la portion généreuse avait été infirmière comme ses cinq mères avant elle et comme elles, avait quitté peu ou prou d’années plus tard, le service pour la maison à la naissance de son premier enfant - Bunta -, faisant d’elle un reflet de reflet très particulier d’une époque plus servile dont elle ne soupçonnait pas le poids mais qu’elle portait avec l’insouciance des Atlas qui ignoraient profondément le nom de la planète sur leurs épaules.
Quittant un nid aux murs jaunes de cigarette après les premiers diplômes, Bunta partit au cinéma pour devenir réalisateur. Il portait en ces temps-là de profonds tracas sociaux et voulait de la pellicule un exutoire ; il était persuadé qu’une flamme pareille ne pourrait rencontrer qu’un écho rageur parmi l’ensemble de la population, renouant sans le savoir avec la ferveur d’un communiste russe de la grande époque. Pour parfaire son CV militant, il participa aux grèves, plus par principe que par coalition et une fois, il fut victime d’un chaudron et reçut assez de coups pour nourrir trois films supplémentaires.
L’âge allant et les exercices virèrent en épreuves pratique, il devenait difficile de jongler entre concentration et coercition, il abdiqua en serrant les dents, puis vite oublia la passion de ses folles années qu’il décrivait maintenant sur le ton de la badinerie, comme une expression de jeunesse dont il cautionnait en partie la fierté plutôt que les valeurs. Ce fut de justesse qu’il rata ses examens, mais n’étant pas bêta, il avait noyauté pendant ses études autour de lui un réseau puissant qu’il entretenait avec la justesse et la témérité d’une machine et bien vite, on lui proposa quand même du travail qu’il accepta aussi vite.
Bunta ne serait pas réalisateur, pourquoi pas, plutôt assistant de réalisateur, et si l’idée d’être un second n’avait jamais bonne face, il fallait admettre qu’ici, c’était un poste à haute responsabilité : dans ce temple dédié à des moyennes production aux succès critiques plus relatifs que commerciaux, il fallait que tout fut pro-Incontestable et on enchaînait alors les films, généralement de comédie romantique, autour de deux protagonistes à qui le déroulé du script ne laissait aucune chance de ne pas tomber amoureux l’un de l’autre. Ainsi, chaque réalisateur qui voulait tenter sa chance avec un début de carrière rapide pouvait aller fouiller n’importe quel scénario écrit et se procurer un financement quasi-immédiat, à la condition qu’un assistant-réalisateur imposé par le studio fusse présent pour contrôler que le film ne déboulonnait pas du chemin de l’amour obligatoire et éviter une subversion maligne cachée dans la mise-en-scène ou dans un silence légèrement trop présomptueux. Si un poil de sourcil semblait se rebeller contre l’Incontestable, c’était à Bunta de le brosser.
Bunta était à nouveau, un robot dans ce domaine : il avait la veste d’un simple logisticien qui s’arrangeait pour que la machine file le plus vite possible mais en vérité, c’était le poseur de rails. Il touchait à tout lui-même si bien que les films du studio étaient en vérité, bicéphales. Le réalisateur avait son autorité, son ego et son mégaphone mais il aurait fallu être l’ombre de Bunta pour être témoin des milliers de retouches qu’il effectuait sur chaque projet pour s’assurer, millimètre après millimètre, qu’il serait calibré pour la propagande étatique ; quand le réalisateur se rendait compte à un moment de la cage de verre dans laquelle son oeuvre ne pourrait sortir, Bunta faisait comprendre avec l’avalanche de sa gouaille, voire pire, peu de mots, qu’il ne fallait rien espérer (“Ca ne va pas plaire” a arrêté à lui seul onze égarements). Porte-parole direct de ses supérieurs qui lui accordaient toute sa confiance, Bunta était partout à la fois : il pouvait parler aux acteurs sur leur jeu pendant le café du matin, rectifier des lignes de script, choisir les tissus ensuite, commenter la lumière, bouger les meubles de la scène, gérer les troupes, remplacer à la réal, retoucher le montage, corriger le maquillage ; non pas qu’il était doué dans les domaines auxquels il attribuait sa contribution, mais il comprenait juste ce qu’on attendait de lui.
A vrai dire, comme la grande majorité des Japonais de son époque, l’Incontestable n’était pas une bête noire pour Bunta et même s’il ne tirait pas spécifiquement un quelconque patriotisme à servir les intérêts de la communication gouvernementale - comme il ne tirait aucune honte d’ailleurs, de ne travailler que sur des travaux sans grande saveur - il s’accommodait très bien de la situation et de la paie qui s’en suivait. Il était apprécié au travail, il s’entendait bien avec tout le monde même si on sentait que son professionnalisme était aussi le masque d’un être bourru aux manières peu délicates. Un jour où les heures s’étaient enchaînées, un jour de grande chaleur en plus, de rage sur une intempérie soudaine qui arrêta le tournage sec, il avait balancé sa chaise au milieu du parc ; pis, il ne s’en était jamais excusé.
Quoi dire sur le Bunta d’aujourd’hui ? L’histoire est banale mais à la fin se profile l’être rare de quelqu’un d’assez heureux : son travail lui plaisait suffisamment pour ne pas s’en plaindre, il avait un réseau, de nombreux amis, il était confiant dans sa peau surtout depuis qu’il s’était mis au sport, fumait le cigare comme pour se détacher de ses parents avec l’orgueil naïf de quelqu’un qui se croit très riche, adore sa Lexus, philosophe au comptoir, charmeur et il avait encore l’espoir de tomber sur une belle dame, si possible dix ans plus jeune, quand la lettre rose tomberait. Il ne croyait pas au bonheur véritable mais, bien senti dans sa vie, il s’imaginait que même dans le pire des cas, il n’y aurait qu’un détour par la chambre à faire, ce qui n’était jamais désagréable, même dans le noir complet pour garder la fantasie intacte. Bunta honorait souvent ses parents d’une enveloppe brune, deux fois par mois avec de l’aide financière et ne stressait qu’en de rares occasions. Il sortait souvent, bon vivant, le rire trop fort pour être conservé entre ces murs. Il a su esquiver la plupart des drames de ces dernières années, il en plaisante encore, qu’il n’était pas assez important pour être une victime des anges, si on oblitère un oncle paternel qui pensait qu'il avait tout donné à son travail jusqu'à ce que la première vague lui embarque tout le reste.
Vivant aisément d'un salaire décent et de primes conséquentes pour chaque film qu'il ficelait, les remous des dernières années ont été une véritable tragédie et en même temps, une incroyable opportunité pour la boîte de production qui l'avait à sa botte. Tragédie car les studios datant de 2043 ont été noyés, la hauteur de leur valeur historique égalant presque l'intérêt du loyer peu élevé - et on ne parle pas des pertes financières, bien sûr, et créatives car une bonne partie des scripts envoyés par des jeunes scénaristes dans ces années ont été entassés puis savamment oubliés quand des nouvelles opportunités ont émergé. Bunta ne compte plus les projets en cours et prévus de deux jeunes mariés aigris que des typhons réunissaient dans les ruines qu'ils avaient laissé comme si Cupidon lui-même avait éternué dans la flotte ; et que les projets sociaux du gouvernement vers mi-11 étaient pratiques quand les éperdus encore naïfs s'en retrouvaient leurs vieux amants pour se rendre compte de la banalité de leurs échanges et de la platitude de sentiments bêtas, et les laissaient là, sans même les toucher, pour retourner dans les bras évidents que l'Incontestable leur avait donnés. Bunta ne jugeait pas, c'était son taff, puis il connaissait les gens : la grande majorité des spectateurs ne cherchaient au cinéma que des fruits dont il connaissait le goût, alors si ça faisait plaisir aux personnes âgées de voir un peu de bonheur à l'écran, ça valait aussi bien que de branler les intellos avec un film mongol tourné à l'envers dans des steppes ravagées par un filtre jaunasse.
Le collège fut dur, comme il l’est pour tout le monde - Bunta avait de l’embonpoint et beaucoup d’ennemis. Sous les coups, il se forgea et au lycée, il finit en masse aiguisée. Il était de ces gens que la vie rende fort car revanchard avant le reste, l’âme énorme assurément car pleine de choses à dire, il se développa assez vite une maturité et une aisance sociale qui devinrent sa figure de proue qu’il navigua jusqu’aux dernières études. Son père était aussi un costaud, un ancien des forces de défense reconverti marinier, un homme qui a autant de poigne sur ses désirs et ses hurlements qu’il laisse toutes ses responsabilités filer de ses mains à la maison, faisant de lui le plus précieux bibelot de l’ensemble et aussi le plus bruyant ; un homme fort le jour, un filet de fumée le soir. Quant à sa femme, grande cuisinière du gras et de la portion généreuse avait été infirmière comme ses cinq mères avant elle et comme elles, avait quitté peu ou prou d’années plus tard, le service pour la maison à la naissance de son premier enfant - Bunta -, faisant d’elle un reflet de reflet très particulier d’une époque plus servile dont elle ne soupçonnait pas le poids mais qu’elle portait avec l’insouciance des Atlas qui ignoraient profondément le nom de la planète sur leurs épaules.
Quittant un nid aux murs jaunes de cigarette après les premiers diplômes, Bunta partit au cinéma pour devenir réalisateur. Il portait en ces temps-là de profonds tracas sociaux et voulait de la pellicule un exutoire ; il était persuadé qu’une flamme pareille ne pourrait rencontrer qu’un écho rageur parmi l’ensemble de la population, renouant sans le savoir avec la ferveur d’un communiste russe de la grande époque. Pour parfaire son CV militant, il participa aux grèves, plus par principe que par coalition et une fois, il fut victime d’un chaudron et reçut assez de coups pour nourrir trois films supplémentaires.
L’âge allant et les exercices virèrent en épreuves pratique, il devenait difficile de jongler entre concentration et coercition, il abdiqua en serrant les dents, puis vite oublia la passion de ses folles années qu’il décrivait maintenant sur le ton de la badinerie, comme une expression de jeunesse dont il cautionnait en partie la fierté plutôt que les valeurs. Ce fut de justesse qu’il rata ses examens, mais n’étant pas bêta, il avait noyauté pendant ses études autour de lui un réseau puissant qu’il entretenait avec la justesse et la témérité d’une machine et bien vite, on lui proposa quand même du travail qu’il accepta aussi vite.
Bunta ne serait pas réalisateur, pourquoi pas, plutôt assistant de réalisateur, et si l’idée d’être un second n’avait jamais bonne face, il fallait admettre qu’ici, c’était un poste à haute responsabilité : dans ce temple dédié à des moyennes production aux succès critiques plus relatifs que commerciaux, il fallait que tout fut pro-Incontestable et on enchaînait alors les films, généralement de comédie romantique, autour de deux protagonistes à qui le déroulé du script ne laissait aucune chance de ne pas tomber amoureux l’un de l’autre. Ainsi, chaque réalisateur qui voulait tenter sa chance avec un début de carrière rapide pouvait aller fouiller n’importe quel scénario écrit et se procurer un financement quasi-immédiat, à la condition qu’un assistant-réalisateur imposé par le studio fusse présent pour contrôler que le film ne déboulonnait pas du chemin de l’amour obligatoire et éviter une subversion maligne cachée dans la mise-en-scène ou dans un silence légèrement trop présomptueux. Si un poil de sourcil semblait se rebeller contre l’Incontestable, c’était à Bunta de le brosser.
Bunta était à nouveau, un robot dans ce domaine : il avait la veste d’un simple logisticien qui s’arrangeait pour que la machine file le plus vite possible mais en vérité, c’était le poseur de rails. Il touchait à tout lui-même si bien que les films du studio étaient en vérité, bicéphales. Le réalisateur avait son autorité, son ego et son mégaphone mais il aurait fallu être l’ombre de Bunta pour être témoin des milliers de retouches qu’il effectuait sur chaque projet pour s’assurer, millimètre après millimètre, qu’il serait calibré pour la propagande étatique ; quand le réalisateur se rendait compte à un moment de la cage de verre dans laquelle son oeuvre ne pourrait sortir, Bunta faisait comprendre avec l’avalanche de sa gouaille, voire pire, peu de mots, qu’il ne fallait rien espérer (“Ca ne va pas plaire” a arrêté à lui seul onze égarements). Porte-parole direct de ses supérieurs qui lui accordaient toute sa confiance, Bunta était partout à la fois : il pouvait parler aux acteurs sur leur jeu pendant le café du matin, rectifier des lignes de script, choisir les tissus ensuite, commenter la lumière, bouger les meubles de la scène, gérer les troupes, remplacer à la réal, retoucher le montage, corriger le maquillage ; non pas qu’il était doué dans les domaines auxquels il attribuait sa contribution, mais il comprenait juste ce qu’on attendait de lui.
A vrai dire, comme la grande majorité des Japonais de son époque, l’Incontestable n’était pas une bête noire pour Bunta et même s’il ne tirait pas spécifiquement un quelconque patriotisme à servir les intérêts de la communication gouvernementale - comme il ne tirait aucune honte d’ailleurs, de ne travailler que sur des travaux sans grande saveur - il s’accommodait très bien de la situation et de la paie qui s’en suivait. Il était apprécié au travail, il s’entendait bien avec tout le monde même si on sentait que son professionnalisme était aussi le masque d’un être bourru aux manières peu délicates. Un jour où les heures s’étaient enchaînées, un jour de grande chaleur en plus, de rage sur une intempérie soudaine qui arrêta le tournage sec, il avait balancé sa chaise au milieu du parc ; pis, il ne s’en était jamais excusé.
Quoi dire sur le Bunta d’aujourd’hui ? L’histoire est banale mais à la fin se profile l’être rare de quelqu’un d’assez heureux : son travail lui plaisait suffisamment pour ne pas s’en plaindre, il avait un réseau, de nombreux amis, il était confiant dans sa peau surtout depuis qu’il s’était mis au sport, fumait le cigare comme pour se détacher de ses parents avec l’orgueil naïf de quelqu’un qui se croit très riche, adore sa Lexus, philosophe au comptoir, charmeur et il avait encore l’espoir de tomber sur une belle dame, si possible dix ans plus jeune, quand la lettre rose tomberait. Il ne croyait pas au bonheur véritable mais, bien senti dans sa vie, il s’imaginait que même dans le pire des cas, il n’y aurait qu’un détour par la chambre à faire, ce qui n’était jamais désagréable, même dans le noir complet pour garder la fantasie intacte. Bunta honorait souvent ses parents d’une enveloppe brune, deux fois par mois avec de l’aide financière et ne stressait qu’en de rares occasions. Il sortait souvent, bon vivant, le rire trop fort pour être conservé entre ces murs. Il a su esquiver la plupart des drames de ces dernières années, il en plaisante encore, qu’il n’était pas assez important pour être une victime des anges, si on oblitère un oncle paternel qui pensait qu'il avait tout donné à son travail jusqu'à ce que la première vague lui embarque tout le reste.
Vivant aisément d'un salaire décent et de primes conséquentes pour chaque film qu'il ficelait, les remous des dernières années ont été une véritable tragédie et en même temps, une incroyable opportunité pour la boîte de production qui l'avait à sa botte. Tragédie car les studios datant de 2043 ont été noyés, la hauteur de leur valeur historique égalant presque l'intérêt du loyer peu élevé - et on ne parle pas des pertes financières, bien sûr, et créatives car une bonne partie des scripts envoyés par des jeunes scénaristes dans ces années ont été entassés puis savamment oubliés quand des nouvelles opportunités ont émergé. Bunta ne compte plus les projets en cours et prévus de deux jeunes mariés aigris que des typhons réunissaient dans les ruines qu'ils avaient laissé comme si Cupidon lui-même avait éternué dans la flotte ; et que les projets sociaux du gouvernement vers mi-11 étaient pratiques quand les éperdus encore naïfs s'en retrouvaient leurs vieux amants pour se rendre compte de la banalité de leurs échanges et de la platitude de sentiments bêtas, et les laissaient là, sans même les toucher, pour retourner dans les bras évidents que l'Incontestable leur avait donnés. Bunta ne jugeait pas, c'était son taff, puis il connaissait les gens : la grande majorité des spectateurs ne cherchaient au cinéma que des fruits dont il connaissait le goût, alors si ça faisait plaisir aux personnes âgées de voir un peu de bonheur à l'écran, ça valait aussi bien que de branler les intellos avec un film mongol tourné à l'envers dans des steppes ravagées par un filtre jaunasse.
Physique
Ca me charrie, droit dans le pif que je fais mon âge, ce qui est la politesse sucre-glace pour dire que je ploie avant l’heure, je poivre-sel féroce, et que l’armée de paysans du temps me creuse les sillons pour les printemps de la vieillesse à venir. Au banc des accusés on appellera à la barre mes excès de vie, le rab inévitable qui rallongeait mes repas, la bière et le saké et les gros cigares qui me déculpabilisaient de ne plus enchaîner les clopes. Je pensais que le sport allait jouer en ma faveur, mais trop irrégulier puis n’importe comment. Mon corps est sur une autoroute, il fonce toujours trop vite : le poids, les muscles, tout varie à grande vitesse comme s’il zigzaguait entre les régimes et la bonne volonté… Autant dire que j’ai vite abandonné la bonne tenue, je me tape des recommandations, comme le vaisseau qui craint rien des récifs quand il ne les repère pas. L’organisme excelle en excessif, chaise musicale entre les muscles et le relâchement.
Je suis une bonne boule, que voulez-vous, je vais pas me plaindre, je sais que les squelettons auraient voulu de mes épaules, ma largeur, mon cou de boeuf, mes collines de biceps et mes tartines de pogne, quitte à se plaindre de ma bedaine ensuite, mais j’impressionne, je peux faire semblant que non mais mentir c’est moche. Si mon corps est un temple, c’est un primitif, une bonne grosse mosquée d’avant à moitié enterrée sous terre. Pas facile de me bouger ou de m’arrêter quand je suis lancé, j’ai le grand front, les bonnes mimines, le gros pif, à la limite, je suis pas grand. Je sue vite, merci de la remarque, surtout que j’ai le geste précis et lourd et j’abuse de mouvements, surtout en tournage puis j’ai cinq secondes un nouveau truc dans la pogne, c’est à se demander ce que je fous du reste.
On pourrait me croire éberlué, j’ai pas la gueule du diplôme en poche mais je crois que mes yeux me protègent de la mesquinerie simple : j’ai des yeux d’aigle, je furète partout, quand j’appelle, mes yeux apostrophent, quand je regarde, je scrute et si je scrute, je vise. Je me méfie toujours les premières secondes qu’on m’interpelle puis je détends le regard et pour les stagiaires, c’est comme si j’arrêtais de pointer un fusil vers eux. Pis aucun con a l’oeil qui pétille, règle d’or. J’ai le rire grand en plus.
Question mode, je sais plus quoi vous dire, c’est pas mon terrain. Le confort, c’est bien mais je préfère le pratique, le tissu dur et les pompes de marche, les bottes d’avant-guerre, les shorts beige pourraves, j’en ai plein, les polos sans rien dessus, noir, oui, c’est moi aussi. Moi, je suis fier de ma caisse, une Lexus payée avec mon blé, puis j’adore mes lunettes de soleil rondes, ça m’embellit pas mais ça fait le charme. Je porte des bagues quelques fois, bientôt le tatouage.
Je suis une bonne boule, que voulez-vous, je vais pas me plaindre, je sais que les squelettons auraient voulu de mes épaules, ma largeur, mon cou de boeuf, mes collines de biceps et mes tartines de pogne, quitte à se plaindre de ma bedaine ensuite, mais j’impressionne, je peux faire semblant que non mais mentir c’est moche. Si mon corps est un temple, c’est un primitif, une bonne grosse mosquée d’avant à moitié enterrée sous terre. Pas facile de me bouger ou de m’arrêter quand je suis lancé, j’ai le grand front, les bonnes mimines, le gros pif, à la limite, je suis pas grand. Je sue vite, merci de la remarque, surtout que j’ai le geste précis et lourd et j’abuse de mouvements, surtout en tournage puis j’ai cinq secondes un nouveau truc dans la pogne, c’est à se demander ce que je fous du reste.
On pourrait me croire éberlué, j’ai pas la gueule du diplôme en poche mais je crois que mes yeux me protègent de la mesquinerie simple : j’ai des yeux d’aigle, je furète partout, quand j’appelle, mes yeux apostrophent, quand je regarde, je scrute et si je scrute, je vise. Je me méfie toujours les premières secondes qu’on m’interpelle puis je détends le regard et pour les stagiaires, c’est comme si j’arrêtais de pointer un fusil vers eux. Pis aucun con a l’oeil qui pétille, règle d’or. J’ai le rire grand en plus.
Question mode, je sais plus quoi vous dire, c’est pas mon terrain. Le confort, c’est bien mais je préfère le pratique, le tissu dur et les pompes de marche, les bottes d’avant-guerre, les shorts beige pourraves, j’en ai plein, les polos sans rien dessus, noir, oui, c’est moi aussi. Moi, je suis fier de ma caisse, une Lexus payée avec mon blé, puis j’adore mes lunettes de soleil rondes, ça m’embellit pas mais ça fait le charme. Je porte des bagues quelques fois, bientôt le tatouage.
Caractère
Y a pas de secret, je suis un bon vivant, bon client, je me marre comme une camionnette drôle, je m’ouvre aux gens à la seconde où je les croise, quand je serre la main, c’est avec vigueur, je tape bien sur les épaules, je suis agréable avec tout le monde et comme j’intimide assez rapidement, ça rassure quand on voit que je mange pas des mômes à la cantoche.
Je suis un animal sociable, je cherche pas le pourquoi du comment, c’est comment ton nom ? Ok, je vois, écris-moi si je comprends pas, tu peux compter sur moi maintenant. Moi, j’ai toute confiance en moi et je sais soigner le réseau, tu réussis pas autrement dans le cinéma. Tes enfants, je me souviens de leurs noms, ta femme, sa robe préférée, vos dernières anedotes, c’est ma base de discussions quand on se reverra. Je sais pas si j’aime les gens, certainement, même si je suis pas le dernier à trouver les cons un peu partout ; je me dis juste que je sais être aimable, je suis intrusif comme il faut, j’ai la question qui fonce pour péter la glace et si vous êtes timides, je souris et ça fond tout seul. Après, croyez-pas que je verse dans la stratégie et j’amadoue personne, je me respecte avant vous et si vous m’aimez pas, c’est tant pis pour votre pomme. J’ai l’approche facile et quand on est potes, on est liés.
Mes amis, je les aime plus que tout, point barre. Personne ne chiale sans que je vienne, aucun drame ne se résout sans que je foute mes grosses pattes quelque part, aucune bière ne se décapsule sans moi, enfin, vous comprenez. Si je vous ai dans le coeur, ça s’en échappe pas, ça restera jusqu’à ma mort et jusque-là, vous avez un souci, je vous dépanne. Du fric, une oreille, un moteur qui pète, un coup dans la gueule, je fournis tous les services. J’aime fort, comme un ours, c’est ma meilleure qualité. Ma famille, mes amis, je me vois bien le pilier inébranlable de tout ce monde, le noeud solide. Après d’habitude, je m’épanche pas trop sur moi, je suis fort comme faut, j’ai le fluide pour faire tourner la machine sans chialer dans le mouchoir.
Après, dans le travail, je suis intransigeant sur tout. Je me tape tous les détails, les questions les plus connes, je rameute ou engueule les bonnes équipes, je syncrétise les crétins et je synthétise le script, tout doit se conjuguer selon le plan parfait et mon job, c’est de dessiner ce dernier. Je connais le métier quasi depuis que je sors de l’école, je peux vous dire que je suis efficace et ça, c’est parce que tout le monde me fait confiance : j’ai les compétences, j’ai les infos dans le crâne ou pas trop loin, je sais qui gère qui, parce que oui, c’est compris maintenant, j’ai une excellente mémoire. Je turbine peut-être pas dans les hautes sphères de la science mais au moins, je tiens ma barque dans mon domaine. Faut pas me faire chier quand je bosse, c’est tout ce que je demande. Je suis plus ton pote, j’ai plus de pote, je veux bien faire ami-ami mais jamais ami, en tout cas, entre les horaires et je suis carré. D’un sourire à la taloche, c’est qu’une question de gorgées de café.
Je suis pas une bête politique, non. Mais comme j’aime les gens, je défends l’Incontestable : je sais que tout le monde est à-côté de ses pompes, autant qu’une machine nous dirige et d’ailleurs, si elle pouvait gérer l’économie, je dirais oui sans hésiter, comme s’il y avait besoin d’une âme pour s’occuper de la basse oeuvre. Plus vous virez de politique, plus je signe. Me marier de force ? Qu’ils y aillent, j’accepte, pas de thon, pas de planche, je veux une femme de caractère comme moi, haute dans le délire avec des courbes qui te carressent les yeux.
Bon, je suis brute, pas de subtilité. Je reste simple, je circonvole pas et j’appelle un chat un chat, je ramène à terre comme j’abats les grues, t’as chialé une fois, tu me sors pas l’encore. C’est peut-être ma limite, j’empathise pas des masses quand vous me saoulez. Tout ce qui est chialeries, j’ai ma dose rapidement, vos angoisses et vos dépressions, je me sens con comme un amour qu’a plus de doigt. Je suis bien dans ma tête, il me faut le corps que j’ai pour porter dedans toute la confiance que j’ai en moi mais si vous respectez plus mon schéma d’attitude, je me perds dans vos montagnes.
Roh, mettons que je suis peut-être con ici et là. Buté comme un âne, je suis tếtu et je lâche pas la bouffe quand elle est dans ma gueule. Et la colère peut vite venir, peut-être, d’accord mais si Dieu me voulait sage, il m’aurait filé des tartines pour pecs. Je suis d’avis que personne fait chier personne, on reste tous dans nos apparts, on comprend que tout le monde a ses raisons d’avoir tort, chacun plie sous son métier et chacun cherche l’apéro, la détente, le paradis, la vie va filer pour tout le monde, basta.
Je suis un animal sociable, je cherche pas le pourquoi du comment, c’est comment ton nom ? Ok, je vois, écris-moi si je comprends pas, tu peux compter sur moi maintenant. Moi, j’ai toute confiance en moi et je sais soigner le réseau, tu réussis pas autrement dans le cinéma. Tes enfants, je me souviens de leurs noms, ta femme, sa robe préférée, vos dernières anedotes, c’est ma base de discussions quand on se reverra. Je sais pas si j’aime les gens, certainement, même si je suis pas le dernier à trouver les cons un peu partout ; je me dis juste que je sais être aimable, je suis intrusif comme il faut, j’ai la question qui fonce pour péter la glace et si vous êtes timides, je souris et ça fond tout seul. Après, croyez-pas que je verse dans la stratégie et j’amadoue personne, je me respecte avant vous et si vous m’aimez pas, c’est tant pis pour votre pomme. J’ai l’approche facile et quand on est potes, on est liés.
Mes amis, je les aime plus que tout, point barre. Personne ne chiale sans que je vienne, aucun drame ne se résout sans que je foute mes grosses pattes quelque part, aucune bière ne se décapsule sans moi, enfin, vous comprenez. Si je vous ai dans le coeur, ça s’en échappe pas, ça restera jusqu’à ma mort et jusque-là, vous avez un souci, je vous dépanne. Du fric, une oreille, un moteur qui pète, un coup dans la gueule, je fournis tous les services. J’aime fort, comme un ours, c’est ma meilleure qualité. Ma famille, mes amis, je me vois bien le pilier inébranlable de tout ce monde, le noeud solide. Après d’habitude, je m’épanche pas trop sur moi, je suis fort comme faut, j’ai le fluide pour faire tourner la machine sans chialer dans le mouchoir.
Après, dans le travail, je suis intransigeant sur tout. Je me tape tous les détails, les questions les plus connes, je rameute ou engueule les bonnes équipes, je syncrétise les crétins et je synthétise le script, tout doit se conjuguer selon le plan parfait et mon job, c’est de dessiner ce dernier. Je connais le métier quasi depuis que je sors de l’école, je peux vous dire que je suis efficace et ça, c’est parce que tout le monde me fait confiance : j’ai les compétences, j’ai les infos dans le crâne ou pas trop loin, je sais qui gère qui, parce que oui, c’est compris maintenant, j’ai une excellente mémoire. Je turbine peut-être pas dans les hautes sphères de la science mais au moins, je tiens ma barque dans mon domaine. Faut pas me faire chier quand je bosse, c’est tout ce que je demande. Je suis plus ton pote, j’ai plus de pote, je veux bien faire ami-ami mais jamais ami, en tout cas, entre les horaires et je suis carré. D’un sourire à la taloche, c’est qu’une question de gorgées de café.
Je suis pas une bête politique, non. Mais comme j’aime les gens, je défends l’Incontestable : je sais que tout le monde est à-côté de ses pompes, autant qu’une machine nous dirige et d’ailleurs, si elle pouvait gérer l’économie, je dirais oui sans hésiter, comme s’il y avait besoin d’une âme pour s’occuper de la basse oeuvre. Plus vous virez de politique, plus je signe. Me marier de force ? Qu’ils y aillent, j’accepte, pas de thon, pas de planche, je veux une femme de caractère comme moi, haute dans le délire avec des courbes qui te carressent les yeux.
Bon, je suis brute, pas de subtilité. Je reste simple, je circonvole pas et j’appelle un chat un chat, je ramène à terre comme j’abats les grues, t’as chialé une fois, tu me sors pas l’encore. C’est peut-être ma limite, j’empathise pas des masses quand vous me saoulez. Tout ce qui est chialeries, j’ai ma dose rapidement, vos angoisses et vos dépressions, je me sens con comme un amour qu’a plus de doigt. Je suis bien dans ma tête, il me faut le corps que j’ai pour porter dedans toute la confiance que j’ai en moi mais si vous respectez plus mon schéma d’attitude, je me perds dans vos montagnes.
Roh, mettons que je suis peut-être con ici et là. Buté comme un âne, je suis tếtu et je lâche pas la bouffe quand elle est dans ma gueule. Et la colère peut vite venir, peut-être, d’accord mais si Dieu me voulait sage, il m’aurait filé des tartines pour pecs. Je suis d’avis que personne fait chier personne, on reste tous dans nos apparts, on comprend que tout le monde a ses raisons d’avoir tort, chacun plie sous son métier et chacun cherche l’apéro, la détente, le paradis, la vie va filer pour tout le monde, basta.
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Bunta Nakayama
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Bienvenu et bon courage pour la fiche o/
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... Mais, si "ça va le faire" ! Bienvenue !
Voilà un personnage qui sort des sentiers battus !
J'aime beaucoup l'autodérision de Bunta dans la partie dédiée physique ainsi que certaines images qu'il emploie pour se décrire.
Honnêtement, ça annonce du lourd pour le reste de la fiche ! Il me tarde d'en savoir plus.
Bonne rédaction ! ^^
Voilà un personnage qui sort des sentiers battus !
J'aime beaucoup l'autodérision de Bunta dans la partie dédiée physique ainsi que certaines images qu'il emploie pour se décrire.
Honnêtement, ça annonce du lourd pour le reste de la fiche ! Il me tarde d'en savoir plus.
Bonne rédaction ! ^^
Lucas Martin
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Hey you.
Enfin te voilà
Bon courage pour ta validation ! (même si j'ai aucun doute sur celle-ci, en vrai... )
Hâte de retrouver ta plume en jeu ! \o/
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Astrée Nakayama
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*sort les popcorns* J'aime beaucoup ce que je lis, monsieur.
Une plume fluide et drôle, très imagée. Un plaisir à découvrir !
Bonne rédaction !
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Bunta Nakayama
Merci beaucoup Kaori ^^
Hello Lucas, les retours sont adorables ^^ J'espère que le reste de la fiche sera à la hauteur des premières impressions !
Astrée, je te parle déjà assez, pas besoin qu'on se papouille d'avantage.
Encore une fois, merci Kaeng, je ferais au mieux pour être à la hauteur.
J'ai posté l'histoire maintenant, plus que le caractère et quelques bidouilles pour le vava et je devrais être bon ^^
Hello Lucas, les retours sont adorables ^^ J'espère que le reste de la fiche sera à la hauteur des premières impressions !
Astrée, je te parle déjà assez, pas besoin qu'on se papouille d'avantage.
Encore une fois, merci Kaeng, je ferais au mieux pour être à la hauteur.
J'ai posté l'histoire maintenant, plus que le caractère et quelques bidouilles pour le vava et je devrais être bon ^^
Bunta Nakayama
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Bunta Nakayama
C'est un double post honteux, mais je voulais faire savoir que ma fiche est normalement terminée et qu'elle peut être soumise ainsi, au jugement de la modération o/
Bunta Nakayama
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Ji Kusaka
Modération de fiche
Le staff de Just Married te souhaite la bienvenue sur le forum !
Introduction
Bienvenue sur le forum ! Je valide l’originalité (et l'élan!) de la plume et de l'avatar, mais il nous faudra tout de même le nom de l'artiste ayant réalisé le fanart principal (celui de ton avat) pour l'intégrer au listing !
C'est parti pour la modération !
Histoire
-Il aura 39 ans demain ! (Bon anniversaire!!) autant le modifier de suite dans la fiche de présentation ?
-Je vois que le père de Bunta était militaire. J'imagine qu'il œuvrait au sein des forces maritimes d'auto-défense (vu qu'il est devenu marinier) ? Les forces militaires du Japon sont très particulières depuis que le pays a renoncé à la guerre en tant que droit souverain de la nation.
-Il va falloir inclure de façon un peu plus développée les différents events formant le contexte du forum... J'ai bien noté ta phrase de fin : « Il a su esquiver la plupart des drames de ces dernières années en étant loin ou pas concerné ce qui le faisait dire des fois, toujours en plaisantant, qu’il n’était pas assez important pour être une victime des anges. » mais ça ne va pas suffire pour couvrir l'intégralité des bouleversements qu'à traversé le japon ces dernières années.
Caractère
-C'est tout bon !
Physique
-Tout bon aussi !
Conclusion
Vraiment pas grand chose à dire sinon que Bunta est un perso qui sort du commun malgré qu'il entre dans le « schéma » comme tu le dis ! Je vais tout de même te demander, comme mentionné plus haut, d'inclure à ta fiche les événements principaux de la trame du forum que tu trouveras => Ici. Il aura très certainement perdu des repères, ou bien des proches, lors de Shukumei par exemple !
A très bientôt !
Bon courage pour les modifications ! En cas de problème, de doute, n'hésite pas à contacter un des membres de l'administration, nous serions ravis de te venir en aide ! :)
Analyse : 1/3
Nous analysons au maximum trois fois une fiche, après cela, si nous ne pouvons toujours pas la valider, nous serons malheureusement obligés de la refuser. Nous ne pouvons nous permettre de reprendre chaque fiche dix ou vingt fois, cela serait autant pénible pour vous que pour nous. Merci de votre compréhension.
Ji Kusaka
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Bunta Nakayama
Hello Kohaku ^^
Les rectifications ont été faites pour l'histoire, j'ai rajouté un peu d'informations dans ce qui était le dernier paragraphe, puis un nouveau dernier paragraphe avec plus de précisions sur la manière dont il a absorbé les événements.
J'ai modifié l'âge et rajouté l'illustratrice dans la ligne dédiée.
Et merci pour les retours positifs, j'aimerais tenir cette qualité en rp et je suis content que ça vous plaise. Je découvre un peu le style en même temps que le perso donc désolé si j'ai encore quelques lourdeurs et trop de virgules
Les rectifications ont été faites pour l'histoire, j'ai rajouté un peu d'informations dans ce qui était le dernier paragraphe, puis un nouveau dernier paragraphe avec plus de précisions sur la manière dont il a absorbé les événements.
J'ai modifié l'âge et rajouté l'illustratrice dans la ligne dédiée.
Et merci pour les retours positifs, j'aimerais tenir cette qualité en rp et je suis content que ça vous plaise. Je découvre un peu le style en même temps que le perso donc désolé si j'ai encore quelques lourdeurs et trop de virgules
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Ji Kusaka
C'est bon pour moi!
Juste encore un peu de patience, le temps qu'un admin passe, et Bunta pourra retourner Bunter!
Juste encore un peu de patience, le temps qu'un admin passe, et Bunta pourra retourner Bunter!
Pré-validation par Ko'
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
Ji Kusaka
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Autre:
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Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• De réserver votre avatar ; Réservation avatars si le code n'a pas été ajouté à la fin de votre fiche
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits
- Spoiler:
- Ce qu'ils ont dit :
- [22:06:43] Luz E. Alvadaro : "Le RP plus une passion, une profession" "Makoto Nanase 2017"
- Le plus beau compliment :
- Merci Oz :
Makoto Nanase
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Bunta Nakayama
Ah merci beaucoup !
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