— Just Married —
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08/02/2022
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Je suis: neutre.
Époux/se : Célibataire.
Autre: Merci à Zach pour le kit ♥
Amon Martin
Amon Antef al-Najjr
"Tu es magnifaïk, ma chérie [oops, i lied]"
Généralités Nom ;; al-Najjr Prénoms ;; Amon Antef Âge ;; 39 ans, né le 6 juillet 2074. Genre ;; Masculin. Origines ;; Né égyptien, naturalisé japonais. Activité ;; Makeup artist, YouTubeur beauté. Et certain rajouteraient prostitué à son actif, mais lui ne voit pas cela comme ça. Sexualité ;; Gay as fuck. Avatar ;; OC - Smooshkin Règlement ;; Validé - Ari Chemin ;; Well… it’s been a long time, tout ça tout ça. Commentaire ;; Le deuxième revenant après tout ce temps |
Histoire
Allongé, sur le côté, tu sens une main se glisser sur ta hanche, remonter sur ta taille, venir caresser ton ventre, alors que des lèvres viennent redécouvrir ton cou pour la énième fois de la soirée. De la nuit. L’air est moite, dans la pièce, témoin du plaisir qui s’est donné, reçu, partagé. Tu ne t’attendais, cependant pas, à ce qu’il soit d’humeur bavarde, ce soir.
« Parle-moi de toi, Amon. »
Tu te tournes, pour lui faire face. Il est plus âgé que toi. Plus aisé, également. Mais les rides sur son visage te plaisent. Moins, cependant, que ses yeux, qui te dévorent. Qui brillent d’envie à ton égard. Tu aimes plaire. Il le sait.
« Que veux-tu savoir de plus ? »
Tu demandes, doucement. Tu n’es pas fatigué. Pas ce soir. Et visiblement, lui non plus. Tu te redresses, te moquant bien d’être en tenue d’Adam, pour t’étirer, doucement. Tes épaules craquent, un peu. Tes reins te lancent, légèrement. Mais c’est un sentiment de plénitude qui t’étreint.
« Tout ? Ce que tu veux partager ? D’où viens-tu ? Comment es-tu arrivé là ? Tu as un léger accent, alors… »
Tu réfléchis, doucement. Est-ce que tu peux vraiment lui confier ta vie, comme ça ? Cependant, cela fait quelques temps que tu le côtoies, de manière régulière. Il y a un minimum de confiance qui s’est établie. Il sait qui tu es. Il sait que tu es présent sur les réseaux. Et en même temps, tu sais qu’il est compliqué de faire entièrement confiance à quelqu’un qui pourrait décider de ruiner votre carrière en un tweet. Ou en une photo. Mais en même temps… il n’y a rien sur ta vie que tu puisses lui raconter que ta communauté ne sache pas. Tu pourrais d’ailleurs l’inviter à regarder tes vidéos F.A.Q. Ou celles que tu as posté, il y a quelques années, expliquant ton absence momentanée des réseaux.
Tu soupires, doucement, avant d’attraper ton paquet de cigarettes pour t’en allumer une.
« Tu as raison, j’ai un accent. Je ne suis pas né sur le territoire japonais et, même, je ne suis pas japonais de naissance. »
Il replie un bras, pour s’appuyer sur son coude et t’observer, attentivement.
« Je suis né en Egypte, au sein d’une famille aisée et respectée. J’ai un frère ainé, une sœur cadette et le petit dernier, un frère encore. J’ai… un an et demi d’écart avec mon ainé, un an d’écart avec ma sœur et quatre d’écarts avec mon dernier frère. »
Il t’écoute, attentivement, buvant tes mots. Parfois, tu vois son regard s’attarder sur tes lèvres. Mais pour le moment, tu ne le sens pas se contenir.
« Mon père avait de grands espoirs, quand à ses enfants. Le genre vieux jeu, qui espérait qu’on suive tous son chemin tracé. Que l’on fasse de grandes et longues études pour obtenir des emplois prestigieux. Et qu’on se marie avec des femmes de « notre rang ». »
Tu ricanes, doucement.
« Pour mon frère ainé, ça a plutôt bien fonctionné. Moi, déjà, il a commencé à grincer des dents quand il s’est rendu compte que les matières où j’excellais, c’était plutôt les matières artistiques et littéraires. Le reste… eh. C’est pas mon truc. Mais il se disait que c’était passager et qu’avec des professeurs particuliers en prime, ça irait mieux. »
Tu ramènes la cigarette entre tes lèvres, pour en inspirer une bouffée.
« Heureusement qu’il n’a jamais su que j’ai couché avec la moitié d’entre eux, lorsque j’en ai eu l’âge. »
Tu souris, en penchant la tête sur le côté, en te souvenant des visages. Et des moments passés avec. Eeeh… La jeunesse. Mais une tape, légère, sur ta cuisse, te rappelle au moment présent.
« Jaloux ? »
Tu demandes, doucement, en riant, avant qu’il ne se redresse pour venir saisir les cheveux à la base de ta nuque et t’embrasser avec fougue. Oh. Tu finis, haletant, en le fixant, un sourire amusé sur les lèvres.
« Je devrais peut-être plus te parler de mes anciens amants, si ça t’amène à vouloir me malmener un peu ~. »
Tu grommelles, mais tu sens que ça l’amuse, de te voir taquin, comme ça.
« Bref. Mon enfance, en soi, est basique. Je l’ai passée à accompagner mes parents à des soirées mondaines, à rencontrer des jeunes gens de mon âge, pour commencer à tisser des liens, tout ça. Et puis, à suivre ma scolarité. Basique. Et puis, j’ai grandi. J’ai passé plus de temps sur les réseaux sociaux, et j’ai très vite… découvert le maquillage. Et j’ai trouvé cela fascinant. De la magie. J’empruntais le maquillage de ma sœur et de ma mère, pour m’entrainer sur moi-même, en cachette, au début. Jusqu’à être pris sur le fait par ma petite sœur. Par chance, elle ne m’a pas dénoncé à mon père et on a fait un deal. Je la maquillais, quand elle en avait besoin, et elle se taisait sur mes pratiques jugées, à la maison, comme déviantes. »
Tu marques une pause, alors que ton regard se voile de mélancolie et de tristesse.
« Mais les secrets ne durent jamais longtemps. »
Tu marques une nouvelle pause, pour fumer ta cigarette. Il faut croire que ton malaise s’est fait ressentir, puisque sa main caresse ta cuisse, doucement, dans un geste protecteur, rassurant. Des choses auxquelles tu n’es plus habitué. Auxquelles tu ne voulais plus t’habituer. Tu lui souris, viens poser ta main de libre sur la sienne, doucement. Tu as de la tendresse, pour cet homme.
« Bref. Mon père l’a su. Il l’a su car mon frère ainé m’a surpris, en train de nous maquiller, ma sœur et moi. Et qu’il l’a dit à notre géniteur. Je passe un peu sur le nombre de disputes qu’il y a eu entre eux et moi. J’avais… dix-huit ? Dix-neuf ans ? J’étais en études de droit mais ça ne me plaisait vraiment pas. Moi ce que je voulais vraiment, c’était faire des études en cosmétiques et devenir… eh bien. Ce que je suis aujourd’hui. Makeup artist. Mais c’était hors de question qu’il paie pour des études de… attends, quels étaient ces termes ? Oui… non. Je ne vais pas les répéter. Bref, pour lui, les hommes qui aiment le maquillage sont tous des homosexuels et hors de question que son fils puisse être « contaminé » par ces erreurs de la nature. J’ai profondément eu envie de le gifler. Et je l’ai fait. J’ai porté la main sur mon père. En lui faisant mon coming out, sous le coup de la colère. Et… je me suis fait jeter de la maison. »
Tu soupires, à nouveau. Avant qu’il ne t’interrompe totalement pour venir t’embrasser, de nouveau. T’attirer dans les draps et t’aimer. Tu n’as pas eu le temps de continuer, les nuits sont courtes, quand on s’amuse.
Mais en effet, de retour chez toi, tu ne peux t’empêcher de t’assoir dans un de tes poufs, thé à la main, et d’y songer, de nouveau.
La galère, tu l’as connue. Tu as dû demander à un ami de t’héberger. Ta mère, elle, n’a pas eu son mot à dire, dans tout cela. Mais elle t’a aidé, comme elle a pu. Elle t’a donné de l’argent, sans le dire à ton père. Tu t’es trouvé un job étudiant, en prime. Vendeur dans une boutique, pour pouvoir payer une partie du loyer de ton ami. Et tu as également pu t’inscrire à l’école qui t’intéressait, pour apprendre. Te former. Te perfectionner. Assez pour pouvoir, une fois tes études terminées, trouver un travail, dans une boutique de cosmétiques. Puis, avec un peu plus d’ancienneté, te faire démarcher par une marque, pour les représenter à leur stand. Et petit à petit, réussir à gagner en notoriété et monter dans les échelons. Vingt-trois ans, tu faisais ton premier maquillage pour un shooting, pour une publicité. Du très bon travail. On te rappellera, qu’on t’a dit. Et il faut croire que ton numéro a tourné.
Tu t’es retrouvé dans des bureaux. Embauché, contrat à durée indéterminée pour une marque. On t’a envoyé par monts et par vaux. Jusqu’à ce qu’un collègue et ami ne t’annonce qu’il a lancé son agence de maquilleur. Perplexe, tu lui as demandé comment il envisageait la chose. Regrouper des maquilleurs, et faire l’intermédiaire selon les projets, pour dispatcher les unités sur le terrain. Tu as ri, de la façon dont il te l’a présenté. Mais c’était un challenge. En parallèle, tu as commencé à lancer ta chaine YouTube. Qui a commencé à grimper, petit à petit.
Et l’agence également, a commencé à grimper, petit à petit. Jusqu’à ce qu’on te demande d’aller travailler au Japon. Au début, pour des contrats qui s’y présentaient. Mais tu t’es réellement pris d’affection pour Tokyo. Tu n’étais pas sans savoir la politique en place. Mais tu t’en moquais. Tu te disais qu’au moins. Tu pensais que jamais on ne te mariera. C’était naïf. Mais tu y croyais. Que tu ferais partie des rares incompatibles. Tu as fini par vouloir rester. Tu as quitté l’agence. Tu as été recruté par une nouvelle marque. Tu t’es dit que c’était temporaire. Tu deviendrais freelance, quand tu te seras fait un nom, ici.
Tu as demandé la nationalité japonaise. C’était sans te douter que tu allais relativement vite te retrouver…
Marié. Tu l’as été. Et tu as aimé l’homme à qui l’Incontestable t’avait uni. Pour la première fois de ta vie, tu t’étais autorisé à tomber amoureux. Jusqu’à ce que la mort vous sépare. Shukumei. La vague. La panique. L’angoisse. La peur. Et puis, la douleur. Un corps sans vie. Inerte. Ton cœur, en morceau. Ta vie, sombre. Tes idées, noires. Tu lui en as voulu, à cette machine. Parce qu’il fallait un coupable à ta douleur. Et que c’était elle qui t’avait donné cet homme pour époux. Que c’était à cause d’elle que tu avais découvert ce sentiment fort. Et que c’est à cause d’elle que tu connaissais le deuil et la douleur.
C’est à ce moment là que ta vie est devenue un véritable tourbillon. Tout est flou, encore, dans ton esprit. Tu as disparu, quelques temps des réseaux. Tu ne te sentais pas de gérer ton deuil et ta chaine YouTube. Mais tu as fini par reprendre, petit à petit, après quelques mois, t’excusant pour l’absence. Bien sûr, tu avais perdu des abonnés. Mais le plus gros des fidèles était toujours là.
Mais tu t’es retrouvé de nouveau marié. A deux personnes à la fois. La machine a buggé. Deux parfaits inconnus, auxquels tu n’as pas souhaité t’attacher. Le bon côté de ce bug, ça a été les parties de jambes en l’air qui, elles, te restent incroyablement bien en mémoire. Plus on est de fous, plus on… rit, n’est-ce pas ? Mais ça n’a pas duré. Les choses ont peut-être commencé à rentrer dans l’ordre, non ? Non. Ça a été le bordel. La chasse à l’homme. Et ce gros rhume qui t’a collé à la peau, et qui ne voulait pas se barrer.
Mais ça a fini par se tasser.
Et depuis… depuis, tu t’es lancé, enfin, dans le freelance. Et tu te consacres à ta chaine YouTube, en plus d’être régulièrement appelé pour des shootings, ou des défilés. Tu te noies dans le travail, dans les sorties et dans les bras d’amants divers et variés pour t’oublier. Pour ne pas réfléchir. Ne pas penser.
Tu te crois intouchable, désormais. Car tu as été marié. Tu es veuf. Tu as fait ta part. Tu te mets des œillères, volontairement. Car tu ne veux plus subir, de nouveau, cette douleur. Elle t’effraie, profondément. Alors le travail. C’est bien, le travail, non ? Et puis, sa chaine est plus qu’en pleine essore. Elle a totalement explosé. Il faut dire que depuis le début, Amon vise un public international. Alors… oui, on peut dire que, bien que plus âgé que la grande majorité de ses congénères YouTubeurs beauté, il est une célébrité dans le milieu, malgré tout. Et souvent invité à des événements, divers et variés, et pas toujours sur le territoire japonais. Il voyage. Il croque la vie à pleine dents, profitant de sa liberté…
« Parle-moi de toi, Amon. »
Tu te tournes, pour lui faire face. Il est plus âgé que toi. Plus aisé, également. Mais les rides sur son visage te plaisent. Moins, cependant, que ses yeux, qui te dévorent. Qui brillent d’envie à ton égard. Tu aimes plaire. Il le sait.
« Que veux-tu savoir de plus ? »
Tu demandes, doucement. Tu n’es pas fatigué. Pas ce soir. Et visiblement, lui non plus. Tu te redresses, te moquant bien d’être en tenue d’Adam, pour t’étirer, doucement. Tes épaules craquent, un peu. Tes reins te lancent, légèrement. Mais c’est un sentiment de plénitude qui t’étreint.
« Tout ? Ce que tu veux partager ? D’où viens-tu ? Comment es-tu arrivé là ? Tu as un léger accent, alors… »
Tu réfléchis, doucement. Est-ce que tu peux vraiment lui confier ta vie, comme ça ? Cependant, cela fait quelques temps que tu le côtoies, de manière régulière. Il y a un minimum de confiance qui s’est établie. Il sait qui tu es. Il sait que tu es présent sur les réseaux. Et en même temps, tu sais qu’il est compliqué de faire entièrement confiance à quelqu’un qui pourrait décider de ruiner votre carrière en un tweet. Ou en une photo. Mais en même temps… il n’y a rien sur ta vie que tu puisses lui raconter que ta communauté ne sache pas. Tu pourrais d’ailleurs l’inviter à regarder tes vidéos F.A.Q. Ou celles que tu as posté, il y a quelques années, expliquant ton absence momentanée des réseaux.
Tu soupires, doucement, avant d’attraper ton paquet de cigarettes pour t’en allumer une.
« Tu as raison, j’ai un accent. Je ne suis pas né sur le territoire japonais et, même, je ne suis pas japonais de naissance. »
Il replie un bras, pour s’appuyer sur son coude et t’observer, attentivement.
« Je suis né en Egypte, au sein d’une famille aisée et respectée. J’ai un frère ainé, une sœur cadette et le petit dernier, un frère encore. J’ai… un an et demi d’écart avec mon ainé, un an d’écart avec ma sœur et quatre d’écarts avec mon dernier frère. »
Il t’écoute, attentivement, buvant tes mots. Parfois, tu vois son regard s’attarder sur tes lèvres. Mais pour le moment, tu ne le sens pas se contenir.
« Mon père avait de grands espoirs, quand à ses enfants. Le genre vieux jeu, qui espérait qu’on suive tous son chemin tracé. Que l’on fasse de grandes et longues études pour obtenir des emplois prestigieux. Et qu’on se marie avec des femmes de « notre rang ». »
Tu ricanes, doucement.
« Pour mon frère ainé, ça a plutôt bien fonctionné. Moi, déjà, il a commencé à grincer des dents quand il s’est rendu compte que les matières où j’excellais, c’était plutôt les matières artistiques et littéraires. Le reste… eh. C’est pas mon truc. Mais il se disait que c’était passager et qu’avec des professeurs particuliers en prime, ça irait mieux. »
Tu ramènes la cigarette entre tes lèvres, pour en inspirer une bouffée.
« Heureusement qu’il n’a jamais su que j’ai couché avec la moitié d’entre eux, lorsque j’en ai eu l’âge. »
Tu souris, en penchant la tête sur le côté, en te souvenant des visages. Et des moments passés avec. Eeeh… La jeunesse. Mais une tape, légère, sur ta cuisse, te rappelle au moment présent.
« Jaloux ? »
Tu demandes, doucement, en riant, avant qu’il ne se redresse pour venir saisir les cheveux à la base de ta nuque et t’embrasser avec fougue. Oh. Tu finis, haletant, en le fixant, un sourire amusé sur les lèvres.
« Je devrais peut-être plus te parler de mes anciens amants, si ça t’amène à vouloir me malmener un peu ~. »
Tu grommelles, mais tu sens que ça l’amuse, de te voir taquin, comme ça.
« Bref. Mon enfance, en soi, est basique. Je l’ai passée à accompagner mes parents à des soirées mondaines, à rencontrer des jeunes gens de mon âge, pour commencer à tisser des liens, tout ça. Et puis, à suivre ma scolarité. Basique. Et puis, j’ai grandi. J’ai passé plus de temps sur les réseaux sociaux, et j’ai très vite… découvert le maquillage. Et j’ai trouvé cela fascinant. De la magie. J’empruntais le maquillage de ma sœur et de ma mère, pour m’entrainer sur moi-même, en cachette, au début. Jusqu’à être pris sur le fait par ma petite sœur. Par chance, elle ne m’a pas dénoncé à mon père et on a fait un deal. Je la maquillais, quand elle en avait besoin, et elle se taisait sur mes pratiques jugées, à la maison, comme déviantes. »
Tu marques une pause, alors que ton regard se voile de mélancolie et de tristesse.
« Mais les secrets ne durent jamais longtemps. »
Tu marques une nouvelle pause, pour fumer ta cigarette. Il faut croire que ton malaise s’est fait ressentir, puisque sa main caresse ta cuisse, doucement, dans un geste protecteur, rassurant. Des choses auxquelles tu n’es plus habitué. Auxquelles tu ne voulais plus t’habituer. Tu lui souris, viens poser ta main de libre sur la sienne, doucement. Tu as de la tendresse, pour cet homme.
« Bref. Mon père l’a su. Il l’a su car mon frère ainé m’a surpris, en train de nous maquiller, ma sœur et moi. Et qu’il l’a dit à notre géniteur. Je passe un peu sur le nombre de disputes qu’il y a eu entre eux et moi. J’avais… dix-huit ? Dix-neuf ans ? J’étais en études de droit mais ça ne me plaisait vraiment pas. Moi ce que je voulais vraiment, c’était faire des études en cosmétiques et devenir… eh bien. Ce que je suis aujourd’hui. Makeup artist. Mais c’était hors de question qu’il paie pour des études de… attends, quels étaient ces termes ? Oui… non. Je ne vais pas les répéter. Bref, pour lui, les hommes qui aiment le maquillage sont tous des homosexuels et hors de question que son fils puisse être « contaminé » par ces erreurs de la nature. J’ai profondément eu envie de le gifler. Et je l’ai fait. J’ai porté la main sur mon père. En lui faisant mon coming out, sous le coup de la colère. Et… je me suis fait jeter de la maison. »
Tu soupires, à nouveau. Avant qu’il ne t’interrompe totalement pour venir t’embrasser, de nouveau. T’attirer dans les draps et t’aimer. Tu n’as pas eu le temps de continuer, les nuits sont courtes, quand on s’amuse.
Mais en effet, de retour chez toi, tu ne peux t’empêcher de t’assoir dans un de tes poufs, thé à la main, et d’y songer, de nouveau.
La galère, tu l’as connue. Tu as dû demander à un ami de t’héberger. Ta mère, elle, n’a pas eu son mot à dire, dans tout cela. Mais elle t’a aidé, comme elle a pu. Elle t’a donné de l’argent, sans le dire à ton père. Tu t’es trouvé un job étudiant, en prime. Vendeur dans une boutique, pour pouvoir payer une partie du loyer de ton ami. Et tu as également pu t’inscrire à l’école qui t’intéressait, pour apprendre. Te former. Te perfectionner. Assez pour pouvoir, une fois tes études terminées, trouver un travail, dans une boutique de cosmétiques. Puis, avec un peu plus d’ancienneté, te faire démarcher par une marque, pour les représenter à leur stand. Et petit à petit, réussir à gagner en notoriété et monter dans les échelons. Vingt-trois ans, tu faisais ton premier maquillage pour un shooting, pour une publicité. Du très bon travail. On te rappellera, qu’on t’a dit. Et il faut croire que ton numéro a tourné.
Tu t’es retrouvé dans des bureaux. Embauché, contrat à durée indéterminée pour une marque. On t’a envoyé par monts et par vaux. Jusqu’à ce qu’un collègue et ami ne t’annonce qu’il a lancé son agence de maquilleur. Perplexe, tu lui as demandé comment il envisageait la chose. Regrouper des maquilleurs, et faire l’intermédiaire selon les projets, pour dispatcher les unités sur le terrain. Tu as ri, de la façon dont il te l’a présenté. Mais c’était un challenge. En parallèle, tu as commencé à lancer ta chaine YouTube. Qui a commencé à grimper, petit à petit.
Et l’agence également, a commencé à grimper, petit à petit. Jusqu’à ce qu’on te demande d’aller travailler au Japon. Au début, pour des contrats qui s’y présentaient. Mais tu t’es réellement pris d’affection pour Tokyo. Tu n’étais pas sans savoir la politique en place. Mais tu t’en moquais. Tu te disais qu’au moins. Tu pensais que jamais on ne te mariera. C’était naïf. Mais tu y croyais. Que tu ferais partie des rares incompatibles. Tu as fini par vouloir rester. Tu as quitté l’agence. Tu as été recruté par une nouvelle marque. Tu t’es dit que c’était temporaire. Tu deviendrais freelance, quand tu te seras fait un nom, ici.
Tu as demandé la nationalité japonaise. C’était sans te douter que tu allais relativement vite te retrouver…
Marié. Tu l’as été. Et tu as aimé l’homme à qui l’Incontestable t’avait uni. Pour la première fois de ta vie, tu t’étais autorisé à tomber amoureux. Jusqu’à ce que la mort vous sépare. Shukumei. La vague. La panique. L’angoisse. La peur. Et puis, la douleur. Un corps sans vie. Inerte. Ton cœur, en morceau. Ta vie, sombre. Tes idées, noires. Tu lui en as voulu, à cette machine. Parce qu’il fallait un coupable à ta douleur. Et que c’était elle qui t’avait donné cet homme pour époux. Que c’était à cause d’elle que tu avais découvert ce sentiment fort. Et que c’est à cause d’elle que tu connaissais le deuil et la douleur.
C’est à ce moment là que ta vie est devenue un véritable tourbillon. Tout est flou, encore, dans ton esprit. Tu as disparu, quelques temps des réseaux. Tu ne te sentais pas de gérer ton deuil et ta chaine YouTube. Mais tu as fini par reprendre, petit à petit, après quelques mois, t’excusant pour l’absence. Bien sûr, tu avais perdu des abonnés. Mais le plus gros des fidèles était toujours là.
Mais tu t’es retrouvé de nouveau marié. A deux personnes à la fois. La machine a buggé. Deux parfaits inconnus, auxquels tu n’as pas souhaité t’attacher. Le bon côté de ce bug, ça a été les parties de jambes en l’air qui, elles, te restent incroyablement bien en mémoire. Plus on est de fous, plus on… rit, n’est-ce pas ? Mais ça n’a pas duré. Les choses ont peut-être commencé à rentrer dans l’ordre, non ? Non. Ça a été le bordel. La chasse à l’homme. Et ce gros rhume qui t’a collé à la peau, et qui ne voulait pas se barrer.
Mais ça a fini par se tasser.
Et depuis… depuis, tu t’es lancé, enfin, dans le freelance. Et tu te consacres à ta chaine YouTube, en plus d’être régulièrement appelé pour des shootings, ou des défilés. Tu te noies dans le travail, dans les sorties et dans les bras d’amants divers et variés pour t’oublier. Pour ne pas réfléchir. Ne pas penser.
Tu te crois intouchable, désormais. Car tu as été marié. Tu es veuf. Tu as fait ta part. Tu te mets des œillères, volontairement. Car tu ne veux plus subir, de nouveau, cette douleur. Elle t’effraie, profondément. Alors le travail. C’est bien, le travail, non ? Et puis, sa chaine est plus qu’en pleine essore. Elle a totalement explosé. Il faut dire que depuis le début, Amon vise un public international. Alors… oui, on peut dire que, bien que plus âgé que la grande majorité de ses congénères YouTubeurs beauté, il est une célébrité dans le milieu, malgré tout. Et souvent invité à des événements, divers et variés, et pas toujours sur le territoire japonais. Il voyage. Il croque la vie à pleine dents, profitant de sa liberté…
Caractère
Tu n’aimes pas le vide.
C’est un fait. Tu n’aimes pas ne rien avoir à faire, ne rien avoir à dire, ne rien avoir à montrer. Le calme et la tranquillité ? Tu as beaucoup de mal à apprécier, naturellement. Ce ne sont pas des choses qui vont t’attirer, vers lesquelles tu vas aller, de toi-même. Toi, tu aimes vivre à cent à l’heure, sortir, beaucoup, souvent, que ce soit pour le travail ou pour le loisir. Finir dans les bras de différents hommes. Voyager, par monts et par vaux. Bref, tu es le genre de personne à ne pas tenir en place. À toujours avoir quelque chose à faire. Tout du moins, à toujours vouloir faire quelque chose.
Tu es un passionné.
Tu adores le maquillage. Les produits. Les nouveautés. Appliquer. Sur quelqu’un. Sur toi. Apprendre, constamment. De nouvelles techniques, de nouvelles idées, de nouvelles inspirations. Tu es un artiste en évolution constante. Sans quoi, tu aurais coulé depuis bien longtemps et ne vaudrait plus grand-chose, à l’heure qu’il est. Il faut dire que la concurrence est féroce et que, dans ce milieu, il faut savoir avoir un bon carnet d’adresse. Et entretenir de bonnes relations avec les collègues. Collègues plus jeunes, plus branchés, peut-être plus beaux, selon les critères de chacun, plus vendeurs.
Mais le maquillage n’est pas ton unique passion. Tu adores la danse. Te déhancher, sur un rythme effréné. Et séduire, par le biais de celle-ci. En boite, très souvent. Des clubs selects. Chics. Là où tu peux mettre le grappin sur de gros poissons.
Ah oui, parce que tu es également passionné par l’argent. L’argent, facile, mérité… l’argent. Et pouvoir t’acheter de beaux vêtements, de la bonne nourriture, du bon alcool… Et te faire payer des souliers excessivement chers. Oui, te les faire payer. Bref. L’argent, c’est bien. L’argent, c’est bon. L’argent, t’aimes ça.
Tu aimes ton chat.
Ah, ça, oui. Tu aimes ton chat. C’est la prunelle de tes yeux et tu as vraiment peur rien qu’à l’idée qu’il puisse lui arriver quoi que ce soit. En attendant, tu la gattes. En lui offrant les meilleurs paniers possibles, les meilleurs arbres à chat, la nourriture de la meilleure qualité possible, et payer les meilleurs vétérinaires pour s’occuper d’elle. Bref, oui, ton chat, c’est un peu comme ton enfant. Et tu en prends extrêmement soin.
Tu es une sacré langue de pute, également...
Oh, ça, oui. Tu adores les ragots, tu adores critiquer. Pratique de niveau professionnel, chez toi. Pendant que tu t'occupes d'un-e client-e, assis à la terrasse d'un café, en marchant dans la rue... Tu passes au crible toutes les tenues que tu croises et tu bitch. Dans ta tête ou à voix haute, si tu es accompagné, faisant s'offusquer tes compagnes et compagnons ou les faisant rire aux éclats. Et souvent, les personnes avec qui tu traines ne sont pas les derniers pour surenchérir. Alors mesdames, messieurs, attention, mais le moindre fashion faux pas face à la diva et vous êtes affiché-e-s.
Et sinon, à part tout ça… ?
Et sinon, à part tout ça… Tu es quelqu’un qui aime voir des gens, connus ou inconnus. Qui aime parler, sociabiliser, tisser des liens. Tu laisses rarement indifférent. Et tu peux facilement taper sur les nerfs, c’est un fait, oui. Tu es égocentrique, aime beaucoup parler de toi, même si tu essaies de travailler un peu là-dessus, surtout au niveau professionnel.
Tu as un gros côté diva, exigent, et colérique. Tu en as conscience. Mais ça, tu peines à travailler là-dessus. Mais au moins, tu en as conscience.
Et, lorsqu’on te connaît bien, lorsque tu apprécies quelqu’un, tu as tendance à vouloir le prendre sous ton aile et tout faire pour l’aider. Cela peut-être dans le cadre privé ou professionnel. Même si ça arrive peut-être plus souvent dans le privé. Pour le professionnel… tu es exigent. Mais ça peut arriver. Ça va arriver.
C’est un fait. Tu n’aimes pas ne rien avoir à faire, ne rien avoir à dire, ne rien avoir à montrer. Le calme et la tranquillité ? Tu as beaucoup de mal à apprécier, naturellement. Ce ne sont pas des choses qui vont t’attirer, vers lesquelles tu vas aller, de toi-même. Toi, tu aimes vivre à cent à l’heure, sortir, beaucoup, souvent, que ce soit pour le travail ou pour le loisir. Finir dans les bras de différents hommes. Voyager, par monts et par vaux. Bref, tu es le genre de personne à ne pas tenir en place. À toujours avoir quelque chose à faire. Tout du moins, à toujours vouloir faire quelque chose.
Tu es un passionné.
Tu adores le maquillage. Les produits. Les nouveautés. Appliquer. Sur quelqu’un. Sur toi. Apprendre, constamment. De nouvelles techniques, de nouvelles idées, de nouvelles inspirations. Tu es un artiste en évolution constante. Sans quoi, tu aurais coulé depuis bien longtemps et ne vaudrait plus grand-chose, à l’heure qu’il est. Il faut dire que la concurrence est féroce et que, dans ce milieu, il faut savoir avoir un bon carnet d’adresse. Et entretenir de bonnes relations avec les collègues. Collègues plus jeunes, plus branchés, peut-être plus beaux, selon les critères de chacun, plus vendeurs.
Mais le maquillage n’est pas ton unique passion. Tu adores la danse. Te déhancher, sur un rythme effréné. Et séduire, par le biais de celle-ci. En boite, très souvent. Des clubs selects. Chics. Là où tu peux mettre le grappin sur de gros poissons.
Ah oui, parce que tu es également passionné par l’argent. L’argent, facile, mérité… l’argent. Et pouvoir t’acheter de beaux vêtements, de la bonne nourriture, du bon alcool… Et te faire payer des souliers excessivement chers. Oui, te les faire payer. Bref. L’argent, c’est bien. L’argent, c’est bon. L’argent, t’aimes ça.
Tu aimes ton chat.
Ah, ça, oui. Tu aimes ton chat. C’est la prunelle de tes yeux et tu as vraiment peur rien qu’à l’idée qu’il puisse lui arriver quoi que ce soit. En attendant, tu la gattes. En lui offrant les meilleurs paniers possibles, les meilleurs arbres à chat, la nourriture de la meilleure qualité possible, et payer les meilleurs vétérinaires pour s’occuper d’elle. Bref, oui, ton chat, c’est un peu comme ton enfant. Et tu en prends extrêmement soin.
Tu es une sacré langue de pute, également...
Oh, ça, oui. Tu adores les ragots, tu adores critiquer. Pratique de niveau professionnel, chez toi. Pendant que tu t'occupes d'un-e client-e, assis à la terrasse d'un café, en marchant dans la rue... Tu passes au crible toutes les tenues que tu croises et tu bitch. Dans ta tête ou à voix haute, si tu es accompagné, faisant s'offusquer tes compagnes et compagnons ou les faisant rire aux éclats. Et souvent, les personnes avec qui tu traines ne sont pas les derniers pour surenchérir. Alors mesdames, messieurs, attention, mais le moindre fashion faux pas face à la diva et vous êtes affiché-e-s.
Et sinon, à part tout ça… ?
Et sinon, à part tout ça… Tu es quelqu’un qui aime voir des gens, connus ou inconnus. Qui aime parler, sociabiliser, tisser des liens. Tu laisses rarement indifférent. Et tu peux facilement taper sur les nerfs, c’est un fait, oui. Tu es égocentrique, aime beaucoup parler de toi, même si tu essaies de travailler un peu là-dessus, surtout au niveau professionnel.
Tu as un gros côté diva, exigent, et colérique. Tu en as conscience. Mais ça, tu peines à travailler là-dessus. Mais au moins, tu en as conscience.
Et, lorsqu’on te connaît bien, lorsque tu apprécies quelqu’un, tu as tendance à vouloir le prendre sous ton aile et tout faire pour l’aider. Cela peut-être dans le cadre privé ou professionnel. Même si ça arrive peut-être plus souvent dans le privé. Pour le professionnel… tu es exigent. Mais ça peut arriver. Ça va arriver.
Physique
Niveau taille, tu oscilles entre le mètre soixante-quatorze et le mètre quatre-ving-dix. Tout dépend de la hauteur des talons que tu as décidé de chausser. Parce que tu adores porter des talons. Tu as une affection toute particulière pour les stilettos. Est-ce que cela te donne l’impression de renier ta virilité ? Absolument pas. Déconstruction. La mode n’a pas de genre. Les habits non plus. Certes, ce n’est pas l’avis de tout le monde. Mais tu t’en fous de l’avis des gens. Tu veux porter une jupe ? Tu portes une jupe. Un sac à main ? Sac à main ce sera. Tant que cela va bien avec le reste de ta tenue, peu importe si c’est censé être connoté « homme » ou « femme ». Tu le mets sur ton dos et tu marches la tête haute.
Oh, tu as déjà vu les couleurs de l’arc en ciel sur ta peau, à cause de gens en désaccord avec ta façon de penser et de t’habiller, et leur façon violente de s’exprimer. Mais malgré la douleur… tu continues. On ne t’empêchera pas d’être toi-même et de l’exprimer. Et puis, de toute façon, tu travailles dans un milieu où l’excentricité est requise. Nécessaire, même. Enfin, pas systématiquement. Mais elle vous permet de sortir du lot.
Bref. Tu es un homme de taille moyenne. Un peu au-dessus, ceci-dit, de la moyenne japonaise. Mince et bien entretenu. Le temps ne t’a pas – encore ? – doté d’un petit bidou. Au contraire, celui-ci est plat. Et très souvent visible. Tout comme ton torse, qui assume sa pilosité et se montre au monde entier à travers des vêtements qui ne couvrent guère la partie haute de ton corps.
Ton visage, lui, est finement sculpté et anguleux. Ton menton est frileux et ne sort jamais sans son petit manteau, communément appelé barbiche. Et tu tailles, chaque jour qui passe, soigneusement ta moustache. C’est ton petit rituel du matin. Après avoir nettoyé et exfolié ta peau, puis posé ton masque hydratant, avant de rincer, puis de mettre ton serum de jour. Ah, oui, parce que tu prends extrêmement soin de ta peau. De ton corps et de ton apparence en général, en vérité. Car les détails font la perfection et la perfection n’est pas un détail.
Lorsque tu dois sortir, en journée, pour aller travailler, tu ne te maquilles pas lourdement. Tu te contente d’illuminer ton teint et mettre en valeur tes yeux couleur miel, avec un trait d’or ou de cuivre. En revanche, tu ne te défais pratiquement jamais de tes bijoux. Boucles d’oreilles, piercings (snakebite pour les intimes), bagues, colliers, souvent dorés.
Pour tes vidéos, et pour sortir, en revanche, tu t’amuses un peu plus avec tes pinceaux. Toutes les couleurs du nuancier Pantone sont passées sur ton visage. Ou si ce n’est pas encore le cas, ça le sera. Tout dépendra de la prochaine palette qui va sortir et qu’il faut absolument que tu review, donc.
Bref, voilà ce à quoi tu ressembles.
Oh, tu as déjà vu les couleurs de l’arc en ciel sur ta peau, à cause de gens en désaccord avec ta façon de penser et de t’habiller, et leur façon violente de s’exprimer. Mais malgré la douleur… tu continues. On ne t’empêchera pas d’être toi-même et de l’exprimer. Et puis, de toute façon, tu travailles dans un milieu où l’excentricité est requise. Nécessaire, même. Enfin, pas systématiquement. Mais elle vous permet de sortir du lot.
Bref. Tu es un homme de taille moyenne. Un peu au-dessus, ceci-dit, de la moyenne japonaise. Mince et bien entretenu. Le temps ne t’a pas – encore ? – doté d’un petit bidou. Au contraire, celui-ci est plat. Et très souvent visible. Tout comme ton torse, qui assume sa pilosité et se montre au monde entier à travers des vêtements qui ne couvrent guère la partie haute de ton corps.
Ton visage, lui, est finement sculpté et anguleux. Ton menton est frileux et ne sort jamais sans son petit manteau, communément appelé barbiche. Et tu tailles, chaque jour qui passe, soigneusement ta moustache. C’est ton petit rituel du matin. Après avoir nettoyé et exfolié ta peau, puis posé ton masque hydratant, avant de rincer, puis de mettre ton serum de jour. Ah, oui, parce que tu prends extrêmement soin de ta peau. De ton corps et de ton apparence en général, en vérité. Car les détails font la perfection et la perfection n’est pas un détail.
Lorsque tu dois sortir, en journée, pour aller travailler, tu ne te maquilles pas lourdement. Tu te contente d’illuminer ton teint et mettre en valeur tes yeux couleur miel, avec un trait d’or ou de cuivre. En revanche, tu ne te défais pratiquement jamais de tes bijoux. Boucles d’oreilles, piercings (snakebite pour les intimes), bagues, colliers, souvent dorés.
Pour tes vidéos, et pour sortir, en revanche, tu t’amuses un peu plus avec tes pinceaux. Toutes les couleurs du nuancier Pantone sont passées sur ton visage. Ou si ce n’est pas encore le cas, ça le sera. Tout dépendra de la prochaine palette qui va sortir et qu’il faut absolument que tu review, donc.
Bref, voilà ce à quoi tu ressembles.
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Amon Martin
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ton avatar est si joli uwu
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Monmon !!!
Re-bienvenu et bon courage pour ta fiche ! o/
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@Hisui Nishida Merciiiiiiiiii ;w; Tous les crédits vont à son créateur ! J'ai toujours plus le pseudo de l'époque (omg, mon cerveau en passoire..) mais c'est @Ozzman ! (Fubuki, d'un de ses derniers comptes ? Jsp, je perds le fil des gens qui changent de nom et tout ;w;)
Mais sinon, oui, je suis inlove avec ce faceclaim ;w;
@Setsuka Yagami Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii le retour du Momon Merci beaucoup madaaaame
@Hisui Nishida Merciiiiiiiiii ;w; Tous les crédits vont à son créateur ! J'ai toujours plus le pseudo de l'époque (omg, mon cerveau en passoire..) mais c'est @Ozzman ! (Fubuki, d'un de ses derniers comptes ? Jsp, je perds le fil des gens qui changent de nom et tout ;w;)
Mais sinon, oui, je suis inlove avec ce faceclaim ;w;
@Setsuka Yagami Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii le retour du Momon Merci beaucoup madaaaame
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wow ce perso, il est incroyable
pas mal in love du face claim !
rebienvenue du coup !
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Bon retour ! c:
Vivement l'histoire pour la lire o/
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@Daiju Hoshino Haaaaa merci beaucoup
Je sais pas où m'foutre haha
@Haven Thorne Eh bien, monsieur est servi puisque la fiche est terminée !
Bon, j'ai ce goût amer d'avoir bâclé l'histoire, mais comme je déteste faire les fiches... erm. That will do.
Quasi sûre qu'il y aura des modifs à faire, en vrai xD Pretty sure que j'ai oublié des trucs... Donc... Dans l'attente
Je sais pas où m'foutre haha
@Haven Thorne Eh bien, monsieur est servi puisque la fiche est terminée !
Bon, j'ai ce goût amer d'avoir bâclé l'histoire, mais comme je déteste faire les fiches... erm. That will do.
Quasi sûre qu'il y aura des modifs à faire, en vrai xD Pretty sure que j'ai oublié des trucs... Donc... Dans l'attente
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Hello et rebienvenue avec ce TC !
Pas grand chose à dire, même si tu as horreur des fiches l'ensemble est bien écrit et est cohérent
J'ai repéré quelques fautes qui seront vite corrigées :
dans l'histoire :
qu’on suivent
que l’on fassent
Mais les secrets ne sont durs jamais longtemps.
études de droits
dans le caractère :
tu la gattes
Il y aura aussi le code pour l'avatar à remplir please.
Une fois cela fait, ce sera tout bon o/
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Haaaa merci Arisa !
... Tu veux rire ?
Je l'avais rempli, le truc de l'avatar. Sauf que je me suis dit "Tiens, j'vais supprimer la partie vide que j'ai pas use". Spoiler. J'ai pas supprimé la bonne :B
Mais normalement, c'est corrigé !
... Tu veux rire ?
Je l'avais rempli, le truc de l'avatar. Sauf que je me suis dit "Tiens, j'vais supprimer la partie vide que j'ai pas use". Spoiler. J'ai pas supprimé la bonne :B
Mais normalement, c'est corrigé !
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Il reste deux fautes :
"Mais les secrets ne sont durent jamais longtemps" - le sont est de trop
études de droits - il n'y a pas de s à droit
Amuses-toi bien
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
"Mais les secrets ne sont durent jamais longtemps" - le sont est de trop
études de droits - il n'y a pas de s à droit
Amuses-toi bien
Tu es validé(e) !
Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !
N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici !
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites.
& Surtout, AMUSEZ-VOUS !
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