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Les plus du perso :
Je suis: anti-Incontestable.
Époux/se : ♡ Momon (mais j'emmerde toujours le système !)
Autre:
Lucas Martin
Lucas Martin
Lucas Martin
La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole.
Informations générales
Nom :Martin
Prénom.s :Lucas
Âge :28 ans, 30 novembre 2085
Genre :Masculin
Origines : Franco-japonais
Activité :Secrétaire dans un cabinet vétérinaire
Sexualité :Hétéro
Avatar :Squall de FF8
Réglement : - Validé - Ari
CheminDC ! :3
Autre :Je vous aime, alors je squatte un peu plus… Pour ce personnage, je précise que sa façon de penser n’engage que lui. D’autre part, le contenu de l’histoire est sensible.
Histoire
Des rires, des engueulades, des pleurs et des bêtises. Ce sont des choses qui m’évoquent l’enfance. Il faut dire qu’avec trois gamins, mes parents avaient de quoi s’occuper ! J’avoue : on leur a mené la vie dure. Nous étions toujours à planifier une connerie ou à courir partout. Je suis le cadet de la famille cependant, j’étais loin d’être le dernier pour les sottises. La plupart du temps, je faisais le guet, je mentais comme un arracheur de dents pour couvrir mes frères ou j’étais le premier à avoir des idées débiles. Nous étions soudés comme les doigts de la main. Il suffisait d’un regard pour que l’on se comprenne…
Mes frères jumeaux sont nés en France. Apparemment, c’était vraiment la belle vie là-bas. Il y avait une impression de liberté et de loisirs. D’après ma mère, ce pays était très accueillant ! J’aurais bien voulu voir ça. Malheureusement, Francis, Alexandre et mes parents ont dû partir pour le pays du soleil levant peu de temps avant que je ne naisse. Notre père avait été muté. Alors, plutôt que de se voir trois fois par an ou par visioconférence, tout le monde a déménagé. Pour mes aînés, alors âgés de presque trois ans, le changement ne fut pas spécialement pénible. En revanche, pour ma génitrice, ce fut une autre paire de manches ! La pauvre était passée de prof de lycée à mère au foyer. Il y avait apparemment trop à faire entre un nourrisson, deux petits garçons dynamiques et une maison à entretenir. De plus, contrairement à papa, maman ne savait pas parler le japonais. La possibilité de trouver un nouvel emploi était donc assez réduit.

Bien que j’en prenne conscience tardivement, un fossé s’était creusé entre mes deux parents. Maman était clairement dépassée et isolée. Ses gosses étaient sa raison de vivre… mais également son fardeau. Les cris, les couches à changer, le besoin de téter, les nuits courtes et les jalousies entre frangins eurent peu à peu raison d’elle. Par amour, elle a tenu bon. Cela a duré cinq ans. Tout a basculé quand j’ai vu une dame venir me chercher à l’école. Je ne comprenais pas : où était ma mère ? La réponse m’a été livrée lorsque j’ai retrouvé les miens dans notre appartement. Là, on m’expliqua avec des mots d’adultes qu’elle était devenue un ange. Qu’à présent, il suffisait de lever les yeux pour la voir. Ingénu, j’y ai cru. Ce sont mes aînés qui ont fini par me faire atterrir : elle avait mis fin à ses jours en traversant volontairement la route alors que les voitures avaient le droit de circuler.
Pour pouvoir continuer de payer les factures sans engager une nourrice à plein temps, mon père a fait venir mes grands-parents au Japon. C’est principalement ces derniers qui m’ont élevé. Je me rappelle de ces longues heures que je passais à aider mamie à préparer le repas. Le plus souvent, c’était surtout parce que j’avais brisé quelque chose ou que j’avais été vilain à l’école. Puis, j’y ai pris plaisir. J’aimais tellement voir les rides s’étirer en un sourire dès que ma grand-mère me voyait découper les légumes comme elle me l’avait enseigné. Je me souviens également avoir traîné avec papi dans son atelier. En tant qu’ancien menuisier, il avait gardé l’habitude de travailler le bois. Il retapait des meubles achetés en brocante, puis les retapait pour les revendre. L’observer me détendait. Attentif, je scrutais son air concentré ainsi que ses grandes mains puissantes et habiles qui répétaient méthodiquement les mêmes gestes. J’aurais adoré avoir le don et la patience de mon aïeul. Hélas, j’ai appris à faire autre chose de mes poings…

On ne va pas se mentir : à part le suicide de ma mère, j’ai eu une enfance tranquille. Les adultes ont tout fait pour qu’on ne manque de rien. Dès que je pleurais, ils étaient toujours là pour me tenir contre eux. Ils ont même acheté un petit chien pour nous tenir compagnie ! Au bout de longs mois, j’avais plus ou moins appris à faire avec. Je m’étais habitué à cette nouvelle vie sans une présence maternelle. Pour ne pas décevoir mes proches, j’avais cessé de jouer au con en classe et j’étais devenu un élève modèle. Par contre, à la maison, c’était toujours difficile. Avec mes frères, nous n’étions pas méchants cependant, nous aimions faire les pitres. On s’ennuyait facilement… Alors, pour éviter que ce soit le chaos dans notre foyer, on nous a inscrits à des clubs complètement différents. C’est comme ça que je me suis retrouvé à faire du taekwondo. Cela me défoulait ! J’ai senti que le sport, c’était vraiment mon truc. Hélas, mon géniteur préférait que je fasse des études… Et pas n’importe lesquelles : de longues études ! C’est peut-être à cause du fameux petit chien que j’ai choisi d’être vétérinaire… De base, j’ai toujours aimé les animaux (pas leurs maîtres !). Quand on y réfléchit, ils n’ont rien à envier aux humains… Prendre soin d’eux, les soigner et les remettre sur pied me plaisait. En outre, c’était un métier qui permettait de bien gagner sa vie. Étant devenu studieux, j’ai eu mon diplôme sans trop de problèmes ! Le hic ? Bah… Tu l’as bien vu si tu as lu le début de ma fiche… Je suis secrétaire pour un vétérinaire. Qu’est-ce qui a mal tourné ? Beaucoup de choses…

Alors que je pensais avoir traversé la plus dure des épreuves avec le décès de ma mère, d’autres éléments ont commencé à venir ternir le tableau. Le responsable ? Ce système informatique à la con ! Je suis né en 2085 sur le territoire japonais. L’Incontestable étant déjà créé depuis un certain temps, j’ai eu le « bonheur » d’être né avec leur fameuse puce. Au début, j’étais comme tous ces moutons : j’acclamais cette machine capable de décider de tout, tel Big Brother dans un vieux film. L’état, les enseignants et ma famille m’avaient endoctriné. Ils me répétaient sans cesse qu’il fallait obéir aux ordres, comme un parfait agneau. J’ai toujours trouvé ça bizarre. Comment faire confiance à une technologie novatrice ayant forcément des bugs ou un système sur lequel l’homme avait la main ? N’importe qui de mal intentionné pouvait le modifier, non ?
Quand j’ai eu dix-huit ans, j’ai eu la preuve que l’Incontestable était un ramassis de conneries. Tu l’as deviné : qui dit majorité, dit potentiellement l’arrivée d’une lettre rose. J’ai reçu la mienne le mois après mon anniversaire. On m’avait marié à… un mec ! Je n’avais jamais imaginé être homosexuel. Les femmes sont belles, fortes, désirables et courageuses. Ado, j’étais sorti avec quelques nanas et, après avoir regardé du porno, je n’avais plus de doute : ce sont bien les courbes voluptueuses et féminines qui me font bander… Pas deux types en train de faire la bête à deux dos. Je n’avais rien contre les homos, tant qu’ils ne touchaient pas à mon cul. Mon « mari » était-il également un hétéro ? Je l’ignorais… Je n’ai pas su grand-chose de cet époux, en fait… Si ce n’est qu’il avait trente-cinq ans ! Putain ! On m’avait fiancé à un vieux ! Sans mauvais jeu de mots, ça m’a clairement mis la puce à l’oreille. À mon promis aussi, je crois, parce que lui aussi a décidé d’agir comme ma mère. Il a mis fin à ses jours pour éviter de s’unir à moi. Sa famille nous l’a décrit comme quelqu’un de fragile, déjà à vif à cause d’un précédent mariage raté. On nous a brossé un portrait peu flatteur du défunt cependant, cela me passait au-dessus. Je n’avais pas envie de le connaître. Ce chagrin était le leur. Pas le mien.

Quand les premières manifestations contre l’Incontrôlable ont eu lieu, je n’étais pas dans la rue… Mais le cœur y était ! Putain ! D’après les informations, Big Bang Kiss, c’était quelque chose ! Quel dommage que je n’ai pas pris le temps de participer… Mais j’avais vingt-quatre ans et j’étais toujours en train d’étudier. J’espérais me construire un avenir. Il ne me restait plus beaucoup de temps avant l’obtention du diplôme. Dernière ligne droite, comme on dit. Pfff, quand j’y pense. Moi aussi, j’aurais dû défiler dans la rue avec le mouvement Incontrôlables ! M’élever contre ce système aussi pourri que corrompu…
En septembre 2108, j’ai reçu ma seconde lettre rose. J’avoue, j’avais presque oublié cette merde aussi légère qu’une plume, mais qui pèse aussi lourd qu’une tonne dans le cœur. Cette fois-ci, on m’a marié à une femme de mon âge. Elle s’appelait Kaede. Fruit du hasard ou algorithmes bien étudiés ? Nous étions clairement compatibles. Avec elle, mon quotidien était tranquille. Chacun s’apportait quelque chose. À son contact, j’apprenais à moins râler et j’avais une raison de me dépêcher de rentrer chez moi après une journée de labeur. Quant à elle, je la comblais de mon affection, de ma protection, de petites attentions comme les petits-déjeuners au lit et les fleurs offertes à la fin de son travail. J’ai clairement fini par développer des sentiments pour Kaede au point que je me suis demandé si je n’avais pas mal jugé le système… Comme cadeau de mariage, mes potes m’ont offert un pendentif. Depuis ce jour, celui-ci ne me quitte plus. Certes, il représente une belle et courte période amoureuse révolue toutefois, j’ai du mal à ne plus y songer…

T’es pas si con, tu as dû comprendre à quel moment tout a basculé, non ? Au cas où tes deux neurones ne sont pas entrés en collision, voici la réponse : Shukumei. Ces catastrophes naturelles m’ont réduit en miettes… J’ai perdu tellement de monde… Putain… Il y a eu mes grands-parents qui étaient trop âgés pour gagner un abri. Mais également mon père… Francis… Et Kaede… Quasiment toute ma famille… On va faire simple : il ne me reste qu’Alexandre, ma belle-sœur Asuna et leur fille Izumi. Aujourd’hui encore, ils sont ma raison de vivre. Je passe beaucoup de temps avec eux. Il faut dire que nous sommes voisins… Donc, ça aide ! Je cède tout au frangin : je garde parfois ma nièce, j’aide quand il faut faire des travaux dans la maison et je lui prête ma moto quand il me la demande. Il peut compter sur moi pour n’importe quoi et à n’importe quelle heure de la journée.
Depuis Shukumei, j’ai complètement changé de comportement avec les autres. Hormis ceux qui comptent pour moi, j’ai développé une sorte de rejet d’autrui. Rares sont ceux qui percent ma carapace, mes sarcasmes et ma colère. Je suis surtout devenu plus violent… Un rien m’énerve et je dois réellement prendre sur moi pour calmer mes pulsions. En fait, j’ai constamment l’impression de devoir hurler ou frapper sur quelqu’un pour me détendre. Après, je ne suis pas toujours comme ça… Sinon, j’aurais fini par commettre un meurtre ! Mais t’as compris l’idée. Je ne suis plus comme avant. Tu as la pire version de moi-même sous tes yeux… Pour diminuer cette tension, je pratique le sport tous les jours. Non seulement, c’est utile pour la silhouette, mais ça permet surtout de décompresser. Le sport est devenu ma came… Sortir aussi… Pas forcément pour faire grand-chose. Juste m’aérer. Marcher sans s’arrêter et laisser place à l’imprévu avant que l’Incontestable m’envoie une nouvelle missive fleurie !
Tiens, en parlant de l’Incontestable : vous avez vu cette connerie sans nom que furent l’Épidémie et Soosaku ? Quel joyeux bordel… J’espère que ces événements ont fait comprendre à tous ces moutons que les autorités se foutent de notre gueule ! Je te vois venir : est-ce que j’ai fait partie des fugitifs ou non ? Franchement, j’aurais pu… Hélas, Alexandre et sa famille ne voulaient pas quitter le Japon. Comme ils sont tout ce qu’il me reste, je suis resté à leurs côtés. J’ai laissé ses bâtards me repucer et j’ai rejoint le troupeau. Ma propre faiblesse me donne envie de vomir…

Je crois que je t’ai pas mal raconté ma vie… T’as saisi les grandes lignes. Comme beaucoup de japonais, je suis une personne qui a côtoyé la mort d’un peu trop près. Certains arrivent à se relever avec le temps ou une thérapie. Moi, c’est en expulsant toute ma rage et en côtoyant mes proches. Le reste n’a pas trop d’importance… Les amours ? C’est fini pour moi. Les amis ? Je limite. De toute manière, mon comportement fait fuir les gens, donc ce point est réglé. Le travail ? Ah oui, c’est vrai, j’en étais à vous dire que j’étais vétérinaire… Et bien, pas de chance : Shukumei a détruit mon cabinet. Depuis, je suis secrétaire dans un autre cabinet vétérinaire. De temps en temps, mon patron/confrère réclame mon aide ou mon avis médical… Mais ce n’est pas ce que je veux : j’aimerais être son collaborateur… Ne plus être celui qui prend les rendez-vous, mais celui que l’on vient consulter ! Malheureusement, ouvrir un cabinet n’est pas si facile. Cela demande des connaissances en droit, de l’argent, du temps et un local… Je n’ai pas encore réussi à me reconstruire. Je suppose que cela viendra un jour… En attendant, je me concentre sur l’essentiel : ceux qui constituent un ultime rempart à ma folie et à mon autodestruction.
Physique
De loin, je n’ai rien de particulier. D’ailleurs, si tu m’apercevais dans la foule, tu ne ferais pas spécialement attention à moi. Je suis une grande tête brune parmi tant d’autres… C’en est même risible ! Quand je ne prends pas ma moto pour aller au travail, je suis l’archétype du japonais lambda : un homme à la démarche rapide, avec un costume noir et gris, qui prend les transports en commun. Heureusement que j’ai ma bécane, parce que je déteste les bains de foule. Non pas que ça me mette mal à l’aise, c’est juste qu’il y a toujours un connard qui vient tailler une bavette avec moi ! Quelle plaie ! Pourtant, pour faire comprendre aux gens que je souhaite être pénard, je greffe toujours mes écouteurs dans les oreilles. J’en ai toujours une paire sur moi. La musique, c’est ma barrière. Sans elle, je serais obligé d’écouter les banalités affligeantes des gens. Je n’en ai rien à foutre que tu ne trouves pas où mettre ton gamin pour sortir avec tes potes ce week-end. Que ton crush drague une autre nana me fait une belle jambe. Le fait que tu as arrêté de fumer depuis deux mois me passe au-dessus… Tu veux quoi ? Un bon point ? Et puis, franchement, t’entendre ajouter que tu es passé à la cigarette électronique me fait bien marrer. C’est pareil, ducon. Maintenant, en plus du tabac et une puce électronique, t’auras également des produits chimiques dans le corps. Mais bon, donne-toi bonne conscience : tu fais partie du clan des vapoteurs. C’est bien pour toi. Si tu pouvais arrêter ton monologue, ça m’arrangerait… Putain ! Je ne sais pas ce qui donne aux gens l’envie de s’adresser à moi, mais ça me saoule ! Ils ne pigent pas que si j’ai de la musique dans les oreilles, c’est pour qu’on arrêter de me les briser ?... Je te vois venir : pourquoi ne pas prendre ma moto sans arrêt ? Parce que je la partage avec quelqu’un… Surpris.e ? Ouais, ça m’arrive de ne pas penser qu’à ma gueule…

Mon visage, tiens, parlons-en… Quand on a fini de lever la tête pour me regarder, on s’attarde toujours sur deux détails qui se voient comme le nez au milieu de la figure. D’abord, il y a la couleur de mes iris : deux perles azur. Un héritage de ma mère. Celle-ci a réussi à avoir trois gamins avec cette caractéristique. Apparemment, c’est une chance car, pour certains individus, cette teinte sonne comme quelque chose d’exotique… Mouais… Si tu tiens tant que ça à avoir du bleu sur toi, je peux t’en coller une, si tu veux. Ta peau virera au bleu foncé une fois que mon poing aura embrassé ta joue… Je t’offre une belle ecchymose sans souci ! T’as qu’à demander. Bref, je m’égare. T’as pigé… Je pense que t’as également saisi qu’avec moi, on ne va pas enfiler des perles ou mettre des couronnes de fleurs sur la tête. Et, au cas où tu ne t’en rappelles pas : j’ai une large cicatrice en plein milieu de la face. C’est plutôt utile pour te faire reculer d’un pas (ça t’impressionne !), pour t’apitoyer (oh, pauvre garçon, un si beau visage…) ou pour te faire te poser des questions (comment il s’est fait ça ? (Spoiler alert : avec un peu d’acharnement, je peux te faire pareil avec mes ongles. Ça te tente ?)). Cette marque ne peut vraiment pas se louper : elle commence à droite de mon front, pas loin de mon sourcil, puis descend sous mon œil gauche. Une putain de ligne continue. Le pire, c’est que je suis prêt à rendre à César, ce qui est à César : le trait est presque droit et ça se démarque par une teinte ocre au milieu de ma peau pâle. Du grand art. Bravo Picasso !

Quoi, tu veux plus de détails ? ‘Tain, t’es lourd… Ok. J’ai un visage assez fin, les oreilles percées, une pilosité absente et une bouche relativement pulpeuse. Non. T’excite pas : le seul moment où celle-ci va s’ouvrir pour toi, c’est quand je t’insulterai. Par contre, si je suis au boulot, t’auras le droit à un large sourire hypocrite. Parce qu’on va éviter de faire fuir le client, hein ? On va jouer les parfaits petits employés attentifs qui hochent la tête et rigolent dès que t’as fait une vanne. Donc, vas-y, continue de me faire chier en parlant de Snoopy qui s’est fait piquer l’arrière-train par une colonie de fourmis. Profite que je veuille garder mon job… Parce que si tu m’avais tanné avec ton chien en dehors du cabinet, je n’aurais pas hésité à te dire qu’il vaut mieux l’embrocher pour en faire du hot-dog. Pfff… Quand j’te dis que je m’égare. Toi, t’es là pour que je me décrive, mais tu as bien des yeux pour voir, non ? Si tu veux consulter, tu t’es trompé d’endroit, mec. Ici, c’est pour les animaux. Remarque, vue ta tête de chien battu, t’as peut-être sonné à la bonne porte ? … Bref, j’ai un corps assez long et du muscle. J’entretiens ça tous les jours. Bien sûr, parfois, ce ne sont que quelques pompes ou des exercices au réveil, mais j’essaye de faire trois grosses sessions par semaine, soit dehors, soit au complexe sportif. J’ai le sport bien sculpté, les bras musclés et la fameuse tablette de chocolat. Cela dit, ne t’approche pas avec de la chantilly, elle ne fondera pas pour toi, mon gars !

Côté vestimentaire, mon style dépend de ce que je fais. Tiens, ça sera sans doute la partie où je ne m’étalerais pas trop et où je serais le moins vindicatif et intolérant ! Quand je travaille, je porte un costume simple. Du noir. En dessous, je mets une chemise grise ou blanche. Cela dépend de ce que je trouve dans le placard. Durant mes sessions de sport, c’est jogging. Si je peux, c’est torse-nu, car je déteste quand le tissu colle trop. Sinon, un débardeur classique. Mais la tenue que je préfère, c’est celle que je porte habituellement en soirée : un pantalon noir, moulant, mais confortable (Qui ne sert pas trop le paquet…), deux/trois ceintures (Je sais, une suffit… mais le reste, c’est de la déco.), un t-shirt blanc, le pendentif offert par d’anciens potes (Ouais, j’en ai ! Avoue, t’y croyais pas.) ainsi qu’un blouson en cuir avec un col en fausse fourrure. Ce que je porte au cou me quitte rarement. Il s’agit d’une longue chaîne avec une croix à tête de lion. Pourquoi un fauve ? Parce que j’ai tendance à mordre avec ma grande gueule... Je n’hésite pas à l’ouvrir si tu me pousses trop à bout. Ceux qui ont réussi à percer ma carapace et à passer outre ma vulgarité savent que je suis quelqu’un de loyal et de franc. Donc oui, avec ce lion, ils m’ont bien cerné. Voilà, je pense que je peux m’arrêter là. Tu as suffisamment d’éléments pour comprendre à quoi je ressemble, même si je te crevais les yeux. Maintenant, casse-toi et laisse-moi écouter de la musique.
Caractère
Si tu as lu la section dédiée à mon physique, je pense que tu auras déjà une petite idée de mon tempérament. Je peux le répéter une seconde fois. Ça ne me gêne pas : je me doute que ton p’tit cerveau a du mal à tout assimiler. Je suis déjà surpris que tu aies lu toutes ces lignes sans surchauffer ! Je vais être concis et t’offrir mes traits de caractère généraux. Après, tu es libre de lire leur développement. Je ne voudrais pas te donner un mal de crâne ou te faire perdre ton temps. Toi et moi, on a bien compris que l’on ne s’entendrait pas. Je suis donc : travailleur, aimable (et faux-cul) avec les clients, opportuniste, vulgaire, agressif, sanguin, violent (si tu me pousses à bout), sportif, compétiteur, anti-Incontestable, franc, loyal, grossophobe, asocial, blasé, buté, râleur, confiant, critique et susceptible. T’as de la chance, j’suis pas raciste, ni misogyne, ni homophobe. J’ai bien des tares, mais pas celles-là.

Depuis toujours, je fais la distinction entre travail et vie personnelle. Ce sont deux mondes à part et je ne tiens pas à les mélanger… (Bien sûr, il y a des exceptions : si des potes ont besoin d’un rendez-vous rapide avec le véto’, ça peut s’arranger… Un rendez-vous inutile sautera mystérieusement pour permettre à un nouveau client de venir…) Au boulot, je suis ce que l’on appelle un employé exemplaire. T’as du mal à y croire, hein ? Et pourtant… Je suis toujours très propre sur moi : je porte la tenue exigée et je mets même un peu de fond de teint sur ma cicatrice pour ne pas qu’elle se remarque. Il ne faudrait pas affoler la maîtresse de Médor, la p’tite mamie bavarde… Et c’est là où je me tire moi-même mon chapeau : même si j’ai envie d’éclater la tête de ce genre de grand-mère qui me raconte qu’elle a des crises d’hémorroïdes en même temps que son chien, je reste stoïque et souriant. « Oh, ce n’est pas de chance, Mme Tanaka. Courage. J’espère que vous et votre animal allez vite vous rétablir… » lui répondrais-je. Dans ma tête, je l’aurais fait dégager en lui donnant des coups de pied dans le derch’, histoire de voir si ça fait des feux d’artifice vermeil. Qu’on se le dise : au travail, je suis quelqu’un d’attentif, aimable, patient et souriant. Je m’exprime d’une voix calme et posée. Tu sais, le type à la réception est aussi important que le soigneur dans son cabinet. Si le secrétaire agace l’usager, est froid, ne se montre pas rassurant ou l’envoie sur les roses, il ne reviendra pas forcément. Or, je ne tiens pas à ce que le chef m’offre un blâme, me vire ou ne possède plus assez d’argent pour payer tous ses employés. C’est pourquoi, je fais de mon mieux pour avoir une bonne image et être avenant………….. Quoi, tu veux savoir comment je réagis si je fais face à un enfoiré qui a vu mon vrai visage et qui se pointe devant mon bureau ? Je fais celui qui ne le connaît pas. Ce con sera incapable de prouver que c’est moi qui lui ai organisé un rdv entre la table et ses dents… (Ca a bien matché, d’ailleurs ! Il faudrait recommencer…)

En public, je suis du genre distant. Je déteste que l’on vienne me parler, sauf si c’est pour causer sport. Chacun a sa vie et ses emmerdes. Je garde les miennes pour moi, donc merci de faire de même. Je ne veux pas apprendre à te connaître. J’ai autre chose à foutre que de t’indiquer une direction ou répondre à ton sondage à la con. Je ne vais pas répliquer à ton sourire si tu m’en offres un. Je ne t’aiderais pas parce que t’es tombé.e. Quoi ? Je suis un connard asocial ? Si tu veux. Aucun problème. Maintenant, lâche-moi……….. Bon, j’avoue, il y a une exception : si tu te fais agresser. Que ce soit par une personne ou un putain de groupe de lâches, je ne pourrais pas rester là pendant que tu te fais malmener. Appelle ça de la compassion, une étincelle d’espoir ou de l’empathie si tu veux, je m’en cogne. Le fait est que je viendrai t’aider. Je commencerai par dégommer les enfoirés qui s’en prennent à toi, que ce soit grâce à mes poings ou à l’aide d’un couteau papillon que je cache soit dans ma sacoche, soit dans mes poches. Ensuite, je vérifierai si tu n’as pas trop de blessures, qu’elles soient physiques ou psychologiques. Auquel cas, je t’emmènerai aux urgences. Ne t’en fais pas, j’attendrai que tu sois entre de bonnes mains pour filer. Pas la peine de me remercier. Je ne suis qu’une ombre de passage qu’il te faudra vite oublier.

Quand je ne travaille pas, je ne suis pas quelqu’un de patient. Il est donc inutile de me chercher ou de se montrer trop insistant. Tu cherches le conflit ? T’as trouvé la bonne personne… mais ne viens pas pleurer parce que ton poignet a fait quatre-vingt-dix degrés et qu’il ne tient plus dans son axe. Selon mon humeur, soit je me casse, soit je t’insulte, soit je te cogne. Si tu as réussi à m’énerver, j’espère pour toi que t’as du répondant, que ce soit avec ta langue ou ta force. Sinon, apprends à courir. Ça peut toujours être utile.
Pour joyeusement pouvoir te péter le nez, je passe beaucoup de temps à faire du sport. C’est une activité essentielle dans ma vie. À la fois libérateurs, utiles et agréables, ces entraînements me permettent de refouler cette colère constante qui me ronge. Pour assouvir ta curiosité, saches que je pratique la musculation, la boxe française et le taekwondo. Je suis d’ailleurs très compétiteur. Perdre me rend dingue… D’ailleurs, mes potes le savent. Quand je pète un câble ou fais la gueule après un combat perdu, ils me laissent toujours me calmer dans mon coin… Si tu as lu la partie sur mon physique, tu sais que je pratique soit chez moi, soit dehors, soit au complexe sportif. Si tu m’as croisé là-bas, alors il y a des chances pour que je ne t’aie pas mal jugé.e. Même si c’est pour faire du trampoline ou jeter un diabolo en l’air, je respecte les sportifs. Ils ont tout compris : rien ne vaut un esprit sain dans un corps sain. Aller, je ne suis pas vache : tu peux avoir de la brioche ! Tant que tu bouges ton cul une fois par semaine, tu mérites mon admiration. Par contre, si t’es obèse ou une grosse feignasse qui préfère rester devant son écran en bouffant des glaces, sache que tu me donnes envie de vomir. Inutile de te plaindre ! On ne grossit pas d’un coup : t’as eu des semaines, des mois, des années pour empêcher ça. Ouais, je suis grossophobe, et alors ? Tu vas me taper avec les knackis qui te servent de doigts ? Quoi ? C’est héréditaire ? Des effets secondaires dus à des médicaments ? C’est ce qu’ils disent tous en allant commander un menu XXL ou en buvant un soda. T’as qu’à faire un régime et aller courir. Se dépenser, suer, ne plus sentir ses membres… Il n’y a que ça de vrai…

Je ne le crie pas sur tous les toits, mais puisque tu tiens à tout savoir, alors je vais te l’avouer : j’emmerde l’Incontestable. Ce truc, c’est juste une machine que des employés contrôlent selon leurs envies. Ils font des tests… Soit c’est pour s’amuser, soit c’est pour revendre nos données à d’autres pays. Va savoir ! En tout cas, je déteste ce système où la technologie et quelques enfoirés jouent à Dieu. Toi qui me lis, j’espère que tu ne tomberas jamais sur mon nom dans ta lettre rose, parce que ce sera directement la case prison.
Que dire de plus… Je pense qu’on a fait le tour… Non ? ….. Je vois, tu te demandes toujours comment un connard râleur, aigri et chiant comme moi a pu avoir quelques potes ? Franchement, je n’en ai aucune idée ! Néanmoins, je vais enlever ma carapace et t’apporter un semblant de réponse. Je ne suis pas qu’une personne exécrable. Les rares individus qui m’aiment sont : 1. De la famille. 2. Des mecs avec qui je me suis battu, mais avec qui j’ai finalement sympathisé. 3. Des personnes rencontrées au complexe sportif. 4. Des gens que j’ai aidés alors qu’on les agressait. 5. Des types qui, je ne sais comment, ont pigé que j’avais un cœur, comme tout le monde. Avec eux, je suis différent : à l’écoute, protecteur, loyal, sympathique et prêt à tout pour leur faire plaisir. Mais ne t’en fais pas : cet attachement est rare. Tu ne me verras jamais comme ça. Pour toi, je serai toujours là pour t’envoyer foutre.
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Edit : Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 4200135721 mais c'est toi 💜💜💜 Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 3912395661 c'est toi qu'est parti me laissant seul et blessé Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 3637992759
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Merci, mon petit blessé préféré ! Je t'attends toujours pour te faire un bandage.  Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 2837704232  

Edit 1 : La prochaine fois, je ne te fuirai pas... Je te sauterai dessus dès que je viendrai sur le tchat ! Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 1406025597  Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 1764158756


Edit pour remercier les coupains :
* Aliyah = Merci ! Ravie qu'il te plaise. Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 1f499
* Zian = Merciii ! Haha, c'est clair... Mais on parle de tous les BG, de leur... :D ou de leurs animaux ?
Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. Tumblr_inline_o4yrq0sCQz1s9x8us_500
* Arisa = Merci beaucoup ! Haha, oui, une bonne tête à claques, ce monsieur...
* Makoto = Merci !
Lucas Martin
Lucas Martin
Si t'es sage, t'auras un badge
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A fini son premier RP mariage
Comme un éclair
A terminé 5 RPs
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A fait des RPs dans trois endroits différents du forum
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A fait des RPs avec 3 partenaires différents
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Avoir commencé un mariage au centre de redressement
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Rebienvenue !

J'aime beaucoup ton perso **
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Rebienvenue parmi nous et bon courage poour la fiche !!
Enfin la valide peut être plus (?)
En tout cas, il a du taff avec tous les animaux de ce forum Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 3182035657
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Coucou et rebienvenue parmi nous o/

Et bien rien à dire si ce n'est qu'il a un sacré caractère Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 128457956
Ta fiche fut sympa à lire et est très complète !

Amuse-toi bien Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 2984341854
Pré-validation par Arisa
Votre fiche a été pré-validée par un modérateur, un administrateur passera sous peu valider officiellement celle-ci.
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Inscrit.e le :
10/10/2016


Les plus du perso :
Je suis: pro-Incontestable.
Époux/se : Kiyohi Nanase, toujours et à jamais ♥
Autre:
Makoto Nanase
Makoto Nanase
Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 716243026

Tu es validé(e) !

Toutes mes félicitations, votre fiche est validée !

N'oubliez pas :
• De remplir les champs de votre profil.
• De réserver votre avatar ; Réservation avatars si le code n'a pas été ajouté à la fin de votre fiche
• Si vous souhaitez trouver des partenaires pour vous lancer, n'hésitez pas à faire un tour par ici ! ♥
• Dans l'ordre, vous pouvez faire une demande de conjoint ici, ensuite vous faites une demande d'habitation ici et enfin, vous pourrez valider votre mariage ici.
• De faire un peu de pub autour de vous pour le forum et de voter régulièrement aux tops sites. ♥

& Surtout, AMUSEZ-VOUS !

▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬ ◆ ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. Makotonanasesign
Merci Lucci, Zach (notamment pour le vava dessiné avec Kiyo ♥) et Lucas pour les avatars et kits Lucas Martin : La colère nous rend aveugle et fou car, avec elle, la raison s'envole. 1647638966

Spoiler:
Makoto Nanase
Makoto Nanase
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Artiste
A participé aux créations de LS graphiques/codages
Noces de coton
Marié depuis un an
Officiellement votre
A fini son premier RP mariage
Amateur d'épices
A fait 10 fast'actions
Fanfic.fr
A fait un UA
Membre dynamique
A participé à un event RP
Comme un éclair
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Explorateur
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A fait des RPs avec 3 partenaires différents
Aventurier
A fait un RP en dehors de Tokyo
Machine à écrire
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Fait partie des murs
Etre inscrit depuis cinq ans
Célibataire endurci
Etre resté célibataire pendant un an d'affilé
Mascotte de l'Incontestable
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Avoir été marié pendant 3 ans
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