Naoko Akiyama [RESERVEY]

Le caractère est laissé relativement libre à part les grandes lignes suivantes :

cynique | en colère contre tout et tout le monde, plus particulièrement son père | impulsive | borderline | constamment dans la provocation | un cœur fragile d'enfant très bien enterré sous du béton armé.

Sachant que c'est une gamine de seize ans, elle va forcément évoluer - en bien ou en mal, à vous de voir, le principal c'est que vous vous fassiez plaisir et que ça reste cohérent.

Des cheveux noirs et lisses comme ceux de sa mère, une frange droite coupée un peu trop court au-dessus de sourcils épais qu’elle tient de toi. Derrière son rouge à lèvres trop rouge et ses jupes trop courtes, il y a son petit corps frêle aux genoux noueux, aux avant-bras fardés de bleus. [...] Elle marche toujours d’un pas pressé, faisant claquer ses bottes sur le sol et les portes derrière elle.

Inari Akiyama (son père) ;; elle le déteste, foncièrement, viscéralement ;; elle aurait préféré que ce soit lui qui meurt dans l'accident de voiture plutôt que sa mère (faut dire qu'il a jamais été très présent, plus concentré sur son travail que sur sa famille) ;; il lui laisse tout passer, il est incapable de lui refuser quoique ce soit (ne se sent pas le droit de le faire en fait).

Chris J. Attacks (modèle, meilleur ami ou grand-frère, il endosse tout un tas de casquettes et même été un crush à une période - jusqu'à ce qu'il se mette à bécoter Inari en fait) ;; il était venu interviewer son grand-père sur la période pré-puce et elle l'a kiffé (il lui a fait découvrir des sons, a bcp parlé avec elle) ;; il est jamais vraiment parti de leur vie au final. Et en ce moment elle est en crush total sur son petit-frère Matthew (PNJ). Courant septembre 2111 Chris embarque Nao pour une tournée (à peu près six mois) (à voir avec le principal intéressé) (à la base, c'est parce qu'elle fuit le remariage de son père).

Ce qui me fait venir à Corvus Akiyama (son beau-père) ;; pas encore de relation établie, à part une haine mutuelle et tacite ;; faut dire qu'ils se sont vus deux-trois fois seulement. C'est tout de même à cause de lui qu'elle est partie en tournée avec Chris.

Et puis y a aussi Charlie King (la voisine, prof de danse) ;; relation à discutailler, mais c'est un lien positif qui s'est formé du fait que Matthew a poussé Nao à aller faire de la danse pour se défouler.

Et enfin Jazz L. Mikolajczyk (un habitué parmi les clients du daron) ;; elle le trouve fascinant (et vachement cool ofc) ;; mais même si elle l'aime bien, elle est grave jalouse en vrai (parce que Inari considère Jazz comme un fils/petit-fils).
(ce prédéfini a un milliard de liens , limite elle a une vie plus remplie que son père)

Toutes ces relations sont à discuter directement avec les personnes concernées, mais vous avez déjà les bases ici. \o/

Elle est née en 2095 d'un couple japonais bien comme il faut. C'est sa mère (Nadeshiko Akiyama) qui l'élève (son père est même incapable de la prendre dans ses bras/de lui faire un câlin pendant les premiers mois). En septembre 2105, ses parents ont un accident de voiture, seul Inari en sort vivant. Elle prend des substances pas très licites, sort beaucoup, sèche tout autant.

Détail qui a son importance : son père est tatoueur (très connu) et son grand-père l'était également (encore plus connu, ils appartiennent à un genre de dynastie, les Horiyoshi) (qui existe pour de vrai, vous pouvez aller checker sur internet, j'ai juste développé la lignée jusqu'en 2111). Du coup, forcément, elle ne voit pas les tatouages d'un mauvais œil, contrairement à la majorité des japonais. Elle a aussi côtoyé (de loin, hein, disons plutôt qu'elle les a vus, qu'elle leur a dit bonjour, qu'ils ont déjà dû lui offrir des petites babioles) pas mal de yakuzas venus en rendez-vous.

Globalement, son enfance et sa scolarité sont laissées libres, ce qu'elle veut faire plus tard aussi.
Son père n'a pas son mot à dire après tout.

Selon le temps qu'elle restera en prédef, y aura sûrement quelques éléments à rajouter dans sa timeline, vu que je vais la jouer. Mais on verra ça ensemble si jamais.